Chapitre 51:le dur départ

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Bonjour la compagnie ! A cette période des vacances d'été, vous devez toutes et tous être rentrés chez vous !j'espère que vos vacances ce sont bien passées et que vous vous êtes amusés ! Je reviens avec ce chapitre 51 en espérant qu'il vous plaira.

[PDV HALLEY]

Moi: euh.....je retourne voir mon père en France pour une affaire...importante

Ils me regardèrent tous silencieux

Julien: vous pouvez dégager un instant tout le monde, j'ai à parler avec Halley

Bastien: tu vas lui faire une déclaration?

Julien: pars, maintenant!

Bastien: t'es pas drôle! Bon on vous laisse tous les deux en amoureux

Julien: la ferme Bastien!

Il partit en rigolant suivit de près par les filles. Nous étions seuls maintenant et j'appréhendais ce que Julien pouvait bien avoir à me dire.

Julien: tu comptes faire gober ça à qui franchement?

Moi: gober quoi?

Il me lança un regard qui voulait dire "me prend pas pour un con"

Julien: t'es pas crédible, tu ne sais pas mentir!

Moi: eh oh! Ça a marché avec les autres!

Julien: Ce n'est qu'une bande de crétin

Moi: sympa...c'est tes amis quand même

Julien:.....

Moi: ce silence en dit long sur tes pensées Julien...

Julien: Bon...tu comptes me dire qu'est-ce que tu vas faire pendant un mois ou je dois trouver seul?

Moi: Pourquoi tu veux toujours tout savoir?

Julien: j'aime tout savoir...

Carter arriva d'un pas précipité dans la salle de classe l'air pressé

Moi: qu'est-ce qu'il t'arrive Carter tu avais peur d'être en retard ou quoi dis-je avec un ton assez sarcastique

Carter : mon père vient de m'appeler, ta mère a un souci apparemment et il faut que tu la voies avant de partir !

Ses mots résonnaient dans ma tête comme un bourdonnement sourd qui me donnait le mal de crâne. Carter me prit le poignet et me força à me lever.

Julien : je suppose que tu me raconteras plus tard...

Moi : désolé ! Dis à Bastien que je ne pourrais pas ce midi !

Je partis en lui faisant un petit bisou sur la joue

Julien : eh !

Carter et moi allions en courant dans les couloirs pour sortir du lycée. Il démarra en trombe sa voiture qui était très mal garée, elle coupait 3 places au milieu du parking.

[...]

Arrivé à l'hôpital ; je trouvai ma mère, le teint blafard, des cernes creusées sous les yeux. Elle semblait endormie et le bouquant que Carter avait fait en rentrant dans la pièce n'avait pas l'air de l'avoir réveillée.

Le père des jumeaux était à son chevet dans le même état que ma mère mais lui avait la chance de ne pas être malade...Il tenait dans sa main un gobelet en plastique à moitié remplit de café. Ses mains tremblaient, tremblaient comme les miennes soumises au stress.

Puisqu'il Faut ChoisirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant