Pill'n Potion (Larry Stylinson)

Chapitre 8 et 9.

Pdv Louis

Louis t'es bizarre en ce moment tu es sûr que tu vas bien ?

Oui très bien Liamou que j'aime plus que tous !

Il me jauge du regard  et lève finalement les yeux au ciel

Louis franchement tu commences à me faire peur !

Roh mais je vais bien amour de toujours.

Je le serre fort dans mes bras, il carresse longuement mes cheveux. et je finis par éclater en sanglot, c'est trop en seulement deux semaines. Beaucoup trop.

Louis explique moi je t'en prie.

Je ne peux pas lui dire, je ne veux pas l'inquiéter, pour une fois, je veux qu'il arrête d'être là pour moi, mais je ne veux pas pour autant m'éloigner de lui. Depuis l'arrivée d'Harry, je suis complètement bouleversé, je ne sais plus, je doute de tout et de rien. Il est arrivé comme une fleur et a tout chamboulé.

Louis dis moi pitié.

Il est triste. Il est triste encore à cause moi quand est-ce que j'arrêterai de lui causer du tort ? Pourquoi souffre-t-il toujours en ma présence ? Pourquoi je n'arrive pas à être un bon meilleur ami  ?

Liam ? articulais-je

Oui Lou'.

Je t'aime tu le sais ?

Son expression change, il sourit maintenant. Cela me réchauffe mon coeur.

Les portes s'ouvrent sur Harry toujours aussi beau. Il stoppe tout mouvement en nous lançant un regard noir lorsqu'il nous voit.

Je suis toujours dans les bras de Liam une de ses mains est sur ma hanche et l'autre dans mes cheveux.

Je vois que vous êtes occupés je vous laisse tranquilles.

Son ton est tranchant, le même que le jour où je l'ai soigné après l'avoir trouvé dans cette ruelle. Serait-il jaloux ? Non, impossible à quel titre ?

Non, ne pars pas. Il me semble que ta présence plaise à une certaine personne repondant au nom de Lôuis. Répondit Liam.

Je le regarde ahuri, il ne vient pas de faire ça quand. 

Vas, je m'occupe de la boutique ne t'inquiète pas. Mais fait attention à toi !

Promis ! criais je en sortant.

Harry marche devant moi visiblement énervé.

Tu pourrais m'attendre. Râlais-je.

Il me tire violement le bras me plaquant contre le mur. Je peux sentir son souffle chaud contre mes lèvres.

Tu me parles autrement c'est clair ?

Je pose mes mains à plat sur son torse et je le sens frissoner.

Pardon.

Nous n'avions jamais était aussi proche, ses lèvres sont seulement à quelques millimètres des miennes l'envie de les embrasser grandissait en moi.

Il recule brutalement, comme si je l'avais brûlé.

Suis moi. Dis je pour couper court à la situation.

Le reste du chemin se fait en silence ni lui, ni moi ne parlons trop absorbés par nos pensées.

J'entre chez moi et dépose mes affaires et me dirige vers ma cuisine.