Suite de Nocturnal Gardiens des cités perdues : L'héritage des Vackers.

Chapitre 14, J'aurai dût la retenir...

Le bal avait repris, là nous parlons tous de tout et rien sur un des sofas installés pour la fête. Perdu dans mes pensées, je ne suivais pas du tout la conversation . Fitz ne me regardait pas, ne rigolait pas, je me demandais interrieurement si j'avais pris la bonne décision. Je secouais la tête, j'aimais Keefe, mais, effacer un amour ne se faisait pas d'un claquement de doigt . C'est alors que je sentis une légère pression sur mon épaule . Je me retournais pour voir Biana me faire signe vers la sortie . J'hochai la tête et nous partîmes dehors en nous excusant au près de nos amis .

- Sophie, j'ai besoin de toi !

- Je t'écoute Biana !

- Et ben voilà....

Biana ouvrit sa robe par derrière, juste assez pour me montrer une plaie, faisant comme une piqure de fondu dans le "labyrinthe". Je mis une main sur ma bouche en chuchotant difficilement :

- Co...comment ?

- L'héritage des Vackers. Quand je suis partis "voir" Vespéra, j'ai croisé Alvar il m'a expliquer que les Vackers étaient porteur d'une maladie mortelle, sauf si on prend l'antidote avant  que ça deviennent violet-bleu...

- Pourquoi tu le prends pas, alors ?!dis-je laissant couler quelques larmes .

- Pour Fitz, je n'ai qu'un antidote et si il tombe malade....

- Biana, prend l'antidote !

- J'ai pas finit, Alvar est tombé malade, il ne l'a dit à personne, mais un jour, il a trouvé dans son casier une lettre des Invisibles. Il étaient au courant et ils avaient un antidote, ils voulaient bien lui fournir, mais en échange, Alvar devait espionner papa pour avoir des informations sur toi. Ce qui... ce qu'il a fait ...

- Voilà un mystère de résolut, mais ça ne change absolument rien au fait que tu dois prendre l'antidote !!!

- Mais Fitz!!!!!!

- Biana, si tu ne le prends pas tu vas mourir !!!!!!

- Je peux pas être égoïste à ce point envers Fitz ....

- Mais Biana tu n'es pas égoïste, tu es malade tu risque de mourir, DE MOURIR, Fitz lui n'est pas malade, il n'a pas besoin de l'antidote , toi si !!!!

- ....

- Biana, pourquoi tu m'en as parlé à moi ?

- Je pensais que tu pourrais comprendre, mais à priori non, aurevoir Sophie... dit -elle en s'éclipsant... J'aurai dût la retenir.