Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamais

Partie 26

PARTIE 26:

Maman : A 19h30, c'est bon ?

Moi : Oui, a tout à l'heure

J'ai raccroché, et je suis parti en cuisine, On était fin Juin, et mangé quelque chose de chaud sa serait pas passé je pense.

Alors j'ai commencé à préparé des quiches, une quiche au saumon, l'autre au thon, et l'autre au fromage. Puis j'ai fais une grande salade.

Pendant que je cuisinais, Aymen est redescendu le visage neutre.

Moi : Alors ?

Aymen : Ouais, je lui ai dit à 19h c'est bon ?

Moi : Ouais, moi j'ai dit à ma mère de venir à 19h30 mais ce n'est pas grave.

Aymen : Vassy toi aussi là !

Moi : (choqué) : Qu'est ce qui y'a ?

Aymen : Rien ne me soule pas !

Il est partit se posé dans le jardin et à fumé une clope, moi j'étais choqué.
Il est trop lunatique, est sa en devient soulant.

****

Il est 19h15, et il y'a toujours personne de la famille d'Aymen.
La table est mise, Aymen est prêt et moi aussi.

Moi : Aymen, pourquoi ils sont toujours pas la ?

Aymen : Je ne sais pas.

Moi : Ta vu Aymen ! Apres tu dis c'est moi je ne fais pas d'effort, mais même ta famille hein !

Aymen : Ne Commence pas !

Moi : Vassy je me tais, parce que sa va partir loin sinon.

Aymen : Ouais c'est mieux

Je suis reparti dans la cuisine, il y'avait de la glace au chocolat, je me suis assise sur une chaise et j'ai commencé à en mangé en caressant mon ventre, Quand Aymen est rentré dans la cuisine.

Aymen : Isleym ?

Moi : Oui ?

Aymen : Désolé pour tout à l'heure, mais je suis sous tension en se moment.

Moi : J'ai vu Aymen, mais tu ne veux rien me dire, je fais comment moi ?

Aymen : Patiente un peu, et je te jure qu'on sera bien !

Moi : Mais t'es pas tout seul Aymen, tu peux m'expliquer ce que tu as.

Aymen : Non toi t'es ma princesse, tu te soucis pas de moi, vis ta vie et moi je m'occupe du reste.

Moi : C'est pas comme sa un couple.

Aymen : Chut, tu t'occupes bien de ma princesse dans ton ventre c'est tout !

Moi : Mdrrr, t'es déterminé avec ta princesse !

Aymen : Bah Oui, obligé c'est une petite belle-gosse comme son père.

Moi : Ouais y'a pas de doute.

Aymen : Viens-la.

Il ma levé de la chaise et ma pris dans ses bras, en m'embrassant, puis après il ma serrait fort dans ses bras.

On est resté comme sa 2min, puis :

DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING (sonnerie de la porte).

Aymen : Bouge pas je vais ouvrir

Je suis parti au salon et j'ai attendu qu'Aymen aille ouvrir.

Au final c'était ma famille, qui est venu à l'heure, et on attendait toujours la famille d'Aymen .