Opération LOVE ! --Ereri/Yumikuri--

Chapitre 10 : J'ai le droit ?

PDV Livai.

Nous sommes le cinq février et ça fait actuellement une semaine que je ne suis pas aller en cours. Je n'ai pas le courage de voir Eren mais surtout d'affronter ses paroles. Je l'ai fait pleurer. Je suis minable. Je suis nul. Je suis un incapable. Je ne suis bon qu'à le faire pleurer. Il est sept heures et je suis actuellement face contre matela et la couverture sur mon corp dénuder de tout vêtements sauf un caleçon. Je n'ai pas dormi et je m'endors enfin. Je sent qu'on secoue mon corp violemment. J'entends des crie qui me saigne les oreilles. La voix d'Ymir. Je regarde vers elle, puis elle m'enlève ma couverture. J'ai froid mais je bouge pas et la regarde avec un regard noir.

Ymir : Aller debout ! On ce lève !

Je grogne.

Moi : Hmmm. Tch j'ai pas envie.

Ymir : Tu va pas rester là à te morfondre toute ta vie.

Elle me regarde tristement puis aborde un regard déterminé.

Moi : Tch pourquoi pas ?

Elle souffle et me regarde désespéré.

Ymir : Tu crois franchement que je vais laisser mon meilleur ami comme ça ? Tu est naïf.

Moi : Je veux pas aller au lycée...

Ymir : Tu veux pas aller au lycée ou tu veux pas le voir ?

Moi : Je vois pas de qui tu parle.

Ymir : Fait pas l'imbécile. Je parle de Eren bien sûr.

Moi : Je veux pas le voir...

Ymir : Tu veux pas le voir ou entendre ce qu'il a à te dire ?

Moi : Tu le sais très bien.

Ymir : Pourquoi ? Si je me rappelle bien tu lui a dit que tu voulais pas de réponse.

Moi : Mais il est parti en pleurant. Il me déteste maintenant.

Ymir : Comment tu le sais ?

Moi : Hien ?

Ymir : Comment tu sais qu'il te déteste alors que tu lui a pas demander ?

Elle me regarde durement et affiche un visage sérieux.

Moi : De toute manière j'ai pas la force.

Ymir : Tu peux pas lui demander si tu reste ici. Je t'ai connue plus courageux que ça Ackerman.

Elle m'a appelé Ackerman ? Je fais si pitié que ça ? Elle a raison. Je n'ai pas pour habitude de me laisser abattre pour si peut. Je me lève et commence à partir.

Ymir : Tu va où ?

Je me tourne et vois qu'elle me regarde déterminée avec pour accompagner, un sourire chaleureux et encourageant. Je lui affiche un sourire chaleureux et sincère.

Moi : Je vais le voir. Merci. Ymir.

Elle rigole et affiche un visage fière.

Ymir : Tout le plaisir est pour moi. Bon aller go.

Sûr ces mots elle sort et me laisse faire ma routine habituelle. Quand je suis dans le bus je réfléchis à ce que je pourrais lui dire. Il serait mieux de lui demander d'oublier ce qu'il c'est passer mais mieux pour lui. Le mieux c'est de lui demander de faire comme si de rien n'était et qu'il oublie seulement et seulement si il en a envie. Eren ce choix t'appartient. Je fuis peut-être une autre responsabilité mais je veux que ce choix soit le tiens. J'ai était bête de me dire que ça allait bien ce passer. Je regarde trop de film, lis trop d'histoire. Je suis dans la vraie vie et ça ce passe jamais comme on veux. Je devrais être habitués depuis le temps que je suis ici. Dix-sept ans de vie m'a rien appris. En fait la vie est juste une succession d'événements bien ou mauvais qu'on ne peut éviter sauf en se donnant la mort. Dans ce point de vue la mort seraient comme la liberté ? Ou alors un événement pire que nos précèdent ? Il y en à qui disent que la vie est comme l'école. On apprend et au bout d'un moment on à un examen. La mort seraient donc l'examen final ? Je n'en sait rien. Pour moi tu vie que lorsque tu as une personne que tu veux protéger, en qui tu as confiance, en fait que lorsque que tu aime. Fraternelle, amical, amoureux, peut importe ton amour tant que tu aime tu vie. C'est mon point de vue. Donc Eren, Ymir, Maman, Papa, Hanji, Mike, Connie, Sacha, Annie, Historia, les parents d'Ymir, Yuma, toute ces personnes son ma vie. Bref la déprime ne me réussi pas. Ça me rend philosophique. J'aime pas ça. J'aimerais être aussi fort qu'Ymir. Même si elle reçoit plusieurs rejets je suis sur qu'elle sourira toujours. Elle n'a jamais pleurer. De puis le temps que je la connais je peux vous l'affirmer. Je l'ai jamais vue pleurer. Cette fille est extraordinaire. Après elle le sera toujours moins qu'Eren. Moi ? Acro à Eren ? Pas du tout. Je suis juste tomber amoureux, c'est pas la même chose. Je sorti de mes pensés quand le bus s'arrête. Je descend, fait ma routine, puis nous nous dirigeons vers le groupe qui est sûrement déjà au complet. J'ai un peut traîner pour boire mon thé. J'avais raison, ils sont tous là. À peine arriver que je fixe Eren dans ses magnifiques orbes émeraude. Je prend la parole.

Moi : Il faut qu'on parle.

Eren : Moi ?

Il dit ça en se pointent du doigt.

Moi : Qui d'autres.

Eren : Ben va si.

Je baisse le regard.

Moi : En privé...

Sûr mes mots je lui prend la bras gauche de ma main droite et le traîne vers l'arrière du bâtiment qui est sûrement vide d'humains à cette heure là. On arrive derrière. Je le lâche, croise les bras et le regarde en affichant un visage blasé comme à mon habitude. Il est face à moi et me regarde interogateur attendant que je prenne la parole. Je la prend donc.

Moi : Tu sais par rapport à l'autre jour...

Eren : Oublions. J'aurais pas due partir comme ça sans explication mais j'avais besoin de réfléchir à tête reposée.

Moi : Donc tu veux qu'on fasse comme si de rien n'était...

Eren : Tu sais Livai. Je t'apprécie beaucoup mais en tant qu'ami. Fin pour l'instant.

Je le regarde avec les yeux au bord des larmes.

Moi : Hein ?

Eren : Ce que je veux dire c'est que je t'aime en ami mais tu peux essayer de me faire succomber à ton charme.

Il baisse la tête et triture ses doigts.

Moi : T'est entrain de dire que j'ai le droit de te draguer ? Sérieusement?

Eren : Oui...

Je lui saute dans les bras avec un sourire joyeux et sincère.

Moi : Génial alors ! J'espère que tu succombera vite.

Eren : Moi aussi...

Il là dit tellement bas que je n'ai pas entendu.

Moi : Tu as dit ?

Je le lâche et il se frotte la nuque.

Eren : Rien rien.

Moi : Si tu le dis.

La suite de la journée ce passa normalement. Tout est rentré dans l'ordre. Ouf. Le soir je me laisse tomber dans les bras de Morphée avec un énorme sourire niais sur le visage. C'était une superbe journée.

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Salut ! J'espère que ce chapitre vous a plus. Il est pas trop prise de tête et il fini bien donc je l'aime bien, je le trouve simple. J'aime ça.
Bonus : Quand Ymir réveil Livai.

Bye.

- Dashoushou.