Chapitre 29 " Seule "

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Perdue dans les innombrables rues de Londres, Haven marchait. A vrai dire elle n'était pas réellement perdue étant donner qu'elle n'avait pas de destination finale. La jeune fille se contentait de marcher, laissant ses pieds la mener là où ils auraient choisis. Mais après des heures de marche, alors que le soleil avait disparu et que la nuit se faisait de plus en plus sombre chaque minute, elle repris le contrôle de son esprit et décida de se réfugier dans un bar. Elle n'avait nul part où dormir  et de toute façon le peu d'argent qu'elle avait datait de l'époque de l'orphelinat et ne lui permettrai pas de payer une nuit d'hôtel. Le bar était tout ce qu'il y a de plus typique à Londres, une ambiance sombre avec pour seul éclairage des néons colorés accrochés aux murs, un rock endiablé qui rugissait des enceintes et entrainaient les plus courageux sûr la piste. 

S'asseyant alors sur l'un des tabouret du bar elle demanda un vers au barman en lui laissant carte blanche du choix tant qu'il l'aidait à oublier. Face au hochement de tête de ce dernier la jeune fille comprit qu'elle ne devait pas être la seule à trainer dans les bars en quête de se vider la tête des tracas de la vie. Quelque minutes plus tard elle fixait le liquide translucide posé devant elle. Qu'est ce qu'elle aurait aimer oublier, oublier cet impression que son coeur lui avait été arracher à sa poitrine. Comme si on s'était amuser à la poignarder sans qu'elle meurt seulement pour qu'elle souffre. Elle aurait tant aimer retourner aux cotés de Thomas, vivre dans ses bras comme à l'époque du manoir. Juste lui et elle, pas de guerre, pas de méchants ou de gentils...simplement eux. Mais non elle ne pouvait pas. Lui aussi lui avait menti, il s'était amusé sa naÏveté, de son innocence pour arriver à ses fin. L'avait il seulement aimer un jour. 

Elle se retrouvait seule et n'avait pas une personne sûr qui compter. Tous ceux qui c'était apparenter de près ou de loin à sa famille l'avait trahis. Que ce soit Thomas, Harry, Sirius,.. ils ne valaient pas mieux  les uns que les autres. Se disant qu'elle avait assez réfléchit pour aujourd'hui elle décida d'oublier, et d'une seule gorgée vida le verre. 

Les amants maudits, Tom JedusorOn viuen les histories. Descobreix ara