Chapitre VIII

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— Oh, les Lor's détestent les flèches empoisonnés. Oh, vous n'auriez eu aucune chance si je n'étais pas arrivé.

L'enfant s'exprimait parfaitement dans leur langue. Edward lui reconnut une apparence particulière, son corps arborait des tatouages tribaux et il portait un masque à la tête d'ours. Il était vêtu également d'une tunique rudimentaire en tissu mais cousu avec soin. Edward se releva et il aida ensuite Cassandra à se remettre debout. Les deux compagnons avaient quelques égratignures à cause du combat mais rien de grave. Edward remercia le jeune inconnu :

— Merci à toi pour ton aide. Et quelle agilité avec cet arc !

L'enfant sourit sous son masque et répondit :

— Oh, c'est parce que j'étais étais guidé par les esprits.

Edward opina et continua :

— Tu sembles sortir de nulle part, cette forêt est tellement immense pour s'y promener.

L'enfant rétorqua :

— Oh, mon village n'est pas très loin. Je sors souvent chasser pour notre communauté

Edward demanda :

— Dans ce cas, si tu n'y vois pas de problème, tu pourrais peut être nous montrer le chemin

— Bien sûr. Vous pouvez me suivre, vous serez bien accueilli.

L'enfant leur montra la direction et ils le suivirent à travers la plaine. Durant le trajet, Edward s'adressa à Cassandra :

— Vous étiez courageuse tout à l'heure, s'attaquer comme ça à une telle créature relève de la bravoure.

Cassandra répondit :

— Je n'allais pas vous laisser me sauver à chaque fois comme ça. Je ne suis pas une femme fragile après tout.

— Je n'ai pas affirmé le contraire. Je reconnais que vous auriez eu votre place dans l'armée.

Cassandra soupira :

— Une femme dans l'armée ? Figurez-vous que je ne suis pas attiré par toutes ces brutes. Et puis, difficile d'admettre que j'aurais eu ma place.

— Il est vrai que ma cité n'est pas encore ouverte sur ce point. En revanche, le domaine militaire ne relève pas forcément de la guerre

— Peu importe, j'ai toujours préféré l'artisanat et vous n'avez pas intérêt à vous moquer.

— Je n'oserais pas. Je me demandais seulement ce qui vous plait dans ce domaine

— Tant de choses... En particulier, cela demande de la patience et de la précision ; chaque fil qui s'entrelace entre mes mains, qui se forme comme si on façonner le fil de notre destin.

— C'est vrai, on ne sait pas comment est tracé notre destin. Seul le hasard en décide

L'enfant s'arrêta et leur fit signe d'avancer. Ils continuèrent le chemin jusqu'à arriver au village. Ils restèrent tous les deux fasciné par les constructions nichés dans les hauteurs. Les maisons étaient disposées tels des nids oiseaux dans les arbres. Au centre, il y avait une grande bâtisse en bois de chêne avec un toit en pierre. Rapidement, les curieux du village sortirent de leur cachette pour venir à la rencontre des étrangers. Un vieil homme avec un tatouage en étoile sur le bras, les accueilli :

— Oh, bienvenue étrangers à la tribu des étoiles. Je vois que vous avez déjà fait la rencontre fils Alok '.

Edward répondit :

— Merci de votre hospitalité. Nous ne comptons pas toute façon rester très longtemps

Le chef du village s'exclama :

Les voleurs d'âme, Tome 1 :  Les ProfondeursTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang