Partie 46 :

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Il sors accompagné d'Ines alors j'en profite pour allez m'enfermer dans la salle de bain histoire de prendre une douche. Je pleurais pas sous la douche, à quoi bon? C'est pas la première fois que ça m'arrive donc à force j'ai l'habitude. Je sais très bien que c'est qu'une question de temps même si je savais très bien que ce kidnapping n'allez pas du tout être comme celui d'Hakim, comme je vous l'avais dit je préfère l'harcèlement physique à l'harcèlement moral. Je finis ma douche me sèche et enfile la tenue qui m'étais attribuer. C'était une jupe blanche, moulante qui m'arrivais mi-cuisses avec une chemise blanche légèrement décolletée. Je me regarda dans le miroir et soupira avant de quitter ma chambre. A ma grande surprise ma chambre se trouvais en bas et non en haut comme j'avais l'habitude. Il y avais personne, pas même Ines, tant mieux. Je commença à faire le tour du lieu; il y avais en bas une cuisine équipée, des toilettes, ma chambre, qui d'ailleurs était la seule en bas, un grand salon, un garage, une salle à manger et une grande terrasse avec un énorme jardin, une piscine et des accessoires de sport. En haut il y avais 5 chambres, donc en tout 6 chambres dans la maison plus la mienne, une salle de bain comprise dans chaque chambres et des balcons assez spacieux, des toilettes et une grande salle de bain dans le couloir. Je regarda si il n'y vais pas de téléphone mais rien du tout, la porte était fermé à clé, je ne pouvais pas m'enfuir du jardin car il y avais des haies hautes. Je soupira encore une fois après l'état des lieux car je ne pouvais rien faire et  je compris rapidement que le ménage risque d'être très long. Je commença donc le ménage en bas et finis en haut. 3h plus tard, j'eus enfin fini, heureusement pour moi c'était pas trop sale. Je commença donc à faire à manger, je leur faisais des pâtes avec une sauce tomate et de la viande, j'avais vraiment la flemme de leur faire un plat de ouf alors ils se démerderont avec sa. En analysant les chambres j'avais compris qu'il y avais environ 9 hommes dans cette maison, en tout nous étions 11 avec Inès et moi. Je regarder la télé quand j'entendis la serrure de la porte, la porte s'ouvrir et des voix d'hommes. Je me leva rapidement et alla dans ma chambre. 5 min plus tard j'entendis que quelqu'un m'appela alors je me leva et me dirigea vers Malik.

Lui : Sert moi à bouffer avec un coca.

J'y vais directement sans contester. Je lui apporte sous le regard insista d'un homme. Lorsque je leva la tête je remarqua qu'il s'agissait du pote de Karim, celui qui l'avais retenu lorsqu'il voulais m'accompagner à la voiture juste avant mon kidnapping; ce batard ... Il me regarda et me souria, je le dévisagea et reparti vers ma chambre lorsque mon prénom fus de nouveau prononcer mais cette fois-ci, par Ines.

Elle : Naïma apporte moi un verre de coca avec 2 glaçons et non trois et dépêche toi.

Je lui lança un regard noir et alla dans la cuisine. Je pris un glaçon et le mis dans ma bouche, mis le glaçon dans le verre, cracha dans son verre et lui apporta. Elle le bu, puis le versa au sol, sur le sol que j'avais nettoyer!

Moi : Ah la par contre j'suis bien gentille mais j'suis pas ta chienne non plus!

Elle : Nettoie sa, y a une tache! *sourire*

Moi : *murmure* Grosse pute..

Je me dirigea vers la cuisine et pris une lavette et nettoya sa merde. J'avais tellement la haine contre elle et moi, je me sentais si impuissante que sa m'énervé. Je retourna dans ma chambre et m'allongea.

...: Naïma!

Je vais devenir folle! Ils peuvent pas me laisser souffler deux putain de minutes?! Je me lève et retourne pour la énième fois au salon. Cette fois-ci c'était un gars que je ne connaissais pas qui m'avais appeler.

Moi : *souffle* oui?

Lui : Eh souffle pas. Y'a moyen tu m'passes la télécommande ? J'vois pas pourquoi je te le demande gentiment en faite; passe moi la télécommande.

Moi : Tu t'fous de moi? Elle est à tes pieds!

Malik : Ehhh tu fais quoi la?! Tu désobéis?!

Moi : Non du tout. *prends la télécommande et la donne au gars* tiens et surtout n'hésite pas de m'appeler si ta besoin de quelque chose d'important bien sûr.*sourire hypocrite*

Malik : Ouais j'prefere ouais... Débarrasse nous et c'est bon tu peux allez dormir.

J'les débarrasse et me dirige vers ma chambre m'allonger, enfin!

                                  [...]

J'dormais quand je sens qu'on me touche le bras alors j'me lève et tombe nez à nez sur le « pote de Karim ». Je me lève direct et aperçois que mes mains était attachés au lit.

Lui : Calme toi j'vais pas te faire de mal que du bien..

Moi : Mais qu'est-ce que tu m'veux toi putain?! Mais lâche moi putain!

Lui : *ferme ma bouche avec sa main* Ferme la on va t'entendre putain.. Heureusement que j'ai tout prévu!

Et là il sors un scotch et commence à vouloir me le mettre sur la bouche. Je commence à crier et bouger dans tout les sens, il me met une énorme claque qui me calma direct et me mis le scotch violemment sur la bouche.

Lui : Ferme ta putain de gueule putain! J'voulais pas te frapper tu m'à forcer maintenant ferme la et laisse toi faire.

Il commença à se mettre sur moi et me faire des bisous dans le cou, il descendais très rapidement et arriva à ma poitrine. Moi je pleurais et prier Dieu de m'aider, je voulais pas que ça m'arrive, pas une deuxième fois.. Il déboutonna rapidement ma chemise et me fis des bisous sur les seins qui m'écœurais énormément, il enleva mon soutif..

Lui : Pouaaah t'es gechaaar sa mère! Il en a de la chance Karim ce fils de pute. A l'époque il s'est taper ma reuss Beh moi j'me tape sa go, logique!

Il recommença ses baisers tout crasseux lorsqu'il baissa son pantalon ainsi que son caleçon... Il comptais s'approchait de moi tandis que moi je pleurais encore plus qu'au début quand tout d'un coup, un coup de feu se fût entendre. Il tomba raide au sol, le torse troué, le sol remplis de son sang. Je leva la tête vers la porte et aperçu Malik, une arme dans la main droite.

Lui : J't' ai dit qu'on devais pas t'toucher dans cette baraque, et j'suis pas un fils de pute qui tiens pas ces paroles moi. On met pas à l'envers Malik El Kouari.

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Chronique de Naïma : Le mektoub ne m'as pas épargnée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant