Partie 9

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PARTIE 9:

Jusqu'a ce jour, ou mon téléphone a sonnait :

Appel Entrant : +33*******

Moi : Ouais Allo ?
? : Wesh Isleym !
Moi : C'est qui ?
?: Jure tu me reconnais pas ?
Moi : Non.
?: C'est Sofien !
Moi : Ah comment tu vas ?
Sofien : Hamdoullah et toi ?
Moi : Hamdoullah.
Sofien : Je t'ai laissé mon numéro jamais tu m'a envoyé un message.
Moi : Ah j'étais occupé . (OCCUPER A NE RIEN FAIRE OUAIS)
Sofien : Ok. Tu fais quoi la ?
Moi : Rien pourquoi ?
Sofien : Vasy prépare toi, je viens te chercher.
Moi : Mais je peux pas sortir .
Sofien : Pourquoi ?
Moi : J'ai pas les clés et la porte est fermé, puis Aymen il va me tuer apres .
Sofien : T'inquiète Aymen il n'est pas là, et les clés je sais ou y'en a des doubles.
Moi : Euh bah Ouais alors.
Sofien : Vasy je viens t'ouvrir de que j'arrive.

On a raccroché âpres sa, sa faisait au moins 4 mois que je n'étais pas réellement sorti, alors je comptais bien profiter, si j'ai accepté de sortir avec Sofien, c'est parce qu'il semble être quelqu'un de confiance et aussi etre le meilleure pote d'Aymen, donc il ne reste pas d'avoir des idées derrière la tete .

30minutes apres son appel, j'étais déjà prête, je me suis habiller vite fait, un chignon à la Kim kardashian et un peu de crayon noir et mascara.
Peu de temps apres, la porte d'entrée c'est ouverte, je me suis lever quand j'ai entendu :

Sofien : Oh Isleym ?
Moi : Oui, j'arrive .

Je l'ai rejoins à l'entrée.

Moi : Tu veux rentré boire quelque chose ?
Sofien : Non c'est bon. Allez active pour qu'on bouge.
Moi : Oui on y va.

Je suis sorti, et lui à fermé la porte derrière nous, puis on c'est dirigé vers la voiture de Sofien.

Sofien : Wesh sa fait combien de temps que t'es pas sorti toi ?
Moi : Depuis mon mariage, enfin y'a eu aussi quand on est sorti pour allez chez la mère d'Aymen mais voilà quoi .
Sofien : Ouais, il m'en a parlé.
Moi : Hum
Sofien : T'inquiète il n'est pas là, il est parti en Espagne avec Bouchra.
Moi : Ah c'est pour sa que sa fait 3jours qu'il n'est plus rentré.

Alors là, j'ai eu trop mal au cœur, malgré la misère qu'il me fait vivre, j'étais attaché de lui, beaucoup trop même, et le fait qu'il me laisse sans même dire qu'il est partit, je suis restais choqué.

Sofien : Ouais, bref on va mangé je pète la dalle .
Moi : Oui.

On est parti direction un kébab , on c'est posé et puis on a commencé à parler .

Sofien : Wesh alors la vie de femme marié c'est comment ?
Moi : Tu veux vraiment savoir ?
Sofien : Vasy dit toujours .
Moi : C'est la misère !
Sofien : Tu parles pas beaucoup hein.
Moi : On m'a appris à me taire. (Je parlais d'Aymen).
Sofien : A Ouais ? Et Qui ?
Moi : Bref, sinon je sais rien de toi .
Sofien : Crois pas tu peux m'esquiver comme sa ! Qu'est ce que tu veux savoir .
Moi : Tout !
Sofien : Bah je vais pas te déballer ma vie comme sa aussi .
Moi : Ta des frères et sœurs ?
Sofien : Ouais, j'ai trois frères, et deux petites sœurs .
Moi : A Ouais les pauvres tes sœurs mdr, mais ta quel âge ?
Sofien : j'ai 22 ans.
Moi : A Ouais, et comment ta connu Aymen ?
Sofien : Allez Hop Hop Hop on bouge, tu parles trop là !

J'ai rigolé mais j'ai bien vu qu'il essayait d'esquiver la question.

Moi : (en sortant du kébab) On va ou ?
Sofien : Je sais pas, tu veux allez ou ?
Moi : Viens on va faire un tour à la plage !
Sofien : vasy .

On est donc parti direction la mer, on parlait de tout et de rien. Puis on c'est posé sur le sable et :

Sofien : T'es algérienne, c'est sa ?
Moi : Ouais, et toi ?
Sofien : Marocain ma gueule !
Moi : sa me manque le bled.
Sofien : Ouais. Sa manque à tout le monde je crois .
Moi : Et Ouais. Bon et toi alors ?
Sofien : Quoi moi ?
Moi : Tes amours zerma ?
Sofien : T'es folle ou quoi ?
Moi : Bah quoi, zerma t'as honte ?
Sofien : Non, juste sa fais pas homme si je te raconte !
Moi : Allez s'il te plait !
Sofien : Vasy, mais tu fermes ta gue*le !
Moi : Ouaiiiisss ! Oui t'inquiète je dis rien.
Sofien : Y'a deux ans en arrière, je rentrais d'une soirée, et j'étais pas très net, et je suis rentré dans une voiture, c'étais une gadji (fille) qui conduisait, et on est sorti de nos voitures pour faire les constats, et j'étais pété, donc je ne prenais pas sa au sérieux, on c'est échangé nos numéros pour l'assurance, puis chacun a pris sa voiture et à bougé. Quelques jours après elle ma appelé pour l'assurance et on c'est vu, elle étais recousu à l'arcade, et je lui ai demandé si c'était par rapport à l'accident elle ma dit non, et puis après d'un coup elle pleurait, j'ai voulu comprendre, et puis elle ma dit qu'un gadjo de son quartier la tapait parce qu'elle fessait que de le recaler et j'ai voulu l'aider et voila quoi. Sa fait deux ans on se voit en tant que pote zerma, mais au fond c'est pas que ma pote.
Moi : C'est trop mignon !
Sofien : Quel mignon toi, allez tire toi !
Moi : Mdrrr
Sofien : Bon on y va !
Moi : Ouais.

On c'est lever et on est parti direction mon chez moi.
Apres qu'il m'est ouvert la porte j'ai remercié Sofien :

Moi : Merci Sofien, pour cette journée wallah !
Sofien : T'inquiète grosse, allez à la prochaine incha'Allah et appelle moi si y'a un problème.

Puis il a refermé derrière lui, pour pas que Aymen sache que j'étais sorti, puis de toute manière on sait jamais hein.

Je suis rentré et je suis parti dormir directement.
Le fait d'être sorti et d'avoir passer une bonne journée sa ma remotivée .
Le lendemain comme d'habitude, j'étais seul, et d'âpres Sofien, Aymen était en Espagne avec Bouchra en plus, et Bah ils doivent prendre du bon temps hein.

2 Jours âpres ma sortit avec Sofien, en début de soirée, vers 20h, la porte d'entrée c'est ouverte, et j'ai pu voir Aymen bien beau tout bronzé, mon cœur à battu a fond.

Quand je l'ai vu, j'ai rougis, j'ai eu chaud d'un coup. Il ma regardé et ma dit :

Aymen : Wesh alors c'étais bien avec Sofien ou quoi ?
Moi : Quoi ?
Aymen : Tu crois que je le saurais pas ou quoi ?

Je me suis levé, j'ai commencé à tremblais tel une folle, j'avais peur qu'il me tape comme la dernière fois.
Moi : Wallah c'est pas ce que tu crois, wallah , on est juste sorti faire un tour.
Aymen : Wesh déstresse salle conne, je sais. Il ma prévenu avant.

J'étais soulagé d'un coup, Hamdoullah Aymen avait confiance en Sofien, et heureusement que Sofien était honnête.

Aymen : (en m'imitant) : Non wallah ce n'est pas ce que tu crois, wallah ! mdrrrrrrrr t'es une folle !

Je l'ai regardé choqué, pourquoi est ce qu'il semblait gentil, calme ?

Aymen : Bon azy, je vais me douché, fais moi des pates stp.

Sans que je ne puisse répondre, il c'est dirigé vers la douche et est partit se doucher.
Je me suis lever, et je suis parti faire des pates avec des steaks j'avais très faim.

30min âpres, il a finit sa douche, et moi je venais de finir de poser la table.
Sans parler j'ai pris mon assiette, et je me suis dirigé vers le salon pour me poser devant la télé quand :

Aymen : Wesh tu va ou la ?
Moi : Je mange dans le salon.
Aymen : Reviens là, je ne mange pas comme un chien tout seul moi !

Sans répondre, je l'ai rejoins autour de la table, personne ne parlait quand il ma dit :

Aymen : Tu sais j'étais ou ?
Moi : Oui.
Aymen : J'étais ou ?
Moi : Avec Bouchra, en Espagne.
Aymen : Ouais.
Moi : ...
Aymen : Bouchra tu la connais depuis quand ?
Moi : Euh, depuis petite, enfin ouais on était gosse quand on c'est connue.
Aymen : Hum.

Personne n'a plus parlé, mais je sentais qu'il voulait me dire quelque chose, mais sa semblait au dessus de ses force.

Apres avoir finit de mangé, j'ai fais la vaisselle quand d'un coup la porte a sonné.

Aymen : Tu ne bouges pas de là !

Il est allez ouvrir la porte et d'un coup j'ai entendu des verres se cassait, des cries d'hommes.

Sa se battait dans le couloir de l'entrée, j'ai eu peur, j'étais paniqué, j'ai pris un couteau avec moi, et doucement je me suis dirigé vers l'entrée, et là j'ai vu le pire.

Deux hommes étaient sur Aymen en train de la taper, quand j'ai vu sa, j'ai eu l'impression de me voir moi par terre, et Aymen sur moi entrain de me tapé.
J'ai crié comme une folle apres avoir vu sa :

Moi : NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !! ARRETEZ ARRETEZ !

Les deux hommes se sont arrêté, et m'ont regardés comme si ils ne s'attendaient pas à me voir là.

J'ai couru vers Aymen, il était à terre, en sang. J'ai voulu le faire bougé, mais un des hommes qui tapaient Aymen ma lever par mes cheveux et ma collé dos a lui. Mon dos collé son torse, il a pris le couteau de mes mains et me la passait sous le coup, à ce moment j'ai cru mourir !

Chronique d'Isleym: C'est toi et moi contre eux, toi et moi à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant