H&V: Le Temps d'une Seconde (non corrigé)

Cp 43: L'espoir

14 ans plus tard 

Alhena

14 ans d'absence, de disparition, recherché par de nombreuses personnes engagé par le roi des vampires. 14 ans de souffrance inespéré dans la froideur de mon appartements et sans l'homme que j'aimais. Ses longues années m'ont permis de comprendre que jamais je n'aurai le repos en sachant que je n'était pas dans ses bras. Ses longues années passé au début avec Jason et Anna et maintenant seule, en tant que barman dans une boite de nuit appartenant à Jason. 

Ses deux la étaient maintenant mariés, et vampires, grâce à mes soins. J'avais engendré Anna qui l'avait aussi fait pour Jason. Tout deux étaient resté en Angleterre alors que j'avais déménage pour les Pays Bas. Et oui, j'étais encore poursuivis par le roi des vampires alors qu'il prenait du bon temps aux côtés de sa charmante Karen de Polston. Cette vipère avait réussit son coup et bientôt les deux allaient peut-être se marier.

Moi, j'étais encore au stade de la célibataire vivant dans un appartement blanc sans aucun amis à qui parler. Je m'était éloigner de Jason et Anna pour des raisons simples. Primo, je ne volais pas nuire à leur couple et bientôt à leur petite fille qui allait sortir du ventre de maman Anna. Deuzio, Daegan nous avait retrouvé, enfin eux mais pas moi. Et lorsqu'il avait trouvé des affaires m'appartenant il avait compris que je vivais dans les lieux. Cette idiot nous avait fait surveiller, mais heureusement pour moi Anna, lui avait fait croire que je lui avait laissé des présents.

 J'étais revenu dans la nuit alors qu'ils étaient non loin et avait de nouveau disparut de la circulation au plus grand damne du roi. Celui ci avait d'ailleurs des preuves irréfutables en ce qui me concerne, je les avait changer en vampire et nous avions disparue tout les trois en même temps. Jason m'avait alors contacté et m'avait déposer une sacres somme d'argent pour faire pousser une nouvelle boite de nuit à son nom. Oui eux deux avait repris leur identité actuelle alors que je devait de nouveau la changer. Je m'appelai dorénavant Lara Larivon, j'étais soi disant une italienne de naissance et heureusement que cette langue ne mettait pas inconnue. 

Et tertio, je nuisait considérablement a ceux qui m'entourait, et j'en avait eu la preuve lorsque j'étais retourné à la petite maison de mes deux amis et avait vu Daegan utiliser sa force sur Jason lui demandant ou j'étais passé, sous les pleurs de Anna. Arana m'avait prévenus qu'il avait sombré dans la noirceur de la colère, mais je ne pensait pas autant. J'avais déguerpis lorsqu'il avait sentis mon odeur et que je l'avait fait vol-dinguer dans la pièce telle une marionnette. 

Ses cris de colère appelant mon nom m'avait empêché de dormis pendant trois semaines. Sa colère était sans cesse vu dans les magazine people, décrivant sa froideur à l'égard des gens mais l'avoir en face de soi, n'était jamais bon signe. J'avais donc acheté un appartement aux Pays Bas et avais fait pousser un bar venant de la chaîne de boites de nuit de Jason. J'étais la patronne mais aussi la barman. Quelques employés travaillaient sous mes ordres et tous ne pouvaient dire mon secret puisque je les avait délibérément obligé d'obéir grâce à mes dons. 

C'est d'ailleurs avec chacune des personnes entrant dans ce bar. Et c'était d'autant plus jouissif de vois Daegan s'énerver auprès des gens dont il voulait soutirer des informations mais qui avait la bouche bien bloqué. J'avais d'ailleurs fait passer des messages à ses détectives privé qui réussissait à me trouver mais qui ne se rappelait plus où je me trouvais, ni à quoi je ressemblais. Je me rappelais très bien du dernier. Celui ci devait y retourner et dire à Deagan que jamais il ne me retrouverai et qu'elle vivait heureuse sans lui.

 C'était le seul moyen de l'éloigner complètement de moi, faire croire que je vivais heureuse auprès d'un homme. Et il m'avait relancer l'appareil méchamment... Proclamant que Karen était maintenant sa compagne. Bien sur j'en avait rit, mais quand la nuit était arrivé, la tristesse m'avait prise violemment. J'avais lancé les hostilités et il les avait terminé de manière brutale, comme pour me punir. Et je ne pouvait m'en prendre qu'à moi même et je n'avais que mes yeux pour pleurer.