Pardonne-moi [ Fairy Tail ] [Terminé]

Bonnus (100 abonné)

Oh là là oh la la ! Merci à tous ceux qui lisent cette histoire et qui se sont abonnés à moi ! Pour fêter ça je vais publier un bonus pour pardonne-moi !

Merci encore et bonne lecture ! 😆😆😆
~~~

Hikari savait qu'elle aurait dû prévenir les autres concernant la lettre trouvée dans le berceau du jeune Nash, mais étant la seule à connaître l'endroit en question qui concernait la lettre, la jeune femme s'y rendit quelques jours après la disparition des ces deux amis, laissant le nouveau né entre les mains des ex-membres de World of curse.

Il faisait sombre et frisquet quand La blanche sortit du manoir de Heartfilia pour se rendre à ledit endroit. Elle sillonna longuement les immenses jardins envahis pas les ronces et les mauvaises herbes. Enjambant puis repoussant les plantes qui pouvaient l'égratigner, Hikari s'arrêta devant une statue immense représentant une chimère avec une tête de lion et des ailes d'aigles. Orientée et placée où elle était, la statue semblait regarder la visiteuse et lire en elle comme dans un livre ouvert et pourtant, la blanche ne leva même pas les yeux pour contempler les écriteaux gravés de marbres dans la pierre qui soutenait la statue.

« En hommage à cette bête légendaire qui nous a sauvé lors du grand désastre »

Elle effleura du bout des doigts les reliefs creux que formait les mots, s'arrêtant sur certains, puis reprenant sa courses pour s'arrêter définitivement sur le mots désastre. Un léger bruit se fit entendre et les yeux de la chimère s'illuminèrent la faisant bouger et rugir. La statue bougea et un passage s'ouvrît sur une porte cachée derrière l'édifice. Personne ne pouvait se douté qu'il y avait une cachette secrète derrière ce monument et personne ne pouvait se douter que les intentions d'Hikari à ce moment là n'était que pur et simplement désireuse de protection envers ceux qu'elle aimait.

Elle attrapa donc la poignée et la porte s'ouvrît dans un grincement strident, prouvant son ancienneté et qu'elle n'avait pas servi depuis longtemps. Le jeune femme s'engouffra dans un sombre couloir, où les ténèbres du lieu l'engloutis, laissant la porte se refermer derrière elle la plongeant dans une pénombre des plus sombres.

Arrivée au bout du couloir, une flamme s'alluma devant elle, nous laissant découvrir un escalier en colimaçon, profond et long. Le temps qu'elle passa dans cet escalier lui semblait interminable, et pourtant, Hikari l'avait parcouru des milliers de fois auparavant... Après un temps indéterminé, la blanche arriva, à l'aide de la flamme, devant une salle illuminée par une lacrima de lumière, qui, pourtant, était invisible depuis l'escalier. Lorsque la jeune femme entra dans la pièce, la flamme disparue, ne laissant qu'une odeur de brûlé derrière elle.

Hikari ne s'attarda pas sur les décors luxueux de la pièce et s'assit dans l'un des fauteuils en bois de ce lieux mystérieux. Elle déplia alors la lettre et la lut. Les secondes passèrent, puis ce fut les minutes qui suivirent. Quand la blanche arriva au terme de sa lecture, des larmes mêlée à des grognements de rage faisait bouillir son ventre et dévasta son visage. Elle voulut déchirer la lettre mais une sort l'arracha de ses mains et la fit se replié sur elle-même.

???: Passionnant n'est-ce pas ?

Hikari tressaillit au son de cette voix. Elle ne pensait pas l'entendre de si-tôt...

Hikari : Qu'est-ce que tu fais là ?

???: Qu'est-ce que Je Fait là ? Ce serait plutôt à moi de te poser la question. Je te rappelle que tu es chez moi, Akahiro-san !

Pas faux. Elle devait l'admettre que sa question n'était pas appropriée. Sans pour autant changer son expression à présent devenue neutre, elle se retourna et fixa du regard l'individu qui l'avait interpellé. Il était là, adossé au mus, sur le sol, en dessous d'une toile resplendissante, l'homme qu'Hikari aurait été le dernier à voir en cas de crise. (Média)

Homme : Passionnante cette lecture n'est-ce pas ?!

Il brandit l'enveloppe devant lui, à présent soigneusement revenue à son état normal.

Homme : Tu crois qu'elle s'est donné du mal pour l'écrire ? Mais oui, après tout c'est pour le protéger. Et, que me vaut cette visite imprévue ? Car tu vois là, je suis pas trop disponible !

Il se releva et pointa son arme sur la jeune femme :

Homme : Alors donne moi une bonne raison de ne pas te tailler en petits morceaux pour m'avoir interrompu !

Ses yeux bleus brillaient d'une lueur meurtrière et Hikari voyait bien qu'il ne plaisantait pas. Elle ne colla pas et s'écartait de l'arme pointée sur elle, puis bougea si rapidement qu'il n'eu à peine le temps de clignées yeux avant de se retrouver le menton lever et les pieds touchant à peine le sol.

Hikari : Tu ferai mieux de ne pas jouer à la fine bouche avec moi Iza ! Je suis pas d'humeur et on sait que tous les deux, que si tu ne nous avais pas sauvé la vie lors du grand désastre, je t'aurais renvoyé depuis longtemps d'où tu viens !

Iza: Hotto, le petit chatons sortirait enfin ses griffes ?

Elle resserra son emprise sur sa gorge.

Iza: Ça vas ça vas, j'ai compris...

Elle le relâcha ensuite, voyant qu'il était sincère, avant de se diriger vers la sortie. Elle s'arrêta sur les paliers de la pièce et dit d'une voix fluette :

Hikari : Tu... Tu crois que ça vas vraiment ce passer ? Encore une fois ?

Iza mis un certain temps avant de comprendre le sens de sa phrase :

Iza: À ce que je sache, je n'ai jamais été devin...

Et c'est sur ces mots que la jeune femme quitta la pièce sans un mot de plus.

Une fois sur d'être à nouveau seul, le brun se retourna vers le tableau et caressa légèrement cette toile si chère à ses yeux :

Iza: Dois-je vraiment le faire ? Ou les aider à éviter ce qu'il c'est passer entre toi et Ryiu ? Hein Inari...

Il se reposa dos au mur et ferma les yeux, repensant à ce qu'il avait vécu avec la chasseuse de chimère, en tant que familier.

~~~

Voilà, j'espère que ce bonus vous aura plus ! N'hésitez pas à commenter et à dire ce que vous penser

Je vous adore et merci encore pour ces 100 abonnés ! Je vous adore ! 😉😉