Assassination Classroom [Karma x OC] [TERMINÉ]

Chapitre 10

PDV Aisu
Je suis dans un endroit sombre...mes genoux contre ma poitrine, la tête dedans...j'entends des chuchotements,je relève donc la tête pour voir d'où ils proviennent. Ce sont deux filles, je me lève et vais les voir par réflexe.

Moi: Ryoko? Shina?

Ryoko: Casse-toi!

Shina: Lâche-nous la moche!

Moi: Hein!?

Elles disparaîssent, à la place se sont mes parents. Je me crispe.

Moi: Qu'est-ce que vous fichez là?

"Maman": Tu n'as été qu'un accident!

"Papa": Tu ne mérite pas d'être née!

Moi: RAAARGH!!

Je vais pour leur donner un coup mais ils disparaîssent à leur tour. Ma sœur apparaît derière moi.

Mizu: Tu mérite ce qui t'arrive.

Moi: Va te faire foutre!

Je me retourne, Karma est là.

Moi: Karma!

Je vais pour lui sauté dans les bras.

Karma: Dégage.

Moi: Eh!?

Karma: Tu m'as bien entendu, DÉGAGE! VA CREVER!

Il s'éloigne de moi, je suis choquée, les larmes me montent aux yeux et les voix incessantes de les camarades résonnent dans ma tête "Bouche trou", "Bouffone", "Pauve conne", "Tu sers à rien", "Vas crever!", cette dernière phrase se répète sans cesse.

Moi: AAAAAAAAH!!!

Je me lève en sursaut, je transpire, je tremblote et je pleure. J'ai l'air d'être dans l'infirmerie, pourquoi déjà?

Moi: Un-un rêve, ce-ce n'était q-qu'un rêve...

?: AISU TOUT VA BIEN!?

Je sanglote.

Moi:Karma!

Il cour vers moi et m'enlace, je pleure sur son épaule.

Moi: K-Karma, j'-ai eu si peur!!!

Karma: Ce n'est rien.

Moi: Mais-mais tu me détestais, t-tu m'a dis de dégager, de-de-que tu m'aimais pas, t-tu m'a aussi dis de crever, comme tout les autres...

Il me prend par mes épaules et me regarde droit dans les yeux.

Karma: Écoute moi bien, je suis là, je ne te dirais jamais ça, je t'aime plus que tout, ce n'étais qu'un rêve tout va bien.

Il m'embrasse plusieurs fois pour me dentendre. Koro-sensei, Karasuma-sensei ainsi que Bitch-sensei arrive dans l'infirmerie.

Moi: Dites, qu'est-ce que je fais ici?

Karasuma-sensi: Je t'ai assomée parce que tu t'en prennais à ta mère, tu ne te contrôlais plus.

Moi: Oh non ma mère!

Je me lève de mon lit en trombe pour rejoindre la sortie, mais je me sens étrangement alourdie et je tombe au sol.