Chapitre 32

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 J'avais froid, toujours aussi froid. J'étais allongée, je n'avais plus mal comme anesthésiée . Est-ce le paradis ? Non si ça avait été ça, je serais morte, je veux dire je ne serais plus capable de penser. Alors que m'arrive-t-il ? J'essayais de me concentrer sur les sons m'entourant, car je ne pouvait bouger, comme si j'étais paralysée ce qui est assez frustrant. Il n'y avait quasiment pas de sons, pas d'oiseaux, pas de voiture, juste un bip bip, au rythme de mon cœur, j'étais donc à l’hôpital. Mais c'est impossible.

… Elle se réveille lieutenant ! Dit une voix assez grave, peut-être un Doc.

Oh je n'aimais pas ça du tout, un Lieutenant, de la police ? Non c'est impossible. J'essayais de toute mes forces d'ouvrir les yeux, de parler, de bouger. Après de longues secondes qui me paru une éternité j'ouvris un œil, juste un, délicatement, pour ne pas être vue. Je fus rapidement éblouis par la forte lumière aseptiser. Bordel dans quel merdier je suis tombée ! Je levais la main vers mon front qui maintenant me faisait souffrir, j'avais l'impression de m'être réveiller après un cuite monumental, avec les cheveux qui pousse à l'intérieur du crâne, j'avais l'impression de mettre fait rouler par un rouleau compresseur, tous mes muscles étaient endolorie. Mais alors que je levais la main, je fus arrêtée dans mon mouvement par des liens en métal vue la froideur du contacte avec ma peau. Oh bordel ! Je bougeais l'autre main mais je rencontrais le même problème, je fis de-même avec mes pieds, me redressant un peu. Je commençais à beaucoup m'agiter, maintenant totalement réveiller. J'avais les mêmes liens que pour les fous ou les criminels. Oh non, mais bien-sur, la police, les liens, l'hôpital... je me suis fait attrapée. Mais comment, je veux dire, j'étais avec les autres, ils étaient là. Sont-ils eux aussi en « prison » ? Ils ne m'aurait pas laissée, non pas Jared. Bordel que c'est-il passé ! On dirait vraiment que j'ai pris une grosse cuite. Alors que je jurais intérieurement contre moi même, un homme de la quarantaine avec un début de calvitie vient me voir, me pris la tension sans un mots, on aurait dit un légiste, il était d'une froideur à en faire frémir les morts. Je toussais pour attirer son attention vers moi.

_ euh désoler de vous déranger, mais que ce passe-t-il ? Demandais-je avec une tête bizarre. L'homme me regarda de haut avant de frapper à la porte 3 coup.

_ What's up ? Dis-je d'une voix grave à l'intention du nouvelle homme qui venait d'entré dans ma chambre cellule.

_ ce n'est pas trop le moment de rire mademoiselle Rawlings !

Et merde il connaît mon nom, il était en tenu de civil (normal pas en uniforme). Il portait un Jean bien couper bleu sombre, avec un tee-shirt vert et une veste, mec tout à fait normal, malgré le fait que l'on voit sa plaque et son arme, youpi, il doit avoir dans la trentaine. Il s'approcha de moi, se pencha puis dit doucement :

_ je sais tous !

_ même la valeur exacte de pi ? Demandais-je.

_ ne joue pas à la plus maligne !

_ vous savez tous mais quelle version? Demandais-je plus sérieusement. Il pris un chaise, la retourna comme dans les films puis il dit :

_ vous en état d'arrestation Mademoiselle Rawlings !

_ appeler moi Kathleen ! Dis-je toujours sérieusement, j'étais maintenant assise, mon ventre me faisait atrocement mal, mais je ne le laissais pas paraître.

_ vous êtes inculpée de meurtre Kathleen, je serais vous je ne le prendrais pas à la légère ! Je ne répondais pas, mais je l'écoutais attentivement.

_ mais il y a un problème, vous n'avez pas pu faire ça toute seule ! Ou sont les autres ?

Ils m'avaient donc laissée, moi qui suis aller sauver Jared. Je ne saurais comment expliquer mon sentiment la maintenant, entre colére trahison, déception...

Dark skyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant