Chapitre 1:

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Cela faisait 15 minutes, que les trois hommes c'étaient enfermés dans le bureau juge. Jellal se demanda ce qui pouvait, bien prendre autant de temps. Les deux policiers qui le surveillé ne parlaient pas, ils se demandaient ce que Maître Scarlett manigançait encore. Jellal aimait le silence, de plus que ça lui permettait de réfléchir, oh oui il aimait tant le silence. Le silence était son meilleur ami et la solitude sa meilleure amie, ils étaient ses meilleurs alliés et amis, ils étaient ses parents, sa famille. Il y avait aussi apprendre et comprendre, qu'il aimait par dessus tous. Il rêvait de faire de grande étude, mais est ce que c'était permit à des gars comme lui ? Aprés tous ce n'était qu'un raté, un gamin des rues, un jeune des services sociaux, un môme du systéme, c'est bien connu ces gamins là ne font pas de grande étude. On a jamais vu un de ces gamins devenir Juge, Procureur, Avocat ou Architecte ou encore Président, non ces gamins là finissent en prison. Quant on est en bas de l'échelle on ne gravit pas les échelons, ou l'on ment pour arriver en haut. Jellal entendait les deux policiers discuter, ils en avaient mare d'attendre, ils se demandaient ce que l'avocat était encore entrein de manigançer. Mais surtout ce qui prenait autant de temps, Jellal regarda l'horloge du hall ça faisait 30 minutes à présent. Pourquoi cette discution prenait tant de temps ? Jellal pensa que Maître Scarlett ne lui avait peut être pas mentit, il ne dormira peut être pas en prison après tous. Non il ne devrait pas espérer, il n'avait pas le droit d'espérer quoi que ce soit. Pourtant ne dit on pas que l'espoire fait vivre ? Alors pourquoi n'aurait il pas d'espérer, ne serait ce qu'un peu ? Il soupira cette attente était interminable, Jellal n'ai pas du genre patient. La patience l'ennuyait après tous la patience ne servait à rien, il s'appretait à regarder à nouveau l'heure, quand le greffier arriva devant lui.

Vous devait être la personne la plus chanceuse au monde, ou votre avocat est le plus stupide qu'il soit. Fit le greffier en le regardant dans les yeux.

 Ou voulait vous en venir ? Demanda le premier policier

Je veux dire que monsieur Fernandez ne dormira pas,en prison cette nuit. Lui dît le greffier en haussant les épaules.

 Mais dans ce cas là, ou va t'il aller ? Dit le deuxième policier surprit et en se demanda si le greffier n'était tombé sur la tête.

Chez moi tous simplement. Fit Atlas en arrivant.

C'est une blague ! Cracha le premier policier

 Non je suis tout à fait sérieux, Jellal vient chez moi le temps de trouver une meilleure solution, il peut même y rester jusqu'au procès. Affirma Atlas en fusiant le policier du regard.

Très bien, tu t'en sors bien cette fois mon garçon. Mais sache que l'on se reverra, ne crois pas t'en sortir à si bonne exiant la prochaine fois. Cracha le second policier méchamment en se levant suivit par son collègue.

Jellal regarda les deux policiers partirent d'un air furieux, au que oui ils étaient furieux qu'une fois que Jellal leur est encore échappé. La place de ce jeune était derrière les barreaux, cet avocat n'en faisait qu'à sa tête, depuis le temps qu'ils le connaissaient ils auraient dû s'en douter. Mais cette fois cet avocat arrogant aller ce brûler les ailes, car il faisait rentrer le diable dans sa maison. Les policiers s'en lavaient les mains, ils ne lui laissaient pas deux jours avant que Maître Scarlett ne leurs ramener Jellal. Le Procureur Taurus passa devant Jellal en le fusillant du regard, Jellal en eu froid dans le dos. Atlas posa une main sur l'épaule de son protégé, Jellal le regarda mais l'avocat fixait le Procureur d'un air méchant, ces deux là ne semblaient pas s'apprecier.
Tu dois avoir faim mon garçon. Dit Atlas en regardant Jellal qui acquiesça.
Atlas lui fit signe de le suivre, Jellal se leva et dû pratiquement courir pour rattraper l'avocat. Ils se dirigèrent vers un renaud Sénic gris souris, l'avocat déverrouilla la voiture et fit signe à Jellal de monter. Ce dernier ne se fit pas prier, il ne savait pas pourquoi mais il se sentait bien en sécurité avec lui. Atlas monta à son tour démarra sans dire un mot, il se dit que lui et sa famille étaient là dernière chance de ce jeune.
Jellal ça te dit un Mac Do ou un Quick. Demanda Atlas.
Oui pourquoi pas Maître  Scarlett. Répondit Jellal en regardant par la vitre de la voiture.
Atlas se demanda à quoi pouvait penser le jeune homme, il prit la décision d'aller au Mac Do. De toute façon tous les ados aimaient les fad foods, il gara sa voiture sur le parking. Jellal détacha sa ceinture et descendit de la voiture, puis attendit que l'avocat descendre à son tour. Tout les deux entrèrent dans le fad food, passèrent commande et allèrent s'assoir avec leurs plateaux. Atlas regarda Jellal, il pensa qu'il aurait pût être à sa place au même âge. Si les services sociaux ne l'aurait pas placé chez les Dragnir, il aurait très bien pût mal tourner. Il a eu la chance que Jellal n'a pas eu, il avait trouvé une famille d'accueil aimante et une assistante sociale compatissante. Tous le contraire de Jellal enfin de compte, Jellal mangeait avec appétit, Atlas se demanda depuis quand cet ado n'avait pas manger à sa faim.
Après le déjeuner on passera à mon bureau, chercher tes affaires que l'une de mes assistantes a été récupérer. Puis on ira t'acheter ce que tu pourrais avoir besoin, ne t'en fait pas je me charge de toi. Dit Atlas en souriant.
Jellal hocha la tête, il était gêné personne avant cet avocat ne lui avait porté de l'intérêt. Enfin personne si peut être deux où trois familles d'accueil, quelques instituteurs et quelques profs. Il y avait bien eu une ou deux familles d'accueil, qui avaient été comme des parents pour lui, mais l'assistante sociale l'avait retiré de chez eux. Mais jamais après personne ne lui avait porté un soupçon d'intérêt, alors pourquoi un avocat dont il n'avait jamais entendu parler s'intéressait à  lui. À moins que cet avocat ai une idée derrière la tête, mais laquelle ? Jellal finissa de manger, Atlas n'avait pratiquement pas touché à son plateau. Ce qui n'avait pas échappé à Jellal, pourquoi Maître Scarlett l'avait en mené au fad food, si il n'aimait pas ça. Atlas se leva pour ranger son plateau, Jellal l'émitta, puis ils sortirent du Mac Do pour regagner la voiture. Le bureau de l'avocat se trouvait à l'opposer du fad food, la route c'était faite dans le plus grand silence. Une fois arrivée au bureau de l'avocat, Atlas entraîna Jellal à la recherche de Sorano. Atlas entra dans une pièce, Jellal préféra attendre dans le couloir.
Ah Sorano tu es là, je te cherchais. Interpela Atlas.
 Atlas tu m'a fait peur, je suppose que tu viens les affaires de ton nouveau protégé. Le défia légèrement Sorano.
En effet, mais si je me souviens bien il y a six ans tu étais à la place de Jellal. Si tu n'aurais pas croisée ma route, tu ne serais pas assistante ici aujourd'hui. Dit Atlas d'un air grave.
 Je sais Atlas, je t'en serais toujours reconnaissante pour ce que a fait pour Yukino et moi. Mais j'ai lue le dossier de Jellal, quand je suis allée aux services sociaux. Je peux te dire que l'assistante sociale, ne le décrit pas comme le gendre idéal. Dit durement Sorano.

Sorano veux tu que je te rappelle ce que disait ton assistante sociale, quant elle parler toi ? Si je l'aurais écoutée, je te t'aurais pas donné ta chance. Tu serais où ? En prison ou au cimetière, tu n'aurais pas fait d'études. Tu n'aurais pas ce travail, et tu n'aurais pas obtenue la garde de ta sœur. Lui dit Atlas encore plus durement.
Oui tu as raison Atlas, je me suis emballée excuses moi, Polyussica a eue raison de te donner son dossier. Il a le droit à une seconde chance, tu es le mieu placé pour cela, je ne devrais pas réagir ainsi. Mais tu devrais agir contre cette assistante sociale, comme tu la fait avec celle que j'avais. Car les propos qu'elle utilise pour parler de ce jeune ne sont pas admissible, je t'ai laissée ue copie sur ton bureau. Je l'ai obtenue d'une de ses assistantes, enfin bref ce qu'elle dit de lui fait froid dans le dos. C'est pour cela que j'ai réagis ainsi. J'ai eue peur pour ta fille, ta nièce, tes neveux et leurs amis, dont ma soeur fait partie. Dit Sorano sur un ton désolé.
Jellal avait écouté leurs échanges sans broncher, qu'avait bien put écrire cette saletée d'assistante socialesur lui. Il fut tiré de ses pensées par la voix d'Atlas , qui était toujours avec Sorano.
Je lirais ce dossier quand j'aurais 5 minutes, ou as tu mis les affaires de Jellal ? Lui demanda Atlas.
Alors je te préviens tu vas être très mais vraiment très en colère, car tous ce que j'ai pue repérer. Se sont ses cahiers et quelques affaires que des familles d'accueil, lui avait offert. Selon les dirent de l'assistante sociale, tous ce qui est achetés avec l'argent de l'Etat, appartient à l'etat. Enfin bref après l'avoir rabaissé plus bas que terre, elle le dépouille de tous ce qu'il possède, je crois qu'elle est pire que celle que j'avais. Dit Sorano avec un trémolo dans la voix.

jerza : Mauvais garçonsWhere stories live. Discover now