Pill'n Potion (Larry Stylinson)

Os Zarry

Zaynie !

Tout avait commencé au square de la ville, Harry avait 6 ans et lui 8 ans, il était assis sur un banc ses jambes se balançaient dans le vide, la tête baissée, il avait l'air triste et Harry n'aimait pas que les gens soit triste.

Harry s'approcha de lui, il était maintenant debout devant lui mais le métis ne daigna même pas relever le regard ce qui intrigua Harry.

Bonjour, je suis Harry Styles IIIe du nom.

Le basané le regarda les sourcils froncés puis rabaissa la tête.

Et c'est quoi ton nom ?

Tu veux me laisser tranquille ?

Non.

Il rit doucement.

Pourquoi tu viens au square si tu joues pas ?

Je suis parti du foyer

Foryer ? C'est quoi ça ?

C'est un endroit où on met les enfants qui ont des parents bizarre.

Mais toi tu es pas bizarre, alors je t'aimes bien.

Harry était la pureté l'innocence, il ne connaissait pas les malheurs de la vie, il avait toujours eu une chambre 4 fois trop grande pour lui et pleins de jouets.

Viens je vais te présenter Hervé tu vas voir il est très gentil.

Pourtant le métis ne bougea pas d'un poil. De sa petite main Harry attrapa violemment celle de l'inconnu et le força à le suivre. Le basané fatigué ne protesta pas et le suivit.

Tu t'appelles comment s'il te plaît répond moi !

Zayn.

Oh mon papa une fois il était revenu d'un voyage pour beaucoup, beaucoup d'argent au Pakistan et il m'avait dit que Zayn ça voulait dire prince de la beauté.

Le dit Zayn le regarda interloqué c'était un véritable moulin à parole.

Je pense qu'il a raison ton papa.

Hervé !

Celui-ci se retourna brusquement.

Mr Styles je vous avez pourtant dit de ne pas dépasser la fontaine !

Roh, mais soyez moins rabougris sinon pas de spaghettis bolognaise !

Zayn chercha le rapport entre les spaghettis et l'interdiction de Hervé mais il abandonna bien vite.

Hervé je te présentes Zayn mon nouvel ami.

Euh...

Le dit Hervé regarda Zayn une grimace de dégoût, il portait un pantalon déchiré et un T-shirt sale, ses cheveux étaient gras signe qu'il ne les avait pas été lavé depuis longtemps.

Zayn connaissait ce regard, il l'avait croisé tellement de fois dans sa vie. Il lâcha la main du petit Styles prêt à retourner s'asseoir sûr son banc.

Où tu vas Zaynie ?

Zaynie ?

Je trouve que ça te va bien.

Alors ce petit bouclé aux yeux verts, tenait vraiment à lui au point de lui donner un surnom affectif. Cette pensée réchauffa le coeur meurtri du pauvre Zayn qui n'a jamais reçu d'affection pas même de sa propre famille.