Tu es a moi

By yvodre

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Elle était juste un coup d'un soir , elle était juste venu pour l'aider à décompresser, mais il ne savait pas... More

Chapitre1
Chapitre 2
Chapitre3
Chapitre 4
Chapitre5
chapitre 6
chapitre 7
chapitre 8.
chapitre 9
chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
chapitre 17
chapitre 18
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21
chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
chapitre 30
chapitre 31
chapitre 32
chapitre 34
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38

chapitre 33

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By yvodre







Maëlys.







Je franchis les portes de l'ascenseur éreintée. Cette soirée avait été plus éprouvante psychologiquement que je ne  l'avais imaginé.

On me m'avait pas prévenue que j'allais être à la même table que l'ex de l'homme avez qui j'essayais désespérément de construire quelque chose et qui était, j'avais le mérite de le préciser, une  véritable sorcière.




Je n'avais pas signé pour ça !



Cette femme me sortait littéralement par les yeux , son air condescendant me donnait la nausée et son petit sourire malicieux au coin de ses belles lèvres pulpeuses me donnait le vertige.

Elle était certe une femme au coeur noire mais sa plastique , elle , relevait d'une œuvre purement divine et c'était ça qui m'ennuyais le plus , le faite qu'elle soit aussi  magnifique.

Elle avait le corps travaillé et le visage épuré. Son aura dégageait un charisme presque oppressant et la grâce dans ses gestes était presque estomacant. Il était si difficile de rivalisé avec une femme d'une telle stature surtout si elle était une ombre du passé. Je n'étais pas une experte en relation amoureuse mais j'étais sûr d'une chose , le passé était une ombre omniprésente dans la vie d'une personne , la preuve le mien me collait aux basques tel une sangsue.

Elle pouvait être l'antagoniste à mon bonheur, l'obstacle à ma pseudo relation, l'épine dans mon pied . Elle pouvait faire tomber le château de cartes que j'avais difficilement construit en un lapse de temps sans que je ne puisses rien y faire. Je n'étais pas de nature très combative car trop timide et mattée par la vie , alors je ne possédais donc pas un esprit très stratége et encore moins vif , en d'autres mots , j'étais très bête.

Pourtant elle , elle semblait avoir la malice dans le sang et le flaire d'un ours brun . Elle avait le regard tranchant preuve qu'elle était une adversaire redoutable. Elle semblait en avoir dans la ciboulette et dégageait une  assurance aussi grande que l'océan , chose que je ne possédais pas ou du moins cherchais à créer. Tout cela pour dire que j'étais foutue .

Désormais je ne pouvais compter que sur la fermeté de caractère d'Alexeï pour la repousser sinon j'ai bien peur qu'il ne  me file entre les doigts comme du sable fin .


Je suis tellement pathétique !



Il était bien vrai que ce soir j'avais eu la langue bien pendu, chose qui me surprenais encore. Je n'avais pas parlé beaucoup mais mes répliques, elles, avaient été tranchantes j'en avais conscience. La fumée qui sortait presque des ses oreilles en était la preuve palpable .

Sans vous mentir je ne savais pas où j'avais prit ce courage, mais il m'avait semblé si naturel de me défendre face à ses piques . Elle ne se gênait pas pour parler de moi subtilement et moi je ne me gênais pas pour répondre implicitement. Elle voulait me faire passer pour une vulgaire poupée barbie ce qui avait eu dont de m'agacer.

Je m'étais découverte un côté garce aujourd'hui, que ,pour tout vous dire j'avais apprécié. Je m'étais sentie si puissante et forte à ce moment, comme si j'étais au dessus de toutes les personnes autour de la table , cela m'avais fait bomber le torse d'avantage et m'avais aidée à rendre mon mirage d'assurance réel. J'avais tellement été habitée à être une soumise que je ne m'étais jamais sentie de l'autre côté de la barrière. Mais maintenant que j'avais goûté à ce sentiment de supériorité, je le trouvais plus que délicieux.

Je comprenais maintenant pourquoi elle se sentait si forte et qu'elle était si hautaine, le pouvoir qu'elle avait sur les gens n'était pas une nouveauté pour elle , elle avait conscience de l'effet qu'elle avait et s'en jouait indubitablement.


Pétasse oui!


Je soufflai grossièrement avant de me jeter comme une masse sur le sofa , je retirai mes escarpins dans lesquelles mes orteils criaient désespérément au secours et lachai un soupire d'aise quand ceux-ci furent retirés. Je déposai ma tête contre le dossier du canapé tout ça devant l'oeil attentif d'Alexeï.


- il faut qu'on discute. Dit il en prenant place juste en face de moi , il n'avait pas retiré son manteau, peut être était-il  à l'aise comme ça .

- tu n'as pas besoin de te justifier tu ne me dois aucune explication. Dis je sans le regarder , j'avais peur qu'à force de trop vouloir creuser , je sois blessée par la vérité. Alors mieux vaut laisser le tout entre parenthèses.

- je ne cherches pas à me justifier, je ne suis nullement en tord , je veux juste qu'on en discute fuire comme une enfant n'avancera à rien .

Il marqua une pause avant de continuer.

- je sais que tu veux savoir, tes yeux brillent de curiosité et .....


Je le coupa .


- pas maintenant laisse moi me rafraîchir d'abord. Dis je sans lui laisser le temps de poursuivre avant de me lever et de prendre mes jambes à mon cou.


Je sentais que ce qui allait venir n'allait pas me plaire, mais alors là pas du tout .

Je ne voulais pas l'entendre dire que la revoir avait soulevé des souvenirs délicieux en lui, je ne voulais pas l'entendre dire qu'elle était devenue plus belle que dans le passé et que cela l'avait troublé, qu'il ne savait plus où il en était et qu'il serait préférable pour nous d'arrêter car il ne pouvait construire quelque chose avec moi après avoir revu son ex.

Cela serait comme recevoir une massue sur la tête , je ne pourrais le supporter . Mais si cela venait à arriver,  je ne lui en voudrais pas , je ne lui en voudrais pas de la choisir à moi . Ils feraient une belle paire, le charisme d'Alexeï associé à sa prestance produirait une aura presque dévastatrice, ils seraient invicible tous les deux . Pourtant moi c'est à peine si je ne faisais pas tâche à son bras.

Nous avions pourtant passé une belle soirée hier , et je commençais à peine et me sentir à l'aise avec lui que la vie voulait déjà tout gâché.


N'avais-je donc pas aussi droit à un soupçon de bonheur dans ma vie ?


Étais-je appelée à souffrir éternellement ?

Le poids de mes sombres pensées m'écrasant,  je me sentais toute suite plus lourde , comme si à moi toute seule je portais le poids du monde sur mes épaules .

Je me débarrassai de la jolie robe que je déposai sur un des sofas de la chambre, je me dirigeai vers la salle de bain afin de prendre un bonne douche froide . J'avais besoin de remettre mes idées en place car j'avais l'impression que mon cerveau avait été passé au mixeur.



Tout était maintenant embrouillé, même celles que je croyais déjà avoir saisit c'étaient envolées.

Les gouttes d'eau froides contre ma peau m'aidaient à me détendre , j'avais détaché le chignon que Eleonon m'avait fait plutôt maintenu à l'aide de plusieurs broches afin de laisser l'eau glacé couler sur ma tête . La sensation de l'eau sur mon cuire chevelure me donnait l'impression de refroidir mes neurones qui tournaient depuis la sortie de ce restaurant à 100 à l'heure. Tellement de questions se bousculaient dans ma tête , associées à mon inquiétude inné j'en perdais presque la tête .

Je profitais de ce moment de paix avant la tempête, car je savais pertinemment qu'Alexei n'en découdrait pas , il était bien trop borné pour me laisser seul et je devais recharger les batteries afin d'être capable d'encaisser ce qui allait arriver .

Je me préparais réellement à tout , même la possibilité d'être renvoyée à l'entrepôt n'était pas du tout à écarter. Afin d'être plus claire j'étais sur le point de faire un AVC à cause de mon appréhension.

Je sortis de la cabine de douche les yeux bouffis , une avalanche de larmes n'étaient pas loin de tomber sur mes joues , mais je me retenais . Si je commençais à pleurer maintenant je ne pourrais jamais encaisser ce qui m'attendais. Pour la première fois  de ma vie j'avais décidé d'accepter mon malheur la tête haute , sans paraître faible .

Autant regarder le côté positif, j'avais eu ce que je voulais. J'avais été frappé par un orgasme digne de ce nom alors je pouvais désormais mourir en paix . Après ces expériences avec lui, je me voyais mal redonner mon corps à d'autres hommes pour qu'ils le salissent, alors qu'il avait déjà été épuré par les mains respectueuses et expertes d'Alexeï.




Je ne pouvais plus continuer !



Si jamais il advenait que je retournes là bas, alors j'aurais le courage qui m'avais toujours manqué de passer la lame dans ma  chaire. Après ce que je j'avais vécu ici , après avoir été traitée comme un être humain , je ne pourrais encore accepter d'être l'objet sexuel d'un quelconque dégénéré. Si cela arrivait alors je me jeterais de la fenêtre de l'entrepôt, au moins je mourirais marquée par les caresses chaudes d'un homme plein de bon sens et non le corps laciné par les coups de fouets de George .


Je mis un short en coton blanc ainsi qu'un débardeur de la même couleur, mes cheveux humides étaient restés lâchés, je ne les laissais jamais d'habitude à l'air car ils étaient trop longs et beaucoup trop encombrant, mais aujourd'hui je me sentais protégée  par eux. La noirceur de ma chevelure contrastait tellement avec l'immaculée de mes vêtements, on aurait dit un ange couvert par ses ailes noires , on pouvait à ce moment voir l'angle déchu que j'étais .


Je me cachai sous les couvertures le coeur frappant sans relâche contre mes tempes , la tête dans l'oreiller moelleux j'attendais que la porte s'ouvre sur celui qui détenait mon avenir entre ses mains .

Lorsque je vis la poignet se baisser , ma respiration se coupa instantanément. Il apparu devant moi , il avait troqué son costard hors de prix pour un bas de jogging gris ainsi qu'un t-shirt moulant blanc.



Il était à tomber!



- qu'es ce que tu fais là ?

Je ne compris pas toute suite sa question. Que voulait-il dire par là?


- je ne saisis pas . Dis je un peu perdue.

- tu t'apprêtes à dormir ici , alors que mon lit chaud et bien plus confortable t'attend un étage plus haut ?

- je ... Je ..

Il ne me laissa pas digérer ses mots qu'il me pris dans ses bras direction sa chambre à lui.

Les mains accrochées à ses épaules j'essayais tant bien que mal de réfréner les battements affolés de mon coeur mais je n'y arrivais point . La sensation était bien trop forte , elle était si intense que j'avais de la peine à capter de l'air .

Lorsqu'il me déposa sur son lit , le même lit dans lequel nous avions fait l'amour hier soir, le même lit dans lequel j'avais été terrassée par un puissant un orgasme, le même lit dans lequel nous nous étions enlacés le ventre plein et les pulsions satisfaites, le même lit dans lequel nous nous étions réconfortés hier soir.

Il me coucha et prit place à mes côtés avant de nous recouvrir de la douce couette marron qui ornait les bords du lit en baldaquin.

Il me regardait droit dans les yeux, comme ci il cherchait à sonder chaque facette de mon âme , comme s'il cherchais à lire chaque page du livre que j'écrivais chaque jour dans ma tête .

- je crois que c'est dans ses moments qu'on a des "confidences sous l'oreiller". Dit il en déposant une caresse sur ma joue droite.

Je me contentai de le regarder, le souffle coupé et le coeur au bord du rubicon. J'appréhendais tellement les mots qu'il allaient dans quelques instants franchir le bords de ses lèvres que j'en perdais mes sens .




Qu'il parle vite ou sinon , se sera mon corps sans vie qui sortira de cette appartement.


- je sais que beaucoup de questions se bousculent en ce moment dans ta tête , tu te demandes si la rencontre avec  Rhéa n'avait pas bouleversée quelque chose entre nous , tu penses sûrement que je vais t'abandonner à son profit car sûrement j'ai été submergé par des souvenirs beaucoup trop mélancoliques de notre vie passée ensemble et je vais te dire honnêtement...


Il marqua une briève pause qui coupa sustentément mon souffle.


Seigneur !


- tu n'es qu'une grande idiote ! Lorsque cette phrase atteignit mes oreilles j'ouvris grand mes yeux et me détachai légèrement de lui afin de trouver son regard .

- comment peut tu penser quelque chose d'aussi stupide, chaque seconde qui passe  je m'évertus à te faire comprendre que notre relation est entrain d'évoluer dans le bon sens mais toi tu ne cesses de broyer du noire . Actuellement tu t'épuises les neurones sur une femme que je ne considères même plus , elle représente un certain chapitre de ma vie que j'ai fermé avec joie et sans aucun regret , j'aimerais même dire que c'est un livre terminé et classé, je ne suis qu'en même pas un idiot pour revivre une histoire dont j'en connais déjà les contours et les pourtours , je sais déjà que cette une croqueuse de diamant doublé d'une grosse chienne en chaleur rien de bien nouveau, alors qu'avec toi je te découvre chaque jour un peu  plus, tu dégages ce mystère là qui me donne envie de continuer à creuser, je suis en plein dans l'intrigue du nouveau livre dans lequel je suis plongé complètement fasciné par la qualité délicate de l'histoire, comment peux tu me demander de laisser une perle pour un bout de fer rouillé.


Je le regardai toujours dans les yeux le coeur gonflé d'une joie et d'un soulagement indescriptible.


- je ne te crois pas , elle est bien plus belle , raffinée et gracieuse que moi . Dis je empotée.

- voilà où tu te trompes moró mou , tu ne peux pas t'apprécier toi même , seul un jardinier peut dire à sa rose à quel point elle est resplendissante et saine , et en tant que jardinier je peux t'assurer que tu es l'une des plus belle , appétissante et gracieuse fleur que je n'ai jamais vu dans mon jardin . Dit- il avant de prendre d'assaut mes lèvres . Nous partageâmes un long et langoureux baiser avant qu'il n'accroche son regard au mien.

- je ne veux pas que tu doutes de moi Maëlys, je ne suis pas un homme qui joue avec les femmes , si c'était ce genre de relation que je voulais avec toi alors j'aurais mit les choses au clair dès le départ comme je l'ai fait au début de notre histoire.


"Notre histoire" il avait dit . Cela voudrait dire qu'il reconnaissait lui même que quelque chose se passait entre nous , qu'il y'avait bien un truc et que ce n'était pas seulement le fruit de ma débordante imagination. Je lui souris pour seul réponse  avant de coucher ma tête contre son torse .

- pourquoi vous vous êtes séparés? Demandais je curieuse . Si c'était vraiment de l'histoire ancienne il ne devrait pas avoir de mal à me la
raconter  non ?

- je l'ai trouvé dans mon lit entrain de se faire pilloner par le fils d'un de me vieux associé, j'étais rentré plutôt se jour là et au lieu de l'a trouvé dans le salon entrain de lire ses magazines people comme à son habitude, ce furent ses cries aigus raisonnant dans la maison qui m'avaient accueillis, je ne supporterais jamais une femme qui ne sache  pas fermer ses cuisses alors je l'ai jeté  ainsi que son amant dehors.


Je m'étais sentie un peu visée quand il a dit "une femme qui ne sache pas fermer ses cuisses" , j'étais qu'en même payée pour les ouvrir, je n'étais donc  pas mieux qu'elle en fin de compte mais je décidai de garder la bouche fermée.


- tu l'aimais ?


- non, je vais plutôt dire que je m'étais assez habitué à elle pour succomber à la pression de ma génétrice et de faire ainsi d'elle ma fiancée, elle ne m'avait jamais caché être là pour l'argent et moi ça ne me dérangeais pas plus que ça , je lui donnais ce qu elle voulait et elle était assez belle pour que je me pavane avec elle à toutes mes sorties d'affaires, tout ce que j'attendais d'elle était un sourire gracieux et la capacité d'hocher la tête sans attraper un torticolis, elle était exemplaire dans le rôle de la fiancée parfaite mais malheureusement sa libido l'a fait défaut, je n'ai ressenti aucun regret à la mettre dehors , même pas une once de pitié, je me sentais plutôt soulagé de ne plus entendre sa voix qui montait sans cesse dans les aigües.


Il parlait avec tellement de froideur que j'en étais paralysée.

- c'est ce que tu attends aussi de moi ? Demandais-je perdue.


- pardon?


- hocher la tête sans attraper un torticolis.


Son rire gultural résonna contre mon oreille  .

- nous n'en sommes pas encore là, tout ce que je te demande toi c'est d'apprécier ce que je t'offres et d'oublier ta vie passée, j'aimerais aussi que tu me parles de ton passé.


La fin de sa phrase me fit me raidir comme un morceau de bois , ça m'avais tétanisée, il voulait que je lui raconte que je suis une meurtrière, que je suis un enfant maudit qui a prit la vie de sa mère , qui a grandi jusqu'à ses six ans dans un orphelinat miteux, qui a eu la chance d'avoir été adopté par un mignon couple qui à leur tour a perdu le vie dans un accident de voiture, qui a été élevé par la famille de ses parents adoptifs qui lui a fait vivre une véritable misère avant de la vendre à un fou furieux et qui a ainsi terminée prostituée à 24 ans .



Ma vie était une suite d'échecs et de malheurs à répétition. Ma vie était digne d'un film dramatique. Je sais que beaucoup pleureraient sûrement de pitié devant une telle injuste, alors que d'autre resterions de marbre car je n'étais pas là première injustice de cette vie et encore moins la pire alors je ne n'avais pas de quoi me plaindre.

Je serrai très fort le pan de son t-shirt que j'avais entre la main . Je me sentais toute suite transpirante alors que je venais de prendre une douche bien froide . Je déglutis péniblement cherchant désespérément mes mots .


Devrais-je tous lui dire ou racontée des bobard s?

J'étais invraisemblablement partagée, une partie de moi voulait lui dire toute la vérité comme témoignage de ma gratitude envers tout ce qu'il faisait pour moi mais une autre me poussait à mentir , me convaicant que je ne lui avais jamais rien demandé, c'était lui qui s'était improvisé le Zoro de ma vie en voulant me sortir de mon trou , c'est lui qui avait voulu me raconter sa vie, donc techniquement je ne lui devais rien .



- je ...umh...je.... Je ne cessais de balbutier cherchant la bonne formulation de ma phrase .


Il dû sentir mon mal être car il resserra son étreinte autour de mon dos avant de déposer un baiser dans mes cheveux encore humide .


- ne te sens pas obligée de parler si tu n'arrives pas quand tu seras prête tu le feras. Dit il tout doucement.

Je me contentai de secouer la tête le visage enfoui contre son torse . Je sentais mes paupières s'alourdir sous ses caresses dans mes cheveux lorsqu'il repris la parole



- tu as de très long cheveux.


Il touchait mes pointes comme fasciné.


- oui , je ne les ai jamais coupé mais ils sont trop encombrant raison pour laquelle je les maintien toujours en chignon.

- au contraire ils sont magnifiques tu devraient les lâché plus souvent, j'aime beaucoup, je suis tellement habitué à voir les femmes les cheveux coupés au carré ça change et j'aime ça .



Je souris doucement avant de lui chuchoté un bref merci.

Voilà ce dont tu avais toujours rêvé ma belle, un homme galant qui te protégerais et qui te comprendrais même s'il faut l'avouer je suis tombée sur un gros poisson, la magie de Noël me direz vous sûrement. Mais j'avais trop peur qu'après que la magie ne ce soit éteinte son sentiment s'evanouisse avec elle .

Le coeur en proie de violents doutes je fermai fortement mes paupières priant de ne jamais avoir à vivre cette dure réalité.








Bonne lecture mes waliwalous.









Kiss sur vos fronts 😘.

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