Chapitre 24

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Je marchais, perdue dans mes pensées, la pluie c'était mise a tomber, martelant les toits et le sol, créant une douce et triste mélodie. Un long frissons me parcourait, mais même trempé jusqu'au os, mais je n'avais pas froid. Je sentais mon souffle se coincer dans ma gorge à chaque fois que je voulais expiré.

Le regard du Soldat Loup ne me quittait pas, comme le soir où il avait tué les trafiquants dans la ruelle. Son regard me hantait, comme les brides d'un vieux cauchemar oublié.
Je secouais la tête, se qui envoya de l'eau dans tout les sens. Je me dirigeait vers le temple. Je pense que pour se soir la séance de vole avec Blaze ne pourra pas avoir lieu. J'ai remarqué que se gros bêta m'aime pas trop être mouillé. Je souris en pensant à la tête qu'il devait faire une se moment.

Les escaliers de bois était mouillé et donc glissant, je me rattrapais à la rambarde pour ne pas me retrouver sur les fesses. Je poussais un soupir quand, enfin, je sentis l'herbe sous mes bottes. Il y avait de la lumière dans le temple. Je me dirigeais vers l'immense porte de bois. Je n'avais pas vu Maître Sheng depuis un moment. Je n'avais pas eu le temps non plus après la course car j'étais trop épuisée. Quelque bruit de pas derrière la porte me ramenèrent à la réalité.

Maître Sheng m'ouvrir la porte, mais quelques choses me surpris. Il n'était pas comme à son habitude, il avait les traits tirés, les yeux d'habitude pétillants de vie étaient ternes et vitreux. Il me sourit tristement avant de me laisser entrer. Je fronçais les sourcils en esquissant un mouvement pour lui demander ce qu'il n'allait pas mais il m'interrompis :

- Ne t'inquiètes pas, viens t'asseoir et je t'expliquerai tout après.

Je me dirigeais en silence dans le salon. Je m'assis sur un des cousins disposé au sol le temps qu'il me serve un tasse de tisane. Il s'assit en face de moi, sirotant longuement en silence. Il leva les yeux vers moi avec un soupir.

- Je te demander de m'excuser jeune Lyra.

- De vous excusez de quoi ? Vous n'avez rien fait. Répondis-je.

Il secoua la tête.

- Le temps nous presse et bien tôt il n'y en aura plus. J'aurais voulu te laisser plus de temps, pour comprendre, t'entraîné... Mais c'est impossible.

- Maître Sheng de quoi...

- Écoute moi juste.

Il se leva en silence, alla dans la pièce d'à côté et reviens avec un de fourreau. Il le déposa sur la petite table qui se trouvait entre nous deux. Je pu détailler un peu mieux le fourreau. Long d'environ un mètre, il était fait de cuir, d'un noir d'encre il y avait quelque point de couture cousue avec un fil de couleur argenté. Sur le milieu du fourreau un symbole représentant une feuille était cousue du même fil. Je redirigeais mon attention vers Maître Sheng, lui posant une question silencieuse.

- Connais tu les Combattants ?

J'allais ouvrir la bouche pour répliqué que seul un idiot ne pouvait pas connaitre les Combattants, mais, je compris que ça question n'en était pas vraiment une.

- Les Combattants. Un groupe de personnes ayant décidé que le pouvoir ne pouvais être détenu que par un seul homme. Personnes ayant décidé que les tourments que le Tyran infligeait à son peuple ne pouvait plus duré. Personnes qui ont décidé de combattre pour la justice, la liberté, la vie.

Il s'arrêta et me regarda, reprenant une inspiration, il reprit :

- Mais le problème est que, face au démonstration de force que le Tyran montre. Face au nombreux adeptes du Tyran qui le suivent, la cause des Combattants s'estompe peu à peu, la dernière étincelle est sur le point de s'éteindre et le peuple à peur, peur quand essayant de la rallumer, il se fasse tué.

Combattante Where stories live. Discover now