Chapitre 34. Aux grands maux, les grands remèdes

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Jane danse avec Thor, ils sont mignons à voir tout les deux. Je suis restée seule sur le balcon quand Thor est venu l'inviter, lui n'a plus de gêne mais je n'arrive toujours pas à le regarder dans les yeux. Qu'est ce qui m'est passé par la tête à vouloir ouvrir cette porte en foutus sous vêtements en dentelle rouge !

Derrière moi j'entends des pas. Je ne me retourne même pas, sachant pertinemment qui est ce. Je ne veux pas paraître enjoué.

Moi : c'est mon balcon.

Loki : c'est mon Palais.

Je pouffai, toujours aussi arrogant en toutes matières. Je le déteste. Je fixe les étoiles et attend qu'il s'en aille et me laisse seule encore une fois. Oui je sais je suis têtue mais sur Terre des femmes porteraient plainte pour moins que ça !

Loki : pourquoi est tu si rancunière ? Demanda t-il.

J'espère qu'il ne m'a pas dit ça. Par pitié dites moi qu'il ne m'a pas dit ça.

Moi : Loki, je me retourne et le regarde bien dans les yeux d'un air menaçant. Je vais faire comme si je n'avais rien entendu.

Il me regarde comme toutes femmes aimeraient être regardées. Mais je suis tellement furieuse que j'oublie mon désir grandissant envers lui. Il ne me répond pas et c'est alors que je décide de m'emporter.

Moi : regarde Loki ! Je lui montre mes poignets, regarde ! Criai je.

J'ai crié tellement fort d'un coup que j'en viens même à me demander si ils ne m'ont pas entendu. Je décide de faire un petit récapitulatif de mes blessures causées par sa faute.

Je lui montre les poignets pour qu'il puisse voir ce qu'il m'a fait. Ils sont bleu presque violets ! Ils font tout le tour de mes poignets, suivant la trace de ses doigts. Je cris toujours :

Moi : tu vois ? Bien parce que ce n'est que le début.

Je lui montre mon biceps qui est en train de se remettre d'un bleu énorme, il vire au vert dès à présent. Loki se contente de me regarder, ne sachant sûrement quoi dire.

Je tire mes cheveux en arrière et lui montre mon cou. La on peut y voir des bleus et des traces d'ongles. Pour ce qui est de la douleur je m'en sort bien car je ne me suis jamais plaint.

Moi : tu crois que c'est fini ? Attend de voir la suite !

J'enlève mes chaussures, lève légèrement ma robe et lui montre mes chevilles.

Moi : le jour où tu m'as kidnappé, j'ai du courir pieds nus pour tenter de t'échapper tellement j'avais peur Loki ! Regarde ! Ces cicatrices ne partirons pas et à cause de qui ? J'ai du marcher sur des bouts de verres !

Je n'arrive pas à contenir mes émotions et je ne peux m'empêcher de crier après lui, je ne comprend que maintenant que Loki à jeté un sort aux personnes autour pour qu'elles ne puissent pas nous entendre.
Je remet mes chaussures et baisse légèrement une de mes bretelles. Mon épaule est en train de se remettre d'un bleu.

Moi : mon dos est en miette ! Mon cou, mes épaules, mes chevilles, mes bras, mes mains, oh et sans parler de ma tête puisque tu ne peut pas t'empêcher de m'encastrer dans un mur à chaque fois qu'on se dispute !

Mes yeux commencent à briller, il faut que je me reprenne ! Je remet ma bretelle en place et continue de le sermonner.

Moi : quand tu ne peux pas te contrôler Loki ça donne ça ! C'est quoi la prochaine étape ? Tu vas me planter ? Le battre à mort ? Tu sais très bien que je ne peux pas me défendre contre toi, tu as une force surhumaine et je suis trop faible ! Dans tout les cas je perdrais contre toi Loki !

Loki, un Dieu piégéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant