Provocation
Flashback
« Et même si tu souffres et que tu as peur tu ne dois pas laisser les sentiments prendre le dessus sur toi »
« Mais j'ai peur ... je ne veux pas faire ça... Pourquoi ne pas m'envoyer dans un internat ou un orphelina je ne suis pas faite pour les armes » J'étais en sanglot.
« Tu n'auras pas à les utiliser, seulement en cas de danger. Tiens prend ce couteau. Je fais ça pour ton bien ma chérie tu dois avoir la capacité de te défendre. Ne pleure pas s'il te plait »
En ouvrant le couteau que je pris à l'envers il me tailla rapidement l'intérieur de la main je hurlais de douleur et mon oncle se précipiter vers moi en courant.
« C'est bon pour aujourd'hui, viens vite on va te soigner »
C'était ma première blessure, ma première cicatrice qui attestait du commencement de ma nouvelle vie.
Bien que j'eu une vie mouvementé je savais que j'avais la chance d'avoir un oncle comme Guy, qui prenait soin de moi qui si j'étais sa propre fille. C'était tellement important pour moi d'avoir un repaire et il avait été ce repaire.
.......
J'arrivai sur la piste de décollage, je pouvais voir un jet immense privée noir magnifique et devant le jet une silhouette qui me faisait froid dans le dos. L'écervelé qui d'autre.
Je descendis de la voiture les lunettes de soleil sur le nez qui cachait mes yeux gonflées à cause de mes pleurent, et donc à cause d'Hadès.
Deux hommes similaires à deux armoires à glaces arrivèrent jusqu'à moi pour porter mes valises, sans me dire un mot. Je les regardai, je n'avais même plus la force de parler. Je soufflai, j'en avais déjà marre
Je marchais en direction de l'avion.
Avant de monter à l'intérieur je vis ses yeux se poser sur moi mais je ne voulais pas le voir encore moins le regarder.
Je montai dans le jet et me mit du côté du hublot.
De l'alcool était sur la table devant moi, je m'empressai de me servir un verre pour noyer ma peine. Je sais c'est mal mais franchement le plus important pour moi à ce moment-là c'était d'oublier. Je pris le temps de sortir mes airpods de ma poche qui ne me quittait jamais.
La musique « All the time de Jeremih » raisonné dans mes oreilles, et me donnait un sentiment de paix.
Moi qui n'avais pas du tout confiance en moi, mais qui devait créer cette carapace de fille intouchable, carapace que je devais mettre mais qui était tellement difficile à porter.
Maintenant tout cela devait devenir réalité pour me protéger au maximum du monde dans lequel j'allais m'aventurer. Mais est-ce que j'allais y arriver... ?
Je sorti mon téléphone qui me marque que je n'ai pas de réseau. Quoi de mieux pou m'achever?
Je ne pouvais même pas communiquer avec les garçons pour leurs dirent que j'étais dans l'avion... Et c'est à ce moment la que j'entendis une voix provenant de l'extérieur de l'avion. Hadès.
« Je te rappel dans la nuit. »
à qui il parle ?
Quelques minutes plus tard, toujours la tête contre le hublot, je sentais une présence à côté de moi... Je fis pivoter ma tête et mon regard se plongea dans le siens. Ce que je vis me suppris, des hyeux vairons, il avait un oeil bleu et un oeil vert grisé. Je n'avais jamais remarqué ça, peut être avait-il mit des lentilles? Ses cheveux noir étaient humide, et son regard sondé le moindre de mes gestes.
J'étais complétement tétanisée, à chaque fois qu'il était proche de moi j'avais littéralement l'impression de me chier dessus.
- Je vois que tu as déjà trouvé ton bonheur Dit-il en regardant mon verre.
Sans attendre il le prit et l'amena vers sa bouche pour le boire d'une traite sans me lâcher du regard.
Des frissons parcouraient mon corps.
Super moi et mon problème à boire derrière les autres c'était top. Je levai un sourcil, au même moment une femme rentrait dans l'avion. Des cheveux attachés, des yeux bleu. Une chemise et un blazer bleu de nuit en raccord avec sa jupe de la même couleur. Elle portait également des petits talons noir. On pouvait deviner que c'était l'hôtesse a des kilomètres.
Hadès la regarda un sourire au lèvre. Il me dégoute. Et celle-ci lui renda un sourire charmeur.
J'assisté à la scène et à ce moment-là j'étais plus gênée qu'autre choses.
- Le pilote devrait arriver d'ici 5 minutes Dit-elle sans le lâcher du regard
- Ah oui ? Dit-il un sourire moqueur. Non mais on est sur youporn ou quoi la ?
Il se dirigea vers le cockpit, la femme le suivi... et j'entendis la porte se fermer.
Après plusieurs minutes, je me demandai ce qui se passée et je décidai d'enlever les écouteurs. Je tendis l'oreille et d'un coup des gémissements ?
Je fis tomber un airpods par terre, et le ramassait vite avant de les remettre à mon oreille, j'étais choquée et je sentais le sang monter dans mes joues.
Il était en train de coucher avec une fille juste à côté de moi sans soucis. Je confirme on est dans youporn.
Mes mains commencèrent à trembler, moi qui n'avais jamais connu ça je ne savais pas où je devais me mettre. J'avais honte d'être là. Des larmes de haine commençaient à monter, je me rendais compte qu'il n'avait vraiment aucun respect.
Quelques minutes plus tard, que je pourrais décrire comme les minutes les plus longues de ma vie.
Le pilote rentra dans l'avion
- Bonjour mademoiselle, je suis le pilote qui...
Avant de finir sa phrase, le taré du cul sortit de la salle suivit de la femme qui reboutonner sa chemise les cheveux de son chignon en bataille.
- Bon...Bonjour Monsieur.
Sans ajouté un mot le pilote se rendit dans le Cockpit.
Je devais faire comme si de rien même si je sentais mes joues rougir.
- Il fait chaud ici Le mec me parle après ça mais quel culot
Je le regardais d'un air dégoutée. Je ne pouvais pas m'en empêcher
- Toi aussi tu dois avoir chaud vu l'état de tes joues Me dit-il un sourire en coin de lèvre.
La honte
Je ne lui répondis pas, j'étais sur le point de m'effondrer.
Il rajouta
- Tu es tellement faible, tu es une véritable épine dans mon pieds
Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi il venait me soûler. Je lui souris, pourquoi ? pour le provoquer.
Mais une fois de plus je ne lui répondais pas et me tournai vers le hublot la seule choses que j'avais envie de faire à ce moment précis ? L'étrangler et m'effondrer.
Je sentis une main passé dans mes cheveux lentement... puis me tirait violemment la tête en arrière. Il se rapprocha de mon oreille et me dit
- Je t'ai déjà dit de ne pas jouer à ce petit jeux avec moi, ton oncle ne peut rien faire pour toi ici
Je ne le lâchais pas du regard, pour continuer ma provocation. Mais je ne disais pas un mot parce que je me chier dessus. Mais ça il ne doit pas le savoir.
Il attendait que je craque mais je ne dois pas.
Il me relâcha et une larmes coulait sur ma joue. Je ne devais pas rentrer dans son jeu mais il avait raison j'étais faible surtout quand on voulait me faire du mal gratuitement.
Mais pourquoi était-il comme ça qu'est-ce que je lui avais fait ?
Je me tournai vers le hublot et regardait à travers.
Pourquoi je dois toujours souffrir quand est-ce que ça va s'arrêter ?
Normalement on dit que les épreuves arrivent au plus fort, mais même moi je le savais j'étais si faible...
New York.
L'avion allait atterrir d'une minutes à l'autre, j'attaché ma ceinture de sécurité.
Il pouffa de rire
- La chose dont tu devrais avoir peur ici c'est de moi
Je le regardai en fronçant les sourcils avant de lui dire.
- Si tu veux mourir c'est ton problème, mêle toi de tes affaires
Il se leva et avança vers moi, à ce moment j'aurai préférée être morte. Sans le lâcher du regard il s'accroupit devant moi.
- Pendant 1 semaine tu fais partie de mes affaires. Passez ce délais tu seras rentré chez toi, tu as ma parole que ta vie sera un enfer, je ne garantis juste pas que tu sois entière quand tu rentreras chez toi Me dit-il un sourire aux lèvres
- Ta parole n'a aucune valeur pour moi Et voilà mon problème c'est que je ne sais jamais me taire.
Il sortit un couteau de sa poche et posa la lame sur mon cou. Je commençais à paniquer je ne pouvais pas me retenir et des larmes monter de plus en plus. Les larmes qui pouvaient sans aucun doutes se voir dans mes yeux.
- Et toi tu n'as aucune valeur à mes yeux, d'ailleurs tu n'as aucune valeurs pour personnes et c'est pour ça que tu es ici. Tu ne vaux rien Me dit-il d'un ton froid.
Des larmes coulèrent sur mes joues, il enleva sa lame de mon cou et se leva.
Je passais ma main sur mon cou, puis je portais le regard sur ma mains. Du sang. Il venait de me blesser. Je m'empressai de me détacher et de me lever.
J'avais mal mais ce n'était pas au cou que j'avais mal... J'avais mal aux cœurs à cause de ses mots.
- Tu ne vaux rien pour personnes Ses mots me poignarder à chaque fois que j'y pensais et résonnais dans mon corps.
Comment pouvait-il être aussi horrible et sans sentiments ? Comment pouvait-il me dire ça et me regarder dans les yeux en n'ayant aucunes émotions ?
