Point de vue d'Armina :
Sir Herobrine gardait un œil sur sa première cible tandis qu'il m'envoya chercher le prochain... En ville bien sure. J'arrivai enfin devant la ville des humains. Heureusement pour moi, c'était la veille d'Halloween donc ces idiots ne trouvaient point étrange de voir une grand mère au nez crochue se balader dans la rue, je dus seulement ôter mon chapeau car il ne faut pas non plus abuser sur leur stupidité. Mais avant de parler de ville, il fallait bien que je rentre dans ce foutue pays ! Je me présenta devant le garde d'une ouverture boréale du pays de Faramonde.
-Bonjour m'dame vous voulez quoi, me salua-t-il.
Je tentai de faire la mamie légèrement andouillette.
-Je veux entrer, ça ce voit pas, répondus-je avec ma voix chevrotante.
-Vous avez vos papier car là j'ai un peu la flemme de chercher dans le registre...
-Je les ai perdu lorsque je cueillais des pommes dans cette forêt, désolé mon grand.
-Il n'y a pas de pommes dans cette forêt, vous pouvez chercher partout mais les pommes ne poussent pas sur les bouleaux ! Bon je vois que je vais devoir chercher dans le registre... Age ?
J'avais tout prévu enfin... presque.
-Avez vous une carte, demandai-je sans répondre.
-Si je ne sais pas qui vous êtes, je ne vous laisserai pas passer, le règlement c'est le règle...
Je lui éclata en pleine face une bonne vieille potion de poison.
-M... mais qu'est... vous faîtes... Argh !
-Oups !
Tandis qu'il agonisait par terre, je riais de plus belle, ça faisait longtemps que je n'avais pas tué ! Et là comme une idiote, je partis, oubliant totalement le fait que les potion de poisons laissaient au bord de la mort mais elle ne pouvait pas tuer totalement. Je trouvai une carte dans ses affaires et partis vers le centre ville.
Point de vue de Christian Artone :
Je m'étais perdu dans la forêt, merde ! Je sais que je ne dois pas dire d'insulte mais là, j'étais vraiment mal ! En plus, on m'as toujours dis que dans les forêt aux chênes noirs il y avait le plus de monstres mais surtout, partout autour de moi il n'y avait seulement de gigantesques arbres, des longues herbes et des champignons géants. Je ne sais pas comment je suis atterrit ici mais je devais à tous prix survivre rien qu'avec une lanterne. J'entendis le sifflement d'un creeper derrière moi, je tourna la tête d'un regard inquiet. Je partis en fumé... Dans un de ces foutus cauchemars que je faisais depuis cinq jours bien sure ! Tous le monde avaient peur de la légende du Warden mais personne n'avait peur des creeper, il y en avait même qui les trouvaient mignon. Bref je me levai, fit la routine matinale des enfants de neuf ans, bien sure cet idiot de Terrence m'a fait peur avec son masque de creeper en me sautant dessus mais ce n'est qu'un détail...
-SSSSSSSSSSSssss ! siffla l'idiot en imitant affreusement bien le bruit du creeper.
J'hurlai comme une poule mouillée.
-Je te demande juste de me laisser tranquille aujourd'hui ! Juste celui de mon anniversaire !
Mon frère ria, il en avait rien à carrer de ce que je venait de dire.
-Et tu sais où tu vas le passer ton joli petit anniversaire ? Nan... qu'est ce que je dis, tu vas fuir la fête comme l'année dernière comme tu peux pas te tenir devant une p*tain de mascotte !
-Tu crois franchement que j'ai encore peur ? répondis-je déterminé.
-Ouaip.
Il me frotta les cheveux. J'avais envie de le poignarder, mais je ne suis pas un meurtrier, jamais je n'ôterais la vie d'une personne. Jamais.
Il était maintenant temps d'y aller, j'espérais que cela finisse vite. Mon père m'attendait devant la porte.
-Tu viens Christian ? demanda-t-il, le cheval est un peu capricieux aujourd'hui.
J'enfilai ma veste et obéit à contrecœur. En me voyant avec mes habits normaux, il me regarda d'un aire interrogateur.
-Tu ne veux pas mettre ton costume de squelette ?
-Euh... non, j'aime pas trop me déguiser.
L'ingénieur soupira.
-Il t'allait bien pourtant... mais c'est pas grave, monte.
Pour dire vrai, tant qu'il ne me parlait pas de creeper, j'allais assez bien. L'animal entama sa route sur le sentier, sous le ciel orangé de l'automne. Jusqu'à là, je me sentait serein mais lorsqu'il entra vraiment en ville, je commença à paniquer.
-Dis moi papa, demandai-je la voix tremblante.
-Oui ?
-Est-ce normal de faire des dizaines de fois d'affilé le... même rêve ?
Je voyais bien sa confusion.
-Je... ne sais pas.
Bien sure il mentait.
-Et du coup père, vous avez enfermé à double tours tous les animatroniques de monstres ?
-Oui, oui ne t'inquiète pas ! Mais en fait, tu fais toutes les nuits le même rêve ?
Le garçon baissa la tête.
-Oui mais je peux vraiment pas en... parler et c'est plutôt un cauchemar.
-Moi aussi, je suis dans le même cas, dit mon père.
Je regardai son visage, il regarda le vide d'un air assez... troublant. Il lâcha un petit rire et commença à décrire.
-J'entends un bruit de détonation, un corps totalement brûlé roule sur le sol et une foule l'entoure pour voir si il va bien.
J'étais tout autant confus que lui.
-Et tu distingue la victime ?
Il nia en agitant lentement la tête. Puis la tourna vers moi avec un visage terrifié.
-Mais je pense me souvenir que je suis responsable de la mort de ce type.
On avait vraiment un problème dans cette famille entre moi qui a peur d'un sifflement, mon frère qui n'avait rien d'autre à faire dans sa vie que m'embêter, ma sœur qui passait toute la journée dans les toilettes à se maquiller et mon père qui parlait d'homicide à son enfant de sept ans. Durant le trajet, je vis de nombreuses personnes déguisés et sonnant aux portes des inconnues pour leur réclamer des sucreries. Lorsque je voyais un costume de creeper - et heureusement pour moi, il n'y en avait pas beaucoup comme les gens trouvaient qu'ils n'étaient pas du tout flippant -, je détournais le regards. Une vieille femme attira mon attention, déjà parce que son déguisement de sorcière était extrêmement bien fait mais également comme elle me regardait d'un air perturbée. Cette fête permettaient réellement aux plus barjo de se balader.
Nous arrivâmes devant le musé, bien sure, à coter du titre du bâtiment, il y avait une tête de creeper. Mon père me porta pour me faire descendre de l'animal.
-Ah, et aussi, j'ai seulement enfermé les vieux animatroniques, j'avais mal compris ta question avant ! Ça ne te pose pas de problème qu'il y ait les nouveaux robots, ils sont mignons en plus !
-Non... t'inquiète pas, prononçai-je avec difficulté.
Mes derniers souvenir de ma mère, tuée par ces maudits creepers me remontèrent soudainement. Ce fut terriblement atroce de résister à la tentation de fondre en larmes. Je ne voulais plus parler et entrai à l'intérieur. Je levai la tête au milieu du bâtiment, mes yeux s'écarquillèrent en voyant le colossal "faux" squelette de hoglin.
-Allez, m'encourageai-je, tu verras des abominations bien plus pires que ça !
En voyant toutes ces personnes me chanter mon joyeux anniversaire, j'étais heureux. Pas parce que c'est sympa de chanter pour quelqu'un mais plutôt comme leur chant idiot avait ralentit de quelque secondes l'activation des animatroniques, car oui, les enfants comptaient "s'amuser" avec les atrocités de mon père à la fin du gâteau. Une longue table avec tous ce que vous pouvez vous imaginer comme nourriture d'Halloween c'est à dire des gâteau étrange et des bonbon. Si seulement nous l'avions fêté autre part, car là, je n'avais rien mangé comme j'étais persuadé que ce serait l'erreur fatal pour vomir. L'on tenta d'engager la discussion avec moi à propos encore une fois de mon super déguisement, de ma chance d'avoir mon anniversaire le jour d'une fête et des monstres en général. Je tentais le plus vite possible d'achever le dialogue en restant respectueux. Je croisai de loin le regard de Terrence. Cet abruti me sourit d'une manière pas du tout rassurante.
Mon père monta la scène de réunion utilisé aujourd'hui pour faire des annonce.
-Vous les aviez tous attendu, veuillez accueillir nos chères ami les monstres de redstone.
-Tous ?! Comme si j'étais pressé de voir leur sale tête en ferraille.
Un zombie se déplaçant automatiquement entra sur scène, ils l'acclamèrent en hurlant son nom comme des timbrés car mon père avait profité de mon anniversaire pour inaugurer ses nouvelles machines.
-Salut les gars, huh huh huh, ricana le monstre avec sa voix vraiment mal faite, z'êtes prêt à donner votre cervelle à tonton zombie ? Nan, j'rigole bien sure, mais assurez vous de respecter le règlement ! Sinon je le ferai huh huh huh huh !
S'ensuit le reste des monstres avec leur dialogue recyclé. Le squelette, l'enderman, l'araignée et... la star de tous... le creeper. Je le vis arriver avec son corps métallique et pas du tout réaliste mais c'était un vrai creeper pour moi. Je tenus trois secondes ensuite, je me boucha les oreilles. Deux mains bien plus puissantes que les miennes me les déboucha de force. Le creeper était sur le point de démarrer son dialogue donc je levai la tête pour voir celui qui me tenait les bras. C'était bien évidemment Terrence. Je tentai de lui donner un coup de pied.
-Chut, me souffla-t-il, ça va t'aider pour le jeu d'après, annonça-t-il en esquissant un sourire semblable à celui d'Herobrine.
-Ssssssssssssssalut les gars, z'êtes prêts à bien sssssssssssssssss'amuser mais faut être sssssssssssssssssssage sinon je n'aurais plus d'autre choix que d'exploser, siffla le creeper
Terrence m'avait mit la main devant la bouche pour ne pas que je criasse tout au long du dialogue.
-Maintenant, passons au vrai jeu.
A la fin du dialogue, mon frère tenta de me tirer discrètement au coin d'une pièce mais je me débattais.
-Si tu continues tu vas le regret...
Cette fois, je pensai que le coup que je lui avait donné au tibias était légèrement trop fort. Il grimaça de douleur mais finit par sourire.
-Je crois que t'as besoin d'une bonne leçon toi. On va aller rendre visite à ses bon vieux animatroniques.
En entendant ce dernier mot, j'hurlais de frayeur mais mes cries de détresse se mélangèrent au brouhaha des autres enfants comme j'étais tout de même loin. Je me débattait comme si ma vie en dépendait, tellement qu'il dut me traîner par les pieds et comme nous avons descendu un escalier, je peux vous assurer que ça avait fait mal. Alors que je l'implorai, mon grand frère totalement détraqué s'arrêta. Je pensai dans un premier temps qu'il avait retrouver raison mais je vis la porte en fer avec marqué dessus "Pièces et Maintenance" j'étais presque persuadé que derrière cette porte, j'allais y retrouver des horreurs.
-Nan, s'te plaît ne fais pas ça, je le dirai à papa... J'ai... j'ai vraiment peur... Je t'en supplie... Pitié.
Il tira les clefs qu'il a très probablement volé à notre père, ensuite, il rit.
-Tu me diras si ils sont sympa ! me proposa-t-il d'une voix terrifiante.
Je me débattais plus frénétiquement lorsqu'il ouvrit la porte de cette salle dont je ne voyait rien tellement elle était sombre.
-NON !
-Amuse toi bien !
Il me jeta et m'enferma.
Point de vue omniscient :
Monsieur Artone, le père de Christian, avait invité le roi Steve car celui-ci était curieux de l'avancé technologique de son royaume. Armina croisa par hasard le roi Steve dans la rue. Elle lui sourit et angoissait un peu comme, lorsque Herobrine provoquait les humains en guerre, les deux étaient ennemis.
-Bonjour votre majesté.
Steve fronça les sourcils.
-Bonjour... il me semble vous avoir déjà vu quelque part, non ? Mais sinon, bonne journée.
-Oui c'est ça.
Elle suivait discrètement son ennemi de loin qui se présenta avec sa femme Alex devant la porte du musé tandis que le propriétaire lui fit la révérence.
-Bien le bonjour Sir.
Le roi lui sourit, il n'aimait pas se prétendre supérieur aux autres.
-Oh, appelez moi monsieur Faramond, mais sinon, merci pour l'invitation.
-Il n'y a pas de quoi votre majesté euh... monsieur Faramond.
La reine regardait le gigantesque musé.
-Je vois que vous fêtez Halloween, remarqua Alex.
-Oui c'est bien cela ma reine, si vous voulez bien me suivre, demanda-t-il en cachant tant bien que mal son sourire terrifiant.
Monsieur Artone s'apprêtait à faire quelque chose de grave en les entrainant vers la salle de maintenance. Il comptait assassiner la famille royal. En effet, il avait ce matin là activé l'agressivité des monstres robotiques. Terrence ne le savait pas mais... depuis ce matin, les vieux animatroniques attaquaient tous les humains qu'ils repéraient.
Point de vue de Christian Artone :
J'appuyai sur l'interrupteur de la vieille lampe en redstone qui clignotait pour ensuite me retourner doucement et croiser les machines. Heureusement pour moi, elles étaient éteinte et couchés par terre, mais je commençais tout de même à péter un câble. Je toquai à la porte.
-C'est plus du tout marrant ! Ouvre !
Très probablement grâce à leur détecteur de son, les mascottes s'actionnèrent et activant ainsi leur ventilateur. Ils tournèrent leur tête vers moi en me fixant, j'étais pétrifié de peur en voyant celle du creeper chargé au fond de la salle.
-Je... je suis dans un rêve, ce n'est pas possible ! me persuadai-je.
Le vieux prototype de zombie ayant perdu un de ses bras s'approcha de moi en marchant bizarrement grâce à son système de piston.
-Ouvre... je t'en conjure...
-Nop !
La voix du monstre était brouillait tellement les robots étaient dans un sale état.
-Bienvenu les futures cadavres... les amis, je m'appelle zombie et je suis ici pour vous envoyer en enfer... vous guidez dans ce magnifique musé ! Huh huh huh huh... Meurs.
La façon dont cette machine se contredisait sous entendait quand même qu'elle comptait me réduire en miette ! J'avais l'impression que le dialogue de base était modifié.
Le cube qui lui servait d'unique main pivota sur lui même pour bien se fixer à son bras, il l'arma. Je comprenais alors qu'il voulait réellement m'attaquer.
-LAISSE MOI SORTIR ! ILS COMPTENT ME BUTER !!!
-Mais arrête de dire n'importe...
Le coup partit, je l'évitai de justesse en me projetant par terre, donc il frappa violemment la porte.
-M*rde, c'est vrai en plus, attend je t'ouvres ! s'inquiéta Terrence qui voulait seulement me faire une farce.
Le vieil animatronique de squelette se leva à son tour, il ne restait plus que sa mâchoire.
-Appelez moi squelette cupidon ! Si vous avez un ou une amante que vous souhaitez séduire, je me ferai un plaisir de lui tirer dessus d'une flèche... en pleine cervelle... d'une flèche d'amour !
Mon grand frère ouvrit la porte.
-Vient, vite !
La machine lui jeta une flèche en pleine poitrine avec son arc attaché à la main. Le lâche fuit sans me sauver alors que moi j'étais à l'opposé de la sortie. J'étais seul. Pour éviter la flèche du squelette, je me glissai sous un bureau et en profitai pour prendre une longue vue en cuivre qui traînait afin de me défendre. Par terre, je remarqua un tas de câble qui provenait de l'animatronique d'araignée géante qui n'avait plus ses pattes, elle avait une voix de petite fille.
-Les humains ont peur de nous hi hi hi, mais il ne faut pas, nous voulons seulement... goûter à leur chaire fraîche... être amis avec vous !
Un de ses câble m'agrippa la jambe et me tira vers ses crocs. En la frappant avec la longue vue, je lui décrocha sa tête fragilisée. Alors que j'étais sous la table, je remarqua des pattes vertes à coté de moi. Je levai la tête et vis mon cauchemar se réaliser. Le creeper chargé, avec ses yeux colorés en rouges me fixait.
-Les enfants, prêt à vivre une fête explosive... prêt à partir en cendres ?
Lorsque j'entendis le sifflement d'une dynamite sans le ventre du tas de ferraille, j'hurlai en reculant rapidement mais le zombie me ramena devant le monstre kamikaze d'un coup de pied.
-Sort de là ! hurla mon père dans les couloirs.
Cette fois, je partis en fumé dans la réalité.
Point de vue d'Armina :
C'était mon premier jour dans le royaume et je peux vous dire qu'il était assez mouvementé. Tout simplement car le roi avait faillit se faire assassiné par le proprio d'un musé mais c'est son fils qui s'était prit l'arme, il est quand même chanceux ce type et en plus, ça nous aurait grandement facilité la tâche. Du coup, d'après la foule de gens qui parlait, j'avais compris que le tueur aurait pété les plombs en voyant l'état de son enfant. Il avait donc sortit son poignard avec lequel il avait auparavant tué Terrence, je ne sais pas qui c'est mais bref. Il tenta ensuite de planter Steve alors qu'il lui faisait visiter le musé, mais les gardes du corps l'avaient maîtrisé. Et bah du coup le bougre est condamné à mort. Mais je me concentre plus sur le cas de son fils, Christian Artone. Je l'observait, il était tiré sur un brancard par des médecins. Oula ! Il était dans un sale état et c'était pas beau à voir. Il avait surement dut explosé vu ses brûlures. Mais je devais me concentrer sur ma future cible et j'avais une petite idée.
Après quelque jour à chercher l'hôpital et bien sure, j'ai dormi dans la rue ! Je le trouvai enfin. J'entrai dans le bâtiment en quartz blanc en me présentant devant les gardes. Cette fois, je ne devais pas compter sur mes potions pour entrer.
-Bonjour ma p'tite dame, c'est pour ?
-Je me suis coincé le dos en trayant une champimeuh, mentis-je même si il était assez peu crédible, je voulais juste tester la débilité d'un humain.
Les soldats se regardèrent.
-Tu sais c'est quoi une champimeuh ?
-Nop mais bon c'est pas grave, allez y m'dame, on va pas vous retenir plus longtemps.
Je suis tellement heureuse que les humains soit aussi idiot. Normalement, je devais attendre dans une salle qu'un médecin vienne mais j'empruntai discrètement le couloir dédié aux salles d'urgence. Le nom des patients étaient inscrit sur la porte. Je me souvenais qu'il s'appelait Aftone ou un truc comme ça. Après une vingtaine de nom, je lus enfin "Artone" sur la porte, je regardai par la vitre, l'enfant dormait sur un lit, inconscient. La porte était fermée à clef donc j'explosai dessus une potion de décomposition, celle-ci refermait un poison du wither modifié et bien plus acide. Ainsi, la porte en fer se décomposa en quelque minutes. Je m'approchai de lui et regarda le compte rendu de son état. Il avait entre un et deux jours à vivre donc, normalement, aujourd'hui il devrait y passer. Je paniquai a l'idée que j'avais fait tous ça pour rien et vérifia son pouls. Il était vraiment au bord de la mort. Je commençai à lui parler comme-ci il m'entendait.
-Tu peux m'entendre ? Je ne sais pas si tu peux m'entendre... Je suis désolé pour toi mon garçon. Je sais que nous détestes, nous les monstres mais nous seront très bientôt ton ami et nous te traiterons comme un ami. Tu es totalement détruit mais ne t'inquiète pas, je vais te réparer.