|¦ Akemi Akabane ¦|

》Chapitre 32《- non corrigé

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- Point de vue Karma -
Réveil difficile. Je ne sais absolument pas ce que j'ai fait hier soir, mais ce sont je suis sûr, c'est qu'il est beaucoup trop tôt pour se lever.
Je descends à la cuisine, et Akemi est affalée sur le plan de travail. Je lui caresse la tête et la contourne pour préparer le petit dej.

Akemi : Karma, c'est la semaine prochaine que Koro-sensei s'en va ?
Karma : Ouais.. déjà...
Akemi : Et nous allons recevoir notre diplôme. Tu sais déjà où tu vas ?
Karma : Mm.. j'ai ma petite idée. Tu as encore des doutes ?
Akemi : Oui.. mais en même temps, je ne suis pas plus stressée que ça. C'est juste.. que j'ai peur que papa s'est prenne à toi ou à maman, parce que je n'ai pas choisi ce qu'il voulait que je choisisse...
Karma : C'est ton avenir, pas le sien. Tu n'as pas à faire quoi que ce soit pour lui plaire. Que tu veuille aller dans un lycée privé ou publique, je serais toujours là pour te soutenir.

Elle m'a souri et j'ai fait de même. Notre père nous met une pression de dingue sur nos études. Étant un vilain petit canard très intelligent, je n'ai jamais eu de problème avec le choix de mes études, mais Akemi à toujours dû subir les choix de mon père, et j'aimerais la libérer de cette emprise qu'il a sur elle.

Akemi : ..rma! Karma !
Karma : Hm?
Akemi : Je vais aller voir mamie. Elle doit rentrer aujourd'hui, et il faut que je vois Kimi*.
Karma : Je te rejoins après, fais bien attention sur la route s'il te plait !
Akemi : Oui oui.

Étant déjà habillée pour, elle est juste sortie avec ses clés et son sac. J'ai un mauvais pressentiment. Je décide de prendre une douche, de m'habiller en vitesse et d'envoyer un message à Akemi pour lui dire que je la rejoins. Elle me dit de me dépêcher, et qu'elle est au coin de la rue.
Après avoir enfilé mes chaussures, je la rejoins et nous nous dirigeons vers l'hôpital.
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Akemi est allée prendre de quoi manger, pendant que je discute avec notre petite mamie.

Karma : Tu devras rester ici ?
Grand-mère : Eh bien, le médecin dit qu'avec mon état actuel, je peux rentrer à la maison, mais il dit qu'il est préférable que je reste ici...
Karma : Tu n'es pas malade ?
Grand-mère : ...
Karma : Mamie, tu es malade ! Et pourquoi tu ne nous l'a jamais dit ! Tu sais qu'Akemi et maman ne vont pas être contente d'apprendre ça ! Et ça fait combien de temps qu'ils l'ont découvert ?!
Grand-mère : Ils m'ont dit que ça se soigne, alors du calme. Je voulais que vous vous concentriez sur vos examens, surtout que votre père n'aurait pas été très content d'apprendre que vous les aviez raté.
Karma : Mais on s'en fout de papa, c'est de ta santé qu'on parle !
Grand-mère : Karma, doucement s'il te plaît.. ce qui est fait est fait. Il faut juste que je me repose en attendant le verdict des médecins.
Karma : J'espère de tout cœur que ça ira bien...

Elle prend ma main en souriant, tandis que je serre la sienne aussi fort que je peux.
Akemi n'est toujours pas revenue depuis une quinzaine de minutes, c'est inquiétant. Je lui envoie un message, mais même au bout de dix minutes, je n'ai aucune réponse. On est dans le même hôpital, qu'est-ce qu'elle fait pour être si longue...

Grand-mère : Où est passé ta sœur ? Il y a un distributeur de nourriture à l'accueil, mais il ne faut pas vingt-cinq minutes pour y aller...
Karma : Je me posais la même question. Je vais la chercher. Si tu as le moindre problème-
Grand-mère : Oui oui, je sais. Vas la chercher.

Je sors de la chambre et commence à chercher. Après un long moment à l'avoir cherché, je commence à voir rouge. Elle ne serait pas partie sans dire un mot, surtout avec tout ce qu'il s'est passé en ce moment.
Je décide de me rendre à l'accueil, en me calmant pour ne pas effrayer la réceptionniste.

Karma : Excusez- moi, vous n'auriez pas vu une fille me ressemblant, avec les cheveux attachés et une veste marron clair ?
Réceptionniste : Oui, elle est partie en direction de la terrasse, elle voulait un endroit au calme pour téléphoner.

Je la remercie avant de prendre le chemin de cette fameuse terrasse.
Sans surprise, elle n'est pas là. En revanche, je vois un sachet avec son porte-feuille et tout ce qu'elle à acheté pour manger.
Deux fois, c'est vraiment trop.
- Fin du point Karma -

Le rouge était fou de rage. La disparition soudaine de sa sœur faisait monter une rage incompréhensible et incontrôlable en lui. Encore pire que la première fois. Il prit le sac posé sur le bac et rejoignit sa grand-mère pour lui expliquer, non sans péter les plombs, la situation. Cette dernière lui suggère de prévenir sa mère, et son groupe de classe, pour qu'ils puissent trouver une solution.

Ce qu'il ne savait pas, c'était qu'un peu plus loin, quelques personnes l'observait, un sourire aux lèvres.

- Mission accomplie.

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Chapitre nul et court = transition finale. 😋