Comment les gens peuvent avoir autant de facilité à vouloir me blesser?
Une fois l'avion atterrit je m'empressais de mettre mes lunettes de soleil bien que le soleil soit absent pour cacher mes yeux qui devait être rouge.
Je pris mes valises. Et sentit un regard sur moi. Je me retournai et croisée le regard de l'autre adossé sur une voiture de sport. Aussi noir que son âme.
Je m'avançai vers la voiture et mit mes affaires dans le coffre avant de m'installer sur le côté passager.
J'attachai pas ceinture et respirer un grand coup.
- Ton téléphone. Me dit-il d'un ton froid.
Je le prit sans le regarder. Je regardais mon ancien téléphone qui n'avait toujours pas de réseaux et je compris.
Mon ancien abonnement avait été désactivé pour les mois à venir. Super plus qu'à rentrer tous mes contact.
- Si jamais il te venait à l'idée de rentrer des contacts autre que ceux déjà rentré je te brise la nuque
Mon corps s'arrêta net. Il m'avait dit ça avec beaucoup d'assurance mais je n'avais aucune réaction. Je ne savais pas quoi dire. Il était tellement froid et mauvais avec moi.
.....
Sur la route je restai silencieuse. Je devais trouver un plan et être plus forte que lui mais je devais le faire d'une manière subtile.
Pendant que mes pensées fusée dans mon cerveau, mon téléphone sonna :
De Juan Miller :
J'espère que la route a été bonne la première mission sera demain soir, prenez le temps de vous reposer. Hadès aura les informations dans la journée je compte sur vous.
Je verrouillais mon téléphone sans prendre la peine de répondre, la galère allez commercer demain. Je ne savais pas à quoi m'attendre et les mots d'Hadès m'avaient tellement blessé que je ne pensais à rien d'autre.
......
Plusieurs longues minutes plus tard, nous arrivâmes dans une villa proche de la ville. Je descendis de la voiture, un homme arriva et prit mes affaires. Encore.
Et je regardais la maison dans laquelle j'allais dormir cette nuit et pour plusieurs nuit encore, j'imagine. On peut dire qu'elle était belle même dans la nuit on pouvait le voir. A vrai dire depuis les deux demeures de la famille Miller que j'avais vu je ne doutais pas qu'ils avaient de bons gouts. Une maison moderne et sombre avec de grandes fenêtres.
Mais je ne voulais pas perdre de temps à contempler ma prison dorée. Arrivée devant la maison j'ouvrit la porte d'entrée.
J'arrivais directement sur un immense séjour, une cheminée ultra moderne et une cuisine américaine qui semblait parfaitement équipé. Cette fois-ci la maison était dans les ton gris noir et blanc. Le sol en marbre blanc, il brillait tellement que je pouvais me voir à travers.
L'homme déposa mes affaires sans passer le seuil de la porte ce qui parraissait extrêment bizarre, comme si il n'en avait pas le droit. Je le regardais dans les yeux, l'air interrogateur. Mais il coupa immédiatement le silence:
- Votre chambre est à gauche de celle de Miller.
Il venait de m'annoncer ça comme si j'avais connaissance des lieux, comme si j'y avait déja séjournée.
- Et ou est la chambre de Miller ?
- Au bout du couloir.
Après cette dernière phrase il referma directement la porte. Aimable comme une porte de prison celui-là
Hadès n'était pas encore rentré et franchement c'était mieux comme ça. J'avais entendu le bruit d'un moteur et une voiture démarrer a toutes vitesse durant la conversation avec "Monsieurjerestedevantlaporte".
Une fois devant ma chambre j'inspirais un grand coup, et je l'ouvris. Et une fois de plus, je ne fus pas déçu. Elle était magnifique et donnée sur un dressing gigantesque. La fenêtre donnée sur les lumières de New York et c'était époustouflant.
Je commençais à défaire ma valise, et prit un t-shirt super long qui appartenait à Noah et que j'avais gardé après avoir apprit son décès. Il me manque tellement.
Je pris des sous-vêtements et parti en direction de la salle de bain. Une fois celle-ci trouvée je me regardais dans la glace. J'avais mes cernes de 10 kilomètres habituelle mais en plus, un teint pale. J'étais vraiment mal.
Il y avait une grande baignoire au centre de la pièce mais également une douche à l'italienne sombre.
C'était magnifique et je me dis que le seul point positif des 3 mois avec lui, c'est que j'allais certainement voir des lieux magnifiques.
Et là le dilemme... Douche ou bain ?
Allez douche je ne voulais pas y passer des heures.
.....
Holaaaaaa👓👓
Bon bhe ça y est ils sont en duo!! Hihii😏😏
Mais Hades c'est un monstre je suis d'accord 🥲🥲
See you soooooooooon!!🤪❤️🔥👹🌸👑😍