Chapitre 16 : "Voici la suite"

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Une nuit d'ébriété, de rigolades et d'amitié agit comme un antidépresseur

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Une nuit d'ébriété, de rigolades et d'amitié agit comme un antidépresseur. Une soirée suffit pour balayer les petits tracas du quotidien.

Jules ouvre doucement les yeux. La lumière lui agresse les yeux alors qu'un intense douleur lui barre le front. Une douce odeur de café flotte autour de lui. Le jeune homme écarquille les yeux. Il est dans une pièce qui lui est inconnue. De dos, il y a une très belle jeune femme aux courbes étourdissantes.

-Heu... Bonjour, hésite le jeune homme.

La jeune femme se retourne. Elle porte une longue robe parme et ses cheveux brun coupés au carré encadrent un visage allongé transpercé par deux orbes marron clair.

-Déjà debout beau brun ! Rit l'inconnue.

Jules passe sa main dans ses cheveux pour finir par se frotter les yeux.

-C'est quoi toi prénom déjà ? demande Jules.

-Tiphaine, souffle la jeune femme en lui tendant de l'aspirine.

Le jeune homme avale le verre d'une traite avant de tâter ses poches à la recherche de son addiction. Jules sort son paquet de cigarettes de sa poche tout en regardant son hôte.

-Ça te dérange si je m'en grille une ?

-Non, non pas du tout ! répond la brune.

La fumée sort des lèvres pleines du jeune homme. Tiphaine fixe le jeune homme qui tire à toute vitesse sur sa cigarette, enchainant taffe après taffe.

-Vu que je suis habillé et sur ton canapé, je suppose qu'on à rien fait, remarque Jules.

Tiphaine avale la quasi totalité de son café avant de répondre à son invité.

-Tu m'as chauffé en boite, je t'ai ramené chez moi. Arrivée ici, on s'est embrassés, on a entamé les préliminaires et quand je suis descendu de l'étage pour chercher un préservatif, tu ronflais comme un camionneur sur mon canapé ! rit la femme.

Les joues du bel hispanique virent au rouge sang. La honte s'empare de lui. Il finit rapidement sa cigarette en se délectant de la fumée qui caresse sa langue.

-Je suis désolé. Je n'ai aucuns souvenirs, s'excuse Jules.

Sa cigarette fini le jeune serveur se lève. Il regarde sa montre qui lui indique qu'il serait temps de partir s'il ne veut pas arriver trop en retard à son travail.

-Je...Je vais y aller, souffle le jeune homme.

-D'accord. J'espère que l'on va se revoir pour finir ce que nous avons commencer, murmure la jeune femme à l'oreille de Jules.

Un frisson, qui semblerait être d'excitation, traverse le corps du serveur. Il plonge son regard dans celui, de braise, de la jeune femme. Elle est terriblement belle. Sa robe met en valeur sa poitrine d'une taille plus qu'acceptable et la couleur s'accorde à merveille à ses joues délicieusement rose.

Et si c'était nous ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant