La Combattante Et l'Alpha

Chapitre 5

Nda: Merci à tous ceux qui votes et commente ! Ça fait super plaisir :) ! Du coup le chapitre là est plus long ! J'espère que vous aimerez.

Chambre de James en médias.

Chapitre 5 :
Pdv Maxina :

Une surface molle et trèèès confortable. Trop même. Elle me donnerait presque envie d'y rester jusqu'à ma mort. Je tentait d'ouvrir les yeux.  Tentait.  Mes paupières refusèrent de bouger. Génial. En essayant  plus fort, je réussis à retrouver ma  capacité à voir.

J'étais dans une pièce qui m'est totalement inconnue. Elle était spacieuse, moderne et je dois me dire, assez masculine avec ses meubles en bois noir. Le soleil tapait fort à travers la baie vitré donnant sur.....

Oh non ! La ville de New York s'étendait sur des kilomètres devant moi, les gratte-ciels brillant sous la lumière estivale. Le spectacle était époustouflant mais dérangeant.

J'étais passé de Londres à  New York en un sommeil. Sommeil forcé par je ne sais quel drogues ou sédatif d'ailleurs ! Il va m'entendre cet Alpha de merde !

- Eh bien tu es enfin réveillé ! Dit une voix masculine.

Quand on parle du loup on en voit la queue ! ( pas de pensées perverses svp 😋 )

Alpha Darkwounds en personne venait de passer le seuil d'une des deux  grandes porte de la chambre. L'autre donnait probablement sur la salle de bain.

-  Ben quoi ? Ta perdu ta langue pendant que tu dormais ?Il me demande avec un sourire chaleureux.

Il me donnerait presque envie de vomir.

Menteuse ! Me dit ma conscience. Oh qu'elle la ferme celle là !

- Merci pour ce charmant petit somme que vous m'avez offert Alpha Darkwounds. Cependant je me dois de rentrer en Angleterre donc si vous pouviez me dire où est Gabrielle cela m'arrangerais énormément.

Mon ton est glaciale. Je me rappelle encore la manière dont il m'a parlé dans l'arène. Et puis je n'ai aucune envie de rester au même endroit que la poufiasse rousse de mon "frère".

- Appelle moi James. Tu n'es pas ma subordonnée. Tu es mon âme soeur. Et c'est d'ailleurs pour cela que tu dois rester ici.

James à l'air sur de son coup. Un peu trop à mon goût. Doit y avoir anguille sous roche.

- Je suis peut être ton âme soeur. Mais tu n'es certainement pas la mienne !  Je lui répond effrontément.

Non mais il se prend pour qui ?

- Et bien tu vas devoir apprendre à m'aimer.  Et tu vas rester ici avec moi. James appuie sur ces derniers mots. A moi que tu ne veule que je ne fasse exécuté ta charmante amie.

Il appuie sur la télécommande de la télé que je ne venais que te remarquer. Ce qu'elle projette me donne envie de me jeter sur l'Alpha.

Gabby est dans une cave au barreau piteux, attachée au mur, un loup en uniforme tenant un flingue sur son front, doigts sur la gâchette. Ma meilleure amie était couverte de saleté, ses vêtements déchirés.

Mon coeur se serra. Quel enfoiré. Je le hais. Je ne peux pas laisser la seule personne qui est était là pour moi toute ma vie se faire tuer.

- C'est bon je reste ! Dit à ton homme de la laisser tranquille ! Je lui hurle dessus, paniquée.

Un sourire lui traverse le visage. Fils de pute.

Ses yeux verts deviennent vitreux, signe qu'il communiquait par télépathie.

Mon amie tremblante fut détacher avant d'être porté hors du champs de vision de la caméras.

- Si tu tentes de t 'enfuir, je la torture jusqu'à ce qu'elle meurt compris ? Me demande James. Ou plutôt l'enfoiré sadique de loup.

Je hoche la tête, ne voulant pas gâcher ma salive pour un con pareil.

- Parle ! Il m'ordonne.

J'obéis à contre cœur.

- Oui j'accepte. Elle est où maintenant ?

- En train de découvrir sa chambre. Je me suis dit que si Gabrielle vivait ici, ça serait plus facile pour toi. Tu pourrais au moins me remercier.

- Merci de m'avoir drogué, d'avoir voulu tuer ma meilleure amie, de me forcer à rester avec un psychopathe comme toi. Vraiment merci.

Ses yeux brillèrent de douleur avant qu'il ne détourne le regard. 

- Tu ne peux pas comprendre. Je n'avais pas le choix. Je t'ai attendu toute ma vie. Et tu en veux même mas de moi !

Et c'est là que tout partit en vrille.

Il jeta la télécommande à travers la pièce, avant de renverser la table, de donner un coup de poing dans le mur. On aurait dit qu'il était sortis tout droit d'un asile.

- A l 'aide ! Je hurle en me dirigeant vers la porte. Il est devenu fou !

La porte s'ouvre avant que je ne pu m'échapper. La connasse rousse à l'air ennuyé apparut.

- Qu'est ce que t'as encore fait ? Tu sais quoi je m'en fous. Va le calmer. Après tout c'est ton âme soeur, c'est ton job.  Dit elle blasé.

- Et comment je fais ça ? Je lui plante un sédatif dans le cou ?

Elle leva les yeux au ciel.

- Non débile, fait lui un câlin, un bisous, je sais pas moi. J'ai jamais réussi a calmer mon frère, mais tu devrais y arriver. Au pire tu sera pas une grande perte hein ?

Elle rigole toute seule après. La folie, ça doit être héréditaire.

Je ne relève pas sa pique et me retourne vers son frère qui dédruit toujours la chambre. Cette fois c'est une chaise innocente qui y passe. RIP chaise.

Je l'approche doucement. Pitié fait que je ne finisse pas comme la chaise. Ou ma télécommande. Ou le mur.

- James. James mon amour calme toi. Je lui demande pour attirer son attention.

Mission réussi. Il tourne immédiatement son regard vers moi.

C'est officiel, je viens de signer mon arrêt de mort !