La femme

3.3K 263 2
                                    

Shanti était issus d'une famille de commerçants au sud du Rajasthan.
C'était une famille qui opposait celle de Johal.
La famille de Shanti etait tres ouverte d'esprit. Tout les fils étaient aller faire leurs etudes à l'étrangers, les filles àussi d'ailleurs. Mais Shanti avait refusé. 


" j'étais une fille très Bollywoodisé" m'avait-elle dit." J'ai loupé toutes les opportunités d' avoir une vie différente et d'être plus instruite, je rêvais d'un mariage de princesse, je voulait me marier le plus vite possible, mais mes frères le refusaient, mon grand frère m'avait envoyé en Angleterre chez des cousins, j'y suis rester une semaine, je voulais même pas y aller. Je pleurais tout les jours, je refusais de manger, j'étais triste et distante, chaque fois que les parents appelaient je disait que j'allais me suicider et que la prochaine fois que ils allaient me voir serait dans un cercueil.


Moi, Je préférais rester à la maison avec ma mère, apprendre les repas à faire le ménage, je suivais des cours de danse traditionnelle...
Quand je suis rentrer j'ai eu la nouvelle que on m'avait enfin fiancé.
Personne était vraiment d'accord.
Quand j'ai vu jahal le jour de la présentation j'étais ravi, je l'ai trouver si beau, j'étais deja amoureuse, mais en y repensant, je me rend compte combien il a été froid avec moi, on pouvais voir la froideur dans son regard, la méchanceté et toutes autres sortes de malices que il me réservait.


J'ai gâcher ma vie, on pensait que j'allais être heureuse, tout le monde le croyais, mais... Je crois que Jahal m'a choisi en voyant ma naïveté.
Le jour des noces fut atroce, le pire jour de ma vie, je n'avais que 17 ans tu sais, je pensais que, j'allais vivre un compte de fées, mais peine la porte de la chambre fermer que j'ai senti un changement, il etait intimidant, seul avec lui dans une pièce je me suis rendu compte que je n'avais que 17 ans et lui 10 ans de plus que moi.
Il me dominait en taille, en corpulence en tout, il ne souriais pas, son regard était froid. Il posa son épée et commença à enlever son turbans et autres bijoux en silence .
- déshabille toi! M'ordonna-t-il.


J'avais bien compris que il me demandait de me mettre nue devant lui, mais vu que ce n'étais pas du tout quelque chose que je m'attendais, alors je suis rester figé, et je ne comprenais pas, car ce n'étais pas ça que il etait supposé dire, faire et agir. J'étais gêner et je me suis rendu compte que j'avais idéaliser ce mariage et cet homme que je ne connaissait pas.
- Je n'aime pas répéter les choses...


Dit-il sans prendre la peine de me regarder. Apres un moment d'hésitation j'ai commencer à ôter mes bijoux.
- pas les bijoux! Siffla-T-il avec un regard perçant.
J'ai donc commencer à enlever avec difficulté mon sari, il me dévisageait j'étais terrifié, je tremblais et il aimais ça.


Quand je n'avais plus que ma jupe transparente, je me cachais les seins, on est rester comme ça pendant de longues minutes, c'était interminable, c'était le début de l'humiliation, de son processus pour que je me soumette à lui, c'était horrible, il était horrible. J'avais aucune idée de ce qui allait se passer quand il se dirigeait vers moi, j'étais très ignorante de la vie de couple, ma mere ne m'avait rien dit, rien expliquer. Il me pris les mains et les enleva brutalement de la ma poitrine, je retenait déjà mes larmes, je n'arrivais plus à cacher mes tremblement, je claquait des dents comme si il faisait -20, mais je transpirait de peur, de stresse, mes lèvres tremblaient, mes yeux étaient rengorgés de larmes, en même temps je ne comprenais pas pourquoi le fait d'être à découvert devant lui me mettais dans de telles états, mais il était intimidant, il voulait que j'ai peur.

Il déchira ma jupe, alors la, j'ai crier, j'ai essayer de me débattre, mais il était plus fort. Il me pris par les cheveux et me traîna jusqu'au lit.
Ce fut la nuit plus longue de ma vie, j'ai vécu un vrai enfer, interminable. J'ai pleurer, j'ai crier et à la fin je n'étais même plus la je crois, mon corps ressentait tellement de douleur en même temps que mon cerveau ne savait pas quoi faire.

Sani: prisonnière dans un mariage forcéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant