McCartney : Femme farouche...

By Aliceblack21

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Rose Oldman, une jeune femme de vingt ans, est orpheline depuis la mort de ses parents et s'occupe de son jeu... More

Résumé
Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
chapitre 4
Chapitre 5
chapitre 6
chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
chapitre 17
chapitre 18
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
chapitre 30
chapitre 31
chapitre 32
chapitre 33
chapitre 34
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38
chapitre 39
chapitre 40
chapitre 41
chapitre 42
chapitre 43
chapitre 44
chapitre 45
chapitre 46
chapitre 47
chapitre 48
chapitre 49
chapitre 50
chapitre 51
chapitre 52
chapitre 53
chapitre 54
chapitre 55
chapitre 56
chapitre 57
chapitre 58
Épilogue

chapitre 21

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By Aliceblack21

- Qu'est-ce qu'on va faire avec elles ? -Pour l'instant, ramenez-les au château, annonça Robert.

Mon grand-père était très en colère et inquiet.

-Mon intention est de partir pour mes terres dès que possible, pointa Albi du doigt.

Pendant qu'il parlait, Niklaas ne pouvait détacher ses yeux de sa femme.

Bien qu'il se sentait irrité et fâché, Rose avait toujours l'air attirante.

Son sourire faisait battre son cœur à chaque fois qu'il croisait son regard.

Il dut la gronder, mais il était tellement content qu'il ne lui soit rien arrivée qu'il ne pouvait penser à autre chose.

Cet après-midi-là, ils reprirent le chemin du château. Pendant le trajet, Albi, qui avait l'air d'un idiot souriant, n'arrêtait pas de rire avec Ada, ingénieuse, qui lui racontait constamment des choses, le faisant rire.

Niklaas était resté silencieux une partie du chemin, mais chaque fois que son corps frôlait sa femme, son pouls s'accélérait et son esprit s'embrumait et il oubliait ce qui s'était passé.

Que se passait-il avec lui ?

-Tu sais que ce que tu as fait était idiot, non ? murmura-t-il à son oreille, de sa voix calme.

Elle s'appuya contre lui, souffrante du corps et d'esprit.

-Oui, répondit Rose en hochant la tête, le surprenant.

Il s'attendait à une autre réponse.

-C'était vraiment fou mais à partir de maintenant, je dormirai paisiblement en sachant que ces salauds ne nous dérangeront plus jamais.

Sa voix grave et ses mots sincères ont réussi à faire hocher la tête de Niklaas, et finalement il lui embrassa sa tête.

- Tu as plus de force et de courage que je ne le pensais Rose, tu m'as surpris.

-Je te l'ai dit, répondit-elle en souriant.

-Mais ça m'a aussi fait peur quand j'ai vu ce regard de haine et de vengeance sur toi.

Cela, je ne l'avais vu que chez les guerriers sur le champ de bataille.

-Mon grand-père m'a appris que la famille est la chose la plus importante, et j'ai toujours su que si un jour ces hommes se présentaient devant moi, je les tuerais.

-Tu as fait craquer mes hommes.

Niklaas sourit en se rappelant leurs commentaires.

-Comme ça, ils feront attention avec moi. Mais je vais m'excuser auprès de tout le monde pour avoir mis la vie de ma sœur et de Béatrice en danger.

-Et la tienne, n'oublie pas, lui rappela-t-il en déposant un autre baiser sur la tête de Rose.

-La mienne était celle qui comptait le moins à ce moment-là, marmonna-t-elle avec découragement. En entendant cela, le Highlander se tendit.

-Comment ?! rugit Niklaas, faisant signe à Hunter de continuer alors que lui et sa femme s'arrêtaient.

-Pourquoi on s'est arrêté ? demanda Rose. -Ne dis plus jamais que ta vie est la moins importante, la prévint-il en l'attrapant sous l'épaule pour la faire se retourner.

Sais-tu l'agonie que j'ai ressentie quand je ne savais pas où tu étais ? Et quand j'ai vu cet Anglais te cogner la tête par terre ? Ne comprends-tu pas ce que j'ai ressenti ? J'ai cru devenir fou.

-Niklaas, murmura-t-elle émue. Écoute et j'espère que tu comprendras.

Pour moi, la vie de ma sœur et celle de Béatrice valent trop, et si moi, qui suis l'aînée, m'étais occupée de ce problème par moi-même, rien de tout cela ne serait arrivé.

Les yeux fatigués, elle continua : Si quelque chose leur était arrivé, je porterais cette culpabilité pour le reste de ma vie.

J'ai toujours été responsable de quelqu'un. Je n'ai jamais eu quelqu'un de plus fort que moi sur qui m'appuyer.

- Mais ton grand-père et Russell ... Rose, couvrant sa bouche, ne le laissa pas finir.

-Mon grand-père et Russell s'occupaient de tout le monde, mais je ne pouvais jamais ignorer qu'il s'agissait de deux vieillards qui faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour nous.

Ils auraient pu mourir, et je n'aurais rien pu faire pour y remédier... Elle ne pouvait plus continuer et s'effondra sur sa poitrine.

-Hé... chérie, dit-il en la serrant gentiment dans ses bras.

À ce moment, Niklaas était conscient de la difficulté pour Rose de passer la majeure partie de sa vie à prendre soin de son frère et se sa sœur.

Il savait parfaitement de quoi elle parlait. Et cela lui rappelait sa défunte sœur.

-Niklaas, je te promets que...

-Chut... Tais-toi.

Il la serra dans ses bras.

Il vit que le bandeau sur sa tête était à nouveau taché de sang.

-Rose, à partir de maintenant je vais m'occuper de toi, je t'ai épousé, n'oublie pas ! Je te protègerai.

- D'accord, dit-elle en hochant la tête, l'embrassant.

-Continuons notre chemin, dit Niklaas, confus par ce que la jeune femme avait réussi à remuer en lui en si peu de temps.

Lorsqu'ils arrivèrent au château, Robert dit aux trois femmes d'aller dans la salle.

Et bien que leur punition ne fût pas très grave, le vieil homme leur en donnerait plein les oreilles.

Elles l'avaient bien mérité, pour avoir risqué leur vie ! Elles entrèrent, suivis de Robert, Niklaas et Albi.

Lorsqu'ils passèrent la porte du hall, la première personne qui courut à leur rencontre fut Kit, suivi par Anna.

-Ils sont enfin arrivés ! cria le garçon.

Et regardant Rose, il dit : -Encore une fois, il y a du sang sur la tête.

-Ne t'inquiète pas mon trésor, lui sourit-elle sans s'en soucier.

Ce n'est rien.

-Merci, toutes les trois vont bien, soupira Anna en les serrant dans ses bras.

Et regardant Rose, elle dit : -Oh... par Dieu, ta blessure.

Viens avec moi, sinon ça laissera une vilaine marque pour le reste de ta vie.

Alors qu'elle s'éloignait, main dans la main avec Anna, Rose regarda son mari, qui, courbant un côté de sa bouche et lui faisant un petit clin d'œil, la fit sourire.

Un peu plus tard, alors qu'elles étaient seules, Anna dit : -Tu as été très subtile avec la boisson que tu m'as donnée.

-Désolée, pardonne-moi, dit Rose avec regret en lui prenant les mains.

Je ne voulais pas qu'il t'arrive quoi que ce soit.

Je te serai reconnaissante toute ma vie d'avoir pris soin de Kit.

-Ne t'inquiète pas, sourit affectueusement Anna. Maintenant, ne bouge pas.

Un peu plus tard, elles retournèrent dans la salle. Niklaas notait avec inquiétude les cernes prononcées de sa femme.

Anna courut dans les bras de Robert.

- Où sont-elles ? rugit Ellis.

Surprises, les filles se regardèrent.

Elles n'avaient jamais entendu le vieil Ellis élever la voix.

Ce n'était certainement pas bon signe.

Niklaas, en l'entendant, fit un pas en avant. Il n'allait pas permettre à quiconque de toucher une mèche de cheveux de sa femme mais Robert, d'un air amusé, le fit reculer.

-Grand-père, je voulais dire que... Mais Ellis levant la main, la fit taire.

-Durant toutes mes années de vie, personne d'autre que ma douce Elizabeth ne m'a désobéi aussi facilement que vous l'avez fait toutes les trois.

Le vieil homme aboyait en écarquillant les yeux, de telle manière que les filles reculèrent.

Les guerriers souriaient.

- Seigneur... murmura Rose.

Mais Ellis leva à nouveau la main pour imposer le silence.

-Je savais que ces guerriers les localiseraient, et quand Martin est revenu et m'a informé qu'ils les avaient trouvées, j'ai enfin pu respirer.

Et les regardant avec irritation, il demanda :

-Comment une telle barbarie a-t-elle pu traverser votre esprit ? Vous auriez pu mourir !

-Nous sommes désolées grand-père, soupira Béatrice.

-Vous aurez une punition ! s'écria le vieillard en remarquant leur terrible apparence.

Elles étaient sales, avec des poches sous les yeux, ensanglantées et échevelées.

-Nous accepterons notre punition, acquiesça Rose en baissant la tête.

Ellis, qui n'avait jamais pu résister à ces femmes, sans y réfléchir à deux fois, ouvrit les bras, et d'une voix tremblante, leur ordonna :

-Venez dans mes bras tout de suite !

Poussant un soupir de satisfaction, elles se jetèrent toutes les trois sur le vieil homme au gros ventre qui les aimait vraiment.

Béatrice était sa petite-fille bien-aimée, et Rose et Ada, il les aimait comme si elles faisaient partie de la famille.

Elles étaient sa faiblesse, et tout le monde le savait.

-Et la punition ? demanda Albi à Niklaas en souriant.

-Mes pauvres filles ! Elles ont déjà subi suffisamment de punitions, répondit Ellis.

Maintenant, montez et changez ces vêtements, un merveilleux dîner vous attend.

-Avec des punitions comme ça, pas étonnant que les femmes de ces terres soient comme elles sont, dit Albi.

Les Highlanders se regardèrent et sourirent.

Tous sauf un.

-Tu es doux avec les femmes Ellis, ricana Niklaas.

-Mes amis, vous comprenez maintenant contre qui je me suis toujours battu, n'est-ce pas ? Robert sourit en regardant son grand-père.

-Maintenant je comprends pourquoi ces femmes désobéissent aux ordres, dit Martin d'un ton grossier en s'appuyant sur la porte de derrière.

-Ferme ta bouche Martin, marmonna Albi en s'approchant de son ami.

-Oh... tais-toi ! renifla Béatrice sans même le regarder.

De nouveau incrédule aux paroles de cette petite sorcière, Martin regarda son ami.

-J'ai essayé de te prévenir Albi, pointa-t-il du doigt.

Ton langage te créera un jour beaucoup de problèmes, répondit Martin en s'approchant de Béatrice d'un air sévère.

J'espère que ton frère et ton grand-père pourront trouver un pauvre mari pour te soutenir, car tu es insupportable ! Niklaas, déconcerté par cela, s'avança vers son frère, mais Ellis l'arrêta d'un regard.

Il voulait regarder ce combat.

-Comme si tu te souciais de savoir comment je me comporte ou pas avec mon futur mari ! rugit Béatrice, le surprenant.

Pourquoi ne fermerais-tu pas ta bouche et sors d'ici, la seule chose que tu fais est de déranger.

Grincheux par ce qu'elle avait dit devant tout le monde, Martin se dirigea vers le vieil homme et, lui tendant la main, lui dit au revoir.

-Ellis, je dois partir avant de tuer quelqu'un. Bonne chance pour trouver un mari stupide et sourd pour l'impolitesse de votre petite-fille.

-Bon voyage mon garçon ! répondit Ellis qui souriait en voyant sa petite-fille taper du pied sur le sol.

Elle était identique à sa grand-mère.

-Souviens-toi Martin que tu seras toujours le bienvenu ici.

-Pas question ! cria Béatrice avec ses mains sur ses hanches.

J'espère ne pas avoir la désagréable expérience de te revoir.

-Béatrice, ça suffit ! reprocha Robert, qui vit pour la première fois les griffes de sa sœur et la patience de Martin.

Ferme ta bouche si tu ne veux pas que je me fâche contre toi.

-Bon Dieu, c'est ce dont j'avais besoin ! murmura-t-elle en croisant les bras.

Rose, agacée par le comportement déraisonnable de Béatrice, lui donna un coup sur le bras, lui ordonnant de se taire.

-Martin, déclara Niklaas.

Nous partons demain, je te demande d'attendre demain, c'est une faveur personnelle.

-Très bien, Martin hocha la tête, respirant difficilement.

Mais si ça ne te dérange pas, je vais dormir dehors, je ne veux pas que quelqu'un m'enfonce ses griffes ou m'empoisonne pendant la nuit, dit-il en jetant un dernier regard à Béatrice.

Avec le consentement de Niklaas, l'homme partit, tandis que Béatrice, les yeux trempés de larmes, courut à l'étage en essayant de contenir ses pleurs.

-Attends Béatrice, soupira Anna en courant après elle.

-Par tous les saints ! sourit Albi en regardant sa femme.

Rose suivie Anna et Béatrice des yeux.

-Ton frère... dit Robert.

Niklaas le coupa brusquement et catégoriquement.

-Omettez ce que vous allez dire si vous ne voulez pas que je dise quelque chose sur votre sœur ! En entendant cela, Robert secoua la tête avec un demi-sourire et disparut là où, quelques instants auparavant, sa femme était sortie.

- Quelle merveille jeunesse ! se moqua Ellis, donnant une tape dans le dos à Albi et Niklaas.

Il vaut mieux ne pas se mêler de leurs problèmes ou on repartira ébouillanté, tu n'es pas d'accord ? Et embrassant Kit et les épouses de ces braves seigneurs, il s'écria :

-Vous allez me manquer ! Les filles le regardèrent avec adoration et sourirent.

-Tu seras toujours le bienvenu dans nos maisons Ellis.

Niklaas sourit à l'affection que le vieil homme lui témoignait.

Et bien sûr, elles pourront vous rendre visite.

-Je l'espère.

Et j'espère que vous les traiterez bien, sinon, elles devront s'occuper de moi, dit-il en regardant les guerriers.

Et n'oubliez jamais qu'elles sont des McChrystal, malgré toutes les bêtises qu'ils disent là-bas.

-En cela tu te trompes, corrigea Niklaas, se rapprochant de sa femme, émue.

Maintenant, elle et Kit sont des McCartney.

-Et ma femme est une Hopkins, pointa Albi du doigt.

-Par tous les diables ! s'écria le vieillard en voyant que ces braves guerriers étaient tombés sous le charme des femmes.

J'espère qu'elles seront aussi heureuses qu'Elizabeth et moi l'avons été.

Maintenant, montez dans vos chambres, et vous, dit-il en désignant Niklaas et Albi.

Parlez sérieusement à vos femmes et essayez de les faire obéir à vos ordres dès aujourd'hui.

-N'en doute pas, je pourrai l'apprivoiser, dit Niklaas qui hochait la tête en regardant sa femme.

Rose leva les yeux au ciel quand elle l'entendit.

-Viens avec moi Kit, l'appela le vieil homme.

Et si on allait rendre visite aux poulains nés ce matin ? En entrant dans la pièce, Rose se détourna de Niklaas, se dirigeant vers la fenêtre.

Elle ne voulait pas regarder le lit ou la baignoire qui l'attendait avec de l'eau chaude.

Niklaas, inquiet des réactions que sa femme provoquait en lui, commença à se déshabiller sans la quitter des yeux, laissant son épée sur le dessus de la malle.

Il ôta ses bottes et son pantalon, ne laissant qu'une chemise blanche, il commença à la déboutonner facilement.

Il était debout nu devant Rose, elle baissa les yeux, embarrassée.

Niklaas entra patiemment dans l'eau et laissa échapper un soupir de plaisir alors que le liquide le recouvrait complètement.

-Un bain te ferait du bien, dit-il d'une voix rauque, contrôlant l'envie de l'embrasser et de lui faire l'amour.

-Je ne suis pas d'humeur en ce moment, murmura-t-elle, incapable de détourner le regard de ces larges épaules puissantes qui dégageaient à la fois force et chaleur.

-Tu as deux options, déclara Niklaas en appuyant sa tête sur la baignoire et en fermant les yeux.

Soit tu viens seule, soit je t'aurai.

Rose déglutit.

Lentement, elle enleva ses bottes, plaça son poignard et son épée à côté de ceux de Niklaas, et retira son pantalon souillé et usé.

Niklaas ne voulait pas la mettre sous pression.

Tous ses sens étaient en éveil, et aux sons, il pouvait dire ce qu'elle était en train de faire.

Cela l'excitait.

Quand enfin elle fut laissée dans sa chemise blanche, elle alla à la baignoire et s'arrêtant devant lui plus confuse qu'autre chose, elle dit :

-Si ça ne te dérange pas, je viendrais avec ma chemise.

Il sourit.

-D'accord ma femme, cette fois, je vais le permettre.

Avec un soin extrême, Rose leva sa jambe pour entrer dans la baignoire et, acceptant l'aide de Niklaas, elle s'abaissa pour s'asseoir en face de lui. Sentant la chaleur agréable de l'eau, les muscles de Rose se détendirent, puis elle soupira de plaisir, ne remarquant pas le plaisir qu'il ressentait en la regardant.

L'avoir devant lui, dans sa chemise mouillée et transparente et ses tétons durs, était la chose la plus excitante qu'il ait jamais vue de sa vie.

Rose, inconsciente de l'érotisme, le regarda avec curiosité.

Sa longue tresse flottait dans la baignoire.

-Ne fais plus jamais ce que tu as fait, dit Niklaas d'une voix rauque.

-Qu'est-ce que tu veux dire ? demanda Rose.

-Tu sais très bien impatiente, dit-il en se penchant en avant.

Ne part plus jamais à mon insu.

-Et tu en train de me dire qu'à partir de maintenant, tous mes mouvements seront remis en question par toi ? répondit-elle en le défiant du regard.

-Exactement ma femme.

Le contrôle de Niklaas, avec chaque goutte qui coulait sur le cou de sa femme, le rendait fou.

Il sentit son excitation palpiter et son corps en redemander.

Voir Rose à moitié nue était une douce torture.

Cela ne pouvait pas prendre beaucoup plus de temps.

Prenant son visage dans ses mains humides, Niklaas approcha sa bouche de la sienne et l'embrassa.

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