La Combattante Et l'Alpha

Chapitre 20

Nda : Je suis en ce moment plus que débordée avec mon déménagement et mon brevet. Donc je ne pourrais plus que écrire une fois par semaine. Un grand merci pour votre patience, vous êtes Vraiment les meilleurs!  😁😁😁😁😁😁

Chapitre 20 :
Pdv Maxina :

En retrant dans la voiture, je lachais un grand soupir de soulagement. Mes pieds étaient en compotes et j'aurai probablement des ampoules demain. Becs peut place à les côtés, elle aussi contente de pouvoir enfin soulager ses  jambes sûrement lourdes après avoir était debout aussi longtemps.

Le chauffeur demarra et une forte odeur d'essence se fit bientôt sentir dans l'habitacle. Inquiète je me tournais vers mon amie qui regardait par la fenêtre. On longeait actuellement une route en plein centre-ville. Après cinque minutes on pris un embranchement pour aller sur l'autoroute.

L'odeur d'essence s'intensifie, la panique coura sous ma peau, faisait se dresser les poils sur mes avant-bras.

- Stop ! Arrêtez  vous sur la bande d'arrêt d'urgence Monsieur !

Le chauffeur de tourna vers moi, ses yeux vides comme ceux de James lorsque il était drogué. Oh non. Il  retourna ensuite son regard vers la route comme si de rien n'était. L'odeur ne cessait d'augementait et j'étais sûre que si je ne trouvais pas un moyen d'arrêter ce véhicule, Becca et moi allions finir en chair a pâtée trop cuite.

- Tu sens cette odeur !? La voiture à un problème ! On  doit l'arrêter ! Hurla mon amie en se rendant enfin compte du problème.

L'adrénaline de répendi dans mon organisme, me montant au cervaux, me poussant a agir, prendre une décision pour survivre. Je décrochais alors ma ceibture brusquement, me jetais sur l'homme, lui écrasant la tête contre le volant.

La voitue vira violemment à droite et j'entendis Becca pousser un gros d'effroi , je m'assi sur le chauffeur inconscient, et je repris le contrôle du véhicule. Je bifurquias vers la bande d'arrêt d'urgence et je stoppais le véhicule.

- Sort ! Dégage !

La combattante obéi et ouvrir la portière avant moi et de jeta en dehors de la limousine. Je sorti à mon tour et saisi l'homme par sa veste pour l'extirper de son siège. Il était innocent, impuissant sous l'effet de la drogue, il avait peut être une âme soeur, une famille. Je ne pouvais pas le laissais mourir. Je ne pouvais causer un malheur à une famille. Je ne souhait à personne de vivre ce que ma famille avait subi.

Je trainais l'homme loin de la voiture qui allait exploser d'une seconde à l'autre. Une petite voix dans la tête ne pouvait pas s'empêcher de me dire que en sauvant le chauffeur, je me mettais en grand danger. Elle voulait me résoudre à l'abandonner pour courir me mettre en sûreté. Mais je savais à qui cette voix appartenait : à un lâche. Une personne capable de laissais mourir quelqu'un par peur et par égoïsme.

Une fois à environ une centaine de mètre de la voiture, une grande détonation retentit, une bourrasque de chaleur et une force colossale m'envoyant voler à l'autre bout de la bande d'arrêt. J'atteris a plat sur la ventre dans la terre. L'arrière de mon dos me faisait terriblement mal et j'avais mal au côtes a chacune de mes respirations laborieuse.

Ma vision était de plus en plsu floue sous l'effet de la douleur et je n'entendais plus rien. Le silence complet.

Je tentais de me lever mais les jambes et mon dos ne me le permirent pas, la tête se mettant à me lancer.

Impuissante et souffrante je ne peu que me laissant tomber par terre en priant pour un miracle.