Chapitre 15

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HEY LES GENS ! J'AI UNE SUPER NOUVELLE ! LA LÉGENDE DES MONDEORS A ATTEINT LES 5000 LECTURES ET AURA BIENTÔT 300 VOTES !!! JE TIENT À REMERCIER TOUT CEUX QUI VOTENT ET SUIVENT SÉLAN ! EN PLUS, NOUS SOMMES DÉJÀ AU CHAPITRE 15 ! JE TROUVE QUE L'HISTOIRE SE RAMOLLIE UN PEU, ALORS JE VAIS ESSAYER D'INTÉGRER L'INTRIGUE DANS LES PROCHAINS CHAPITRES !! :)
JE DÉDICACE CE CHAPITRE AUX LECTEURS !!!!!
BIENTÔT, C'EST NOËL, VOUS AVEZ COMMANDÉS QUOI ? :) MOI UN LIVRE SUPER GÉNIAL, DES AFFAIRES D'EQUITATION ET PLEIN DE PITIT TRUC ! HIHI ! :B
BONNE LECTURE LES PETITS PROUT ! :*

Sélan et Lorenzo déjeune. Dans dix minutes, ils monteront dans la voiture qui les attend.

PDV : Sélan

Je mange plus vite que la musique !!! J'ai tellement hâte ! J'entends déjà Lorenzo se diriger vers la sortie. Je le rejoins rapidement et tout deux, sortons du palais en vitesse. Nous grimpons dans la voiture. Je souris bêtement.

- On y va ? demande le chauffeur.

Lorenzo acquiesse et la voiture gronde. Je saute dans les bras de Lorenzo à cause de l'exitation. Dans seulement une heure, je serais chez Jenéla !!

Durant les premiéres minutes, Nous parlons de nos souvenirs avec la jeune fille. Ce sont des souvenirs aussi bon que ceux que j'ai avec les mondeors. Soudain, un souvenir ridicule me vint en tête.

Flash back :

J'étais à l'école. Jenéla et moi rions comme des dindons au fond de la classe. Lorenzo et Mick nous regardaient et nous supliaient de raconter. Soudain la porte souvrit. Le proffesseur tenta une escuse pour son retard mais aussitôt, il se reçu un sceau d'eau sur la tête. Il tenta quelques pas à l'aveuglette. Mais son pied shouta dans un sceau de farine et tout se rependu dans la classe. Il y avait un bouton sous le sceau et le poids enlevés déclencha un mécanisme. Aussitot, une trappe au plafond s'ouvrit et pleins de minis dragons attaquairent la salle. Le prof tenta de calmer les eleves mais ses pieds se coincérent dans une chaussure en fer. Soudain le prof commença à danser. enfin, les chaussures de fer étaient sur un roue qui tournait.
Jénéla et moi mourrions de rire devant la catastrophe que nous venions de causer.

fin flash back.

Soudain, la voiture s'arrete. Comme cela, au milieu de la forêt des elfes. Le chauffeur sort, fait une grimace puis revint.

- Désolé, vôtre majesté mais une roue a crevé. Je vais reparer ça.

J'oche la tête. Lorenzo ne tient plus sur place. D'ici, on pouvait voir la tour du chateau.

- ARGHH ! crie le chauffeur.

On commence à paniquer en entendant ce crie souffrance. Et si la voiture venait de l'écraser ? Nous sortons et courrons vers le chaufeur. Il n'y avait personne. Je regarde éttonament Lorenzo.

C'est à ce moment là que je remarque l'homme au yeux corbeau et aux yeux rouges derrière Lorenzo. Puis ce fut le trou noir.

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BON, JE VOUS LAISSE SUR CE SUSPENSE ! :) C'EST UN PTIT CHAPITRE, J'AVOUE...
BREF, BISOUS !

J'RIGOLE PAS, HEIN

--' TU CONTINUES ?

C'EST BIEN! PARCE QUE C'EST UNE BLAGUE ! VLÀ LA SUITE ! :B

J'ouvre difficilement un oeil. Ma tête me fait attrocement mal. Comme si on m'avait frapper.

Bien que la piéce soit dans le noir complet, mes yeux mettent du temps à s'habituer. Le sol est dur et froid. Ma côte me fait mal. Je crois qu'elle est briser. Je me redresse tant bien que mal et découvre que je suis bel et bien dans un cachot. Je remarque une carraffe d'eau et m'empresse de marcher sur quatres pattes pour boire, ce que je regrette aussitot. Mon corps est tout engourdi. Je sens mes forces qui m'abandonnent et je m'effondre. Je tends la main difficilement vers le morceau de pain sec et le rapporte à ma bouche, grignotant du bout des dents. Je bouge un par un mes menbres pour réveiller mes muscles. Je m'assois enfin convenablement et me serre un verre d'eau. L'eau tiède coule dans ma gorge seche comme une chaussette. Je retients un gémissement de douleur.

Enfin rassasié, je me demande enfin où je suis. Je regarde par la grille de la porte. Il n'y a aucun garde que je puisses questionner. Je tente de déverouiller la cellule mais il y a une présence qui m'en empéche. Soudain, j'entends des voix :

- Bandes d'incapables ! Ce n'est pas comme ça qu'on accueille une jeune femme aussi importante.

Les bruits de pas se font de plus en plus proche. Je peux maintenant distinguer l'éclat d'une torche flamboyant dans le noir. Les ombres des flammes crée une ambiance tendue et froide. On déverouille ma porte et on l'ouvre dans un grincement insuportable que je ne peux m'empécher de dire :

- Arretez ce bruit ! Bande de psycopathe !

L'homme aux cheveux noirs et yeux rouges qui avait fait prisonnier Lorenzo se trouve devant moi. Il éclate de rire et dit :

- Vous m'avez manquer, ma belle..

Je ne le regarde même pas. Je le connais pas.

- Où est Lorenzo ? réussis-je à dire entre deux grincement de dents.

L'homme me prend par la main et me léve face à lui.

- Vous m'avez manquer.

Il me serre contre lui, si bien que l'air ne passe plus entre nos corps.

- Lache-moi ! Je te connais pas, pédophile !

Je le pousse loin de moi et il semble vexé. Je m'en fiche ! D'où il me serre comme ça ?

- Bien.. Suivez-moi, je vous conduit à vôtre chambre.

Là, je ne comprends plus rien. Je suis pas censé être un hotage ? De toute façon, cela ne peut etre pire qu'ici. Je suit l'homme aux cheveux corbeaux. Nous passons dans des couloirs sombres. Les fenêtres se font rares. Soudain, l'homme s'arrete et m'ouvre une porte.

- Si vous avez besoin de quoi que ce soir, appelez-moi. Gazill. Vous vous souvenez ?

Je lui ferme la porte au nez. Non mais qui c'est ?! Cet endroit me fait peter un plomb. Je passe devant un miroir et je me rencontre que mes vetements sont en lambeaux et qu'on me voit presque toute en sous-vêtement. Je rougis à l'idée qu'on m'ai vus ainsi. J'ouvre de suite la penderie. J'ouvre grand la bouche. Il n'y a que des robes plus provoquant les uns que les autres. JAMAIS !!!

"- je viendrais vous cherchez dans dix minutes, a-dit Gazill"

Oui, j'ai été forcé de prendre une des robes. Elle est blance en soie avec plusieurs motifs noirs. Bien entendu, elle est assez transparente et il n'y avait que des soutiens-gorge noir... Je croit que je vais vomir. Elle est ouverte sur les côtés, en partant de ma taille jusqu'au début de ma poitrine.. Je me dégoutes ! Est ce qu'il n'y a que des perverts ici ? Et d'abord, où suis-je ?

J'entends qu'on ouvre la porte. C'est Gazill. Il me relouque. Oui, je croit qu'il n'y a que ça dans cet endroit !

- Voudriez-vous me suivre, Sélan ? Vous êtes magnifique en passant. Le roi vous attend.

ET VOILA, C'EST LA FIN DE CE CHAPITRE ! :) IL Y A BEAUCOUP DE QUESTION QU'ON PEUT SE POSEZ !
- OÙ EST LORENZO ?
- OÙ EST SÉLAN ?
- QUI EST LE ROI ?
- EST CE QUE GAZILL ET SÉLAN SE CONNAISSENT ?
- POURQUOI LA TRAITE-T-ON AINSI ALORS QU'ELLE EST UNE PRISONNIÉRE ?

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La légende des Mondeors [ En Réécriture... ]Where stories live. Discover now