Coeur Enchainé

XXVIII.

Phoenix, Arizona
Point de vu Joch Siller

Neven sort du bureau de Will en trombe et en me bousculant. Je lâche quelque juron avant de rentrer. Je me place à côté de mon chef qui observe le..."mur en verre".

- Avec l'état de la pièce et la façon dont Neven est sortit, je suppose que ça c'est pas très bien passer.

- Tu suppose mal...

Flash back
Point de vu Will Gastori

-Salut, Will.

-Ne...Neven. Prononcais-je, le souffle coupé.

Je suis figé, les yeux fixant se de mon frère que je croyais...

-Comment? Laissais-je échappé d'une voie à peine audible.

-Ravi de te revoir aussi. Dit-il avant de rire noir.

-Neven tu es censé être...Je ne pu finir ma phrase et dégluti.

-Mort? C'est drôle puisque les infirmières de l'hôpital m'ont dit la même chose.

Je fronce les sourcils, ne comprenant pas tout ce qui est entrain de se dérouler.

-Jamais je n'aurai cru quand arrivant jusqu'à Joch Siller je puisse revoir mon frère.

Marchant à pas de loup, il fit le tour de la pièce en inspectant chaque recoin. Passant une main sur les livres de la bibliothèque, il s'arrête quand ses yeux apperssurent la photo sur mon bureau. A grand pas, il s'approche de celui-ci et le prend entre ses mains, son regard devenu noir et ses phalanges blanche à force de serrer le cadre. La photo nous représente quand tout allé pour le mieux, ou presque. C'était un jour ensoleillé, avec notre mère on était partit en vacance, ce qui était assé rare, au bord d'une rivière. Pour immortaliser ce moment on avait pris une photo, tout les quatres. Sur le chemin du retour, un arbre c'était abattu sur nous, exactement comme...

-C'était tellement mieux avant. Mieux quand je ne savais pas que tout était mensonge.

Un grand fracas vint rompre le silence qui c'était installé pendant quelques minutes. Le verre qui était déjà brisé par l'une de mes crises est à présent éparpillé sur le sol en de millier de morceau. Les documents posé sur le bureau rejoignent les éclats au sol. Tout deveint champ de bataille ou mon frère décharne sa colère. Restant cloué sur place, je ne peux essayer de l'arrêter ou de lui en vouloir de me haïr. Une fois sa cris terminé, je reconnu à peine la pièce. Les meubles sont tous au sol, la chaise a volé à travers la pièce pour se cogner contre le mur qui porte à présent un creu, le mur vitré a été brisé par les coups de point ou les objet balancé à travers par mon frère. On ne peut plus faire un pas au sol sans écraser une feuille, un livre ou un objet. Quand à moi, je n'ai pas bougé, fixant la porte par ou il est entré et ou il sortira peut être sans me dire un mot de plus. Les points serré et un peu ensanglanté à cause de mes ongles enfoncé par ma chaire. Mon frère a la respiration saccadé se trouve à présent derrière moi.

-Pendant toute ses années, j'ai cru que tu étais mort. J'ai cru être seul jusqu'à ce que j'apprenne que tu avais ordonné à l'hôpital de me dire que tu...

Son poings s'abat sur la vitre qui éclate à nouveaux.

-Pendant tout ce temps je savais la vérité, pendant tous ce temps je savais que tu étais en vie, pendant tout ce temps j'ai voulu t'éviter pour arriver à quoi? A m'être détruit intérieurement pour une personne qui m'a menti et qui était mon modèle.

-Neven...

-La ferme! J'ai battu tant d'année dans l'espoir qu'un jour je me réveille et que ce ne soit qu'un rêve. Qu'un jour tout redevienne comme avant.