chapitre 17:Blanche comme de la craie.

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Je n'ai pas dormis de la nuit.Mes yeux ont refusés de se fermer pour me laisser dormir.Je me sens mal très mal.Ma conscience aussi.Jamais Ô grand jamais je n'aurais voulus voir ce désastre.Comment Carter a put l'espace d'un instant penser à me montrer un truc pareil?"

Les larmes refusent de couler depuis le début du choc.En accompagnant Carter,je ne pensais pas voir un truc pareil.....

Le meutre d'une personne.

Pratique courante chez les traficants je sais mais...

Carter m'avait expliqué que Ivann le chef du groupe n'était pas sencé aller aussi loin et que c'était juste une manière de me faire peur et de me prévenir de mon chatiment si je trahissais leur secret.D'un sens, se fut efficace car je ne décrochai pas un mot depuis hier.Heuresement vu mon état,Carter qui avait l'air de s'en vouloir à mort prévint tous les autres que notre sortie au lac était annulée.

Enfouis sous mes couettes,la chaleur m'appaisait légèrement.Mais je ne pouvais pas rester en état de légume végétant dans un lit.

Je m'aventurai hors de ma chambre en tenue des ''chagrins'' autrement appelée pilou pilou.

Une bonne odeur sucrée s'échappait de la cuisine.

Effectivement,ma mère préparait des crêpes.En temps normal je lui aurais sautée dessus pour qu'elle m'en donne une mais je me contentai de lui dire bonjour et de m'assoir à la table de la cuisine.Elle se retourna vers moi.

Ma mère: Ça va ma chérie!? Tu es toute pâle? Tu as mal dormis?

Oui, je n'avais pas fermée l'oeil de ma nuit.

Moi:Non tout va bien, je suis juste mal réveillée.

Elle prépara une assiettes avec de crêpes et un verre de jus d'orange qu'elle placa en face de moi et s' assit à la table.

Je n'avais pas faim.Ma mère me fixait avec un regard qui voulait dire ''mange!''

Moi:J'ai pas faim maman...

Ma mère:alors arrête de jouer avec tes crêpes elle ne seront plus mangeables après!

Je posai le regard sur mon assiette, en effet j'avais mis en morceaux mes crêpes à l'aide de mes couverts.

Ma mère:tu devrais manger,tu n'as rien avalé depuis hier midi,tu m'inquiète...

Je me forçai à avaler une boucher des crêpes,mon estomac sa noua malgrès mes efforts et j'avais à présent la sensation d'une boule dans le ventre et l'envie de vomir.

Moi:c'est délicieu!me forçai-je à dire pour la rassurée.

Ma mère:Puisque nous somme que toutes les deux,nous pouvons parler des vacances chez ton père.

Moi:j'irais pas

Ma mère:On s'était mit d'accord ton père et moi pour faire comme ça durant toutes tes vacances et jusqu'à là sa a plutôt bien marché.

Moi:Sa c'est se que mon pére te raconte!Il n'est meme pas au courant que Maude et Amandine(belle soeur et belle mère) me font vivre un supplice quotidien.Franchement maman,c'est vraiment le dernier endroit ou j'ai envie d'aller.Pourquoi je n'irai pas chez papi et mamie?Tonny et Clara m'attendent là bas depuis des lustres et j'annule à chaque fois à la dernière minute.

Ma mère:Ne discute pas jeune fille,de toute façon ton père a déjà acheté ton billet tu pars dans 4jours juste après ta journée de cours.

Moi:bon d'accord....Jack peut pas venir avec moi?

Ma mère:hors de question il n'a rien à faire là bas!

Moi:Rooh...ok

Je me leva de ma chaise,je commençais à me sentir mal,nauséeuse.

Moi:je vais me préparer! dis en me précipitant à l'étage.

J'ouvris la porte des toilettes,elle se claqua contre le mur...tant pis j'étais trop préssée de déglutir mon semblant de petit déjeuner.

Lorsque la nourriture était entrée dans ma bouche tout à l'heure les image des balles traversants le corps de la victime me revenaient en tête me donnant des hauts le coeur.

Accoudée à la cuvette des toilettes,ma respiration était saccadée et je faillis m'étouffer.J'entendis une porte s'ouvrir et des pas se diriger vers moi.

Jack:Halley?!

Je ne tournai pas la tête n'ayant aucune envie qu'il ne me voit dans cet état là.

Jack posa ses mains sur mes épaules les caressants légèrement dans le but de me calmer et s'agenouilla à côté de moi.

Jack:Halley tu te sens bien tu es malade?

Moi:Non...je vais très bien...réussis-je à articuler.

Jack:Tu viens de vomir et tu crois que tu vas bien?

Il posa une main sur mon front.Sa main était glâcée.

Jack:T'es brûlante tu as surement de la fièvre.

Il me prit les deux poignets et m'enmena dans la salle de bain.J'avais toujours la tête baissée.

Il me fit m'assoir sur le rebord de la baignoir et sortit une trousse de médicaments d'un placard.Il en sortit une boîte de comprimés,en prit un et me le tenda munis d'un vers d'eau.

J'avalai le tout et lui redonnai le verre.Tout ça sans le moindre mot.Car je sentais que si je parlais à Jack,j'allais finalement éclater en sanglots.Jack me prit la main et m'enmena ensuite dans sa chambre.Les volets étaient encore fermés signe qu'il dormait ils n'y a pas si longtemps.Nous nous allongâmes dans son lit.Je me serrai le plus possible contre lui pour me réchauffer.Il posa sa main sur le haut de ma tête et me caressait doucement ayant l'effet d'une berceuse.J'étais bien dans ces bras,j'oubliais tous mes problèmes et mes cauchemards.

C'était toujours Jack qui me ramassait à la petite cuillère quand j'était mal.

Puisqu'il Faut ChoisirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant