~ The Magic Circle ~ ( BxB )

Chapitre 14: Beauté d'un jour

Comme je l'avais prédis mes parents mon grondait quand je suis arrivé à la maison. Apparement mon retard d'une heure les avait inquiété, je ne sais pas pourquoi ? Bon d'accord c'est totalement justifié, quand votre seul enfant ne donne pas signe de vie durant une heure, vous vous inquiété forcément. En tout cas de bon parents serait inquiet. Les miens l'étaient.

J'avais dû raconter encore un mensonge que j'avais inventé, peaufiné et rendu presque parfait, sur le chemin du retour. Cette fois ci j'étais chez Nicolas on réviser nos contrôles. Ce qui dans un sens n'était pas faux, mais à la place d'apprendre des formules mathématiques, nous avons appris des formules magiques et dans la forêt qui plus est.

Je commencer à épuisé tout mes excuse.

- On t'as pas attendu pour manger jeune homme ! me dit ma mère sur un ton qui était très déplaisant et autoritaire.

- T'inquiète pas je t'en est laisser dans une assiette au micro-ondes. Chuchote mon père dans mon oreille.

Ils avaient toujours comme ça avec moi, ma mère me disputer au moindres faux pas et m'imposer des règles, tandis que mon père ne me punissait jamais, parfois même c'était lui qui lever les condamnations. Malheureusement pour lui, même en chuchotant ma mère avait entendu.

- Joël ! Pourquoi faut-il toujours que tu détruise le peu d'autorité que je réussi à installer.

Ma mère se lève. Lance un regard noir plein de colère à mon père et monte les escaliers en trombes, faisant beaucoup de bruit pour que l'on comprenne vraiment qu'elle en avait pas finis. Toujours aussi coriace, comme moi dans un sens. Encore un point commun !

- Allez va manger après tu vas te coucher et s'il te plait fait une tête d'adolescent en colère pour que ta mère croit que je t'ai fais la morale.

- Tu es le meilleur papa.

Il se lève à son tour et dit en montant les escaliers.

- Je sais Duncan bon je vais aller rejoindre ta mère avant qu'elle ne décide de nous tuer dans notre sommeil.

- Dors bien et un conseil écarte tout les objet pointus à la portée de maman.

Il sourit et continua sa montée des marches.

Je pris l'assiette qui était précieusement posé, dans le micro-ondes. Une assiettes de pâtes, avec du fromage râpé sur son dessus. Un repas simple mais plutôt bon. J'attrape une fourchette dans le tiroir en dessous de l'évier, afin d'éviter de manger avec les mains.

J'embroche  l'amas jaunes qui sentait inéluctablement bon.

Ventre remplis, soif étanchée : je pouvais enfin aller me coucher. J'avais eu une rude journée.

**

Je me réveil doucement et m'étire. Quand je faisais ça, je sentais des frissons partout, ça me détend le dos et ça me motive à me lever. Sur pieds, je prend une grand goulée d'aire frais en passant la tête par ma fenêtre que j'avais laissé ouverte la nuit dernière.

Inexplicablement j'avais une furieuse envie de voir Nicolas. Ca ma prit d'un seul coup.

Je prend une douche éclaire. Aujourd'hui j'opte pour un haut blanc tout simple sans motif, rien. Un jean skinny noir et met mes boots en cuire marron foncé. Avec cette tenue j'enfile quelque bracelet à un poignet. Exceptionnellement je décide de me coiffe, je relève légèrement mes cheveux et me met un petit coups spray de laque, pour que ma coiffure puisse passer la journée.

Arrivé au lycée, certain regards se pose sur moi, sans me lâcher d'une miette. J'avais une tâche sur le front ? Un excrément de pigeon sur l'épaule ? Mais un seul regards m'importe réellement. Le sien. Comme si rien que le faite de le sentir me regarder, me donner la force de toute affrontés. Lorsque ses yeux se posent sur moi. Il sourit et s'approche de moi.

Si je ne m'étais pas lancé un sort anti-télépathe, il se serait amusé de moi.

- Salut Duncan ! Me lance t-il tout en continuant son approche lente et sensuel.

Je suis comme aimantées par lui, c'était en quelque sorte ensorcelant. Il était ensorcelant et je ne l'avais jamais remarqué jusqu'à cette histoire avec Raven, toute cette beauté. Ce, corps qui ne demande qu'à être parcouru de mes mains.

- Tu es très... beau. Dit-il en posant sa main sur ma hanche.

Je souris timidement et baisse les yeux, j'étais trop intimidé par ce qui se passait. A chaque fois que Nicolas était dans les parages je ne savais plus trop ce que je faisais.

- Merci toi aussi t'es pas mal.

Je devais lui montrait qu'il ne m'avait pas complètement acquis. Jouer la cartes du mec qui le trouve juste passable, dans les films ça marche à tous les coups. Peut-être que là aussi.

- Je suis juste bien tu as raison tout le monde te regarde.

Sa machoir se contractent, et ses poings sont serrés, tellement serrés que l'ont vois la forme de ses phalanges. Le faites que plusieurs regards sont braqués sur moi l'énerve à ce point ? Nicolas Curchill serait jaloux ?

Je souris et part sans dire un mot en entendant la sonnerie retentirent.

J'arrive dans un couloir désert, apparement tout le monde était déjà rentrée en cours. Ma professeur de littérature ne serait pas très heureuse de remarquer mon retard. Mais c'était un risque à prendre vaut mieux arriver tard que jamais.

Je toque à la porte et rentre en entendant un bref «  entré ». Tous les regards de la classe était braqué sur moi. De nouveau. J'en avais vraiment trop fait pour aujourd'hui ? C'est vrai que comparer à d'habitude j'étais coiffée et bien habiller.

- Asseyez vous Monsieur Buckley. Dit madame Kronenburg un peu en colère.

Depuis le début de l'année elle ne faisait que de me mettre des bâtons dans les roues, à force c'était plus que excédant. Je travaille bien, ne discute pas, mais pour elle ce n'était jamais assez bien. Un peu comme avec ma mère.

Aujourd'hui nous allions parler de Shakespear, un grand classique de la littérature.

Le cours se passe plutôt bien, sans vague, mise à part certains coups d'œil que Les filles et garçons de ma classe me lançaient de temps à autre.

- Allez vous pouvez sortir en avance.

Je commence à me lever, quand elle me pointe du doigts. Les ennuis allaient arriver.

- Sauf vous Duncan.

C'était pénible, toujours à s'acharner sur moi, Nicolas sort de la classe et me chuchote un «  bonne chance ».

Une fois que toute le monde fut sorti, elle ferma la porte et s'assit sur son bureau.

- Oui Madame ? C'est pourquoi ?

Elle sourit.

- Une retenu très cher, ça vous apprendra à arriver en retard à mon cours ce soir à 19 h 30 et si vous avez une minute de retard, je vous rajoute une heure de pénalité.

Je dois contenir ma rage, me faire punir un vendredi soir. C'était vraiment pas cool. J'avais vraiment eu une semaine difficile et elle ramenait son grain de sel à la Kronenburg.

- Mais il fera nuit madame.

- Et alors comme je le dis si bien la nuit porte conseil alors j'espère que ce soir vous fera réfléchir sur la ponctualité.

Je souffle et sort de la classe. Ma soirée allez être longue et très ennuyante. Et moi qui croyais que la journée était bien partit. Je m'étais vraiment tromper.