Chapitre 68

569 31 4
                                    

                    

Nous sommes à table avec la grande famille de Cristiano, Dolores amène le dessert pendant que les autres sont en pleine discussion. Je me lève pour aider à débarrasser les anciennes assiettes. Une fois fini je me place derrière la chaise de Cris et joue avec ses cheveux, il lève les yeux et me prend la main pour que je m'assois sur ses genoux. Il me colle à son torse et embrasse ma joue.

-J'ai envie de leur dire.

-Je savais que t'allais pas tenir, dis-je en rigolant.

-C'est trop important.

-Tu veux que j'aille mettre la bague ?

-Oui vas-y.

Je me lève en secouant la tête et pars chercher la bague dans mon sac et l'enfile. Cristiano voulait rien dire pour l'instant mais il a pas tenu, comme d'habitude. Je suis sûre qu'il s'est retenu d'en parler pendant tout le repas, un vrai gamin celui-là.

Je reviens m'asseoir sur ses genoux et il dépose un léger bisou dans mon cou.

Plus tard je décide de me lever pour aider les femmes dans la cuisine et je prends part dans leur conversation.

-Mais moi je trouve Enrique Iglesias très sexy, dit très sérieusement Katia.

-Oh non moi je préfère carrément Antonio Banderas, dit Elma.

-Oui enfin, il faut dire qu'il est surtout plus de ton âge! Dit en rigolant Katia

-Eh! Mais n'importe quoi toi!

-Il faut surtout dire que le plus beau, c'est le mien, dis-je en arrangeant mes cheveux.

-C'est pas f...

D'un seul coup Katia pousse un cri aiguë. Tout le monde prend peur et la regarde bizarrement.

-Mais Ava... La bague à ton doigt !

-Quoi ?

Tous les regards sont maintenant sur nous, avec Cristiano on se regarde en souriant et il s'approche de moi pour me coller contre lui.

-Oui, on va se marier.

Il pose ses lèvres sur moi et Dolores arrive en courant vers nous.

-Oh mon dieu mon fils !

Elle le prend dans ses bras pendant que Katia prend ma main pour regarder ma bague.

-Félicitations ! Crie Hugo.

-Oh non tu vas devenir ma tante, c'est dégeu..., dit Rodrigo.

J'éclate de rire en voyant sa tête et le prend dans mes bras.

-Mais je suis quand même heureux pour vous !

Great EscapeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant