Chapitre:11

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   Les policiers se dépêchèrent après avoir localiser l'appel, et prirent l'hélicoptère. Une fois arrivé sur les lieux,il traversèrent le village et encerclèrent la maison ou devaient se trouver le père et la fille recherché. Quand ils enfoncèrent la porte, ils ne trouvèrent personne à l'intérieur. Ils interrogèrent des voisins, firent des recherches, pas assez pour retrouver les deux fugitifs, mais assez pour retrouver un cadavre avec la moitié du visage dévorée, ils étaient sûr qu'ils étaient passé par là,mais à présent, ils étaient partit, retour à la case départ.


   Je me réveillais doucement, j'étais debout contre je ne sais quoi, j'essayais de bouger, mais mes bras étaient emprisonner dans mon pull. Je ne pouvais pas me lever, quelques chose me gênait sur la partie inférieur à mes yeux, j'essayais de voir la chose qui me gênait. On m'avait placé le même masque qu'à Hannibal, et je devais avoir la même camisole qu'il avait au procès. J'étais dans une pièce semblable à celle du centre de détention psychiatrique ou se trouvait Hannibal, seulement cette cellule était vide, ni lit, ni toilettes, rien, seulement une caméra qui était dans l'angle du plafond. Je ne sais combien de temps je restais ainsi, peut-être deux heures, quand quelqu'un entra dans la pièce avec un plateau sur lequel était disposé un bol et un verre.Il mit une paille dans le bol et me le tendis :

« O-Ou suis-je ?, essayais-je d'articuler, ce qui était presque impossible avec ce masque. »

L'homme ne répondit rien, et se contenta de me nourrir avec une soupe et de me faire boire un verre d'eau. Je me retrouvais seule, quelques heures passèrent, et je commençais à gigoter carme faire boire pour me nourrir me donnait une envie pressante. Quelques minutes, peut-être une heure, passa quand le même homme entra et se plaça derrière moi, la choses contre laquelle j'étais attachée avait des roulettes, il me sortit de ma cellule et m'emmena dans un couloir qui paraissait sans fin, il n'y avait rien dans ce couloir, aucune autre cellule, à par une à l'autre bout de l'allée ou se trouvait mon père, il était dans la même position que moi,quand il me vit, il me lança un regard, je hochais la tête pour lui faire comprendre que ça allait avant qu'il ne soit hors de mon champ de vision. Quand nous fûmes arrivé devant une porte, l'homme me prévint :

« Je vais te détacher les bras et te mettre des menottes pour que tu puisse te débrouiller seule, si jamais tu tentes quelque chose, je te laisserais te pisser dessus dans ta cellule,est-ce que c'est clair ?

- Qui êtes vous ?, demandais-je le plus clairement possible.

- Est-ce que vous avez compris ce que je vous ai dit?!

- Oui. »

Il me détacha sans dire un mot, puis resta devant moi,me bloquant l'accès du couloir, je me retournais et entrais dans la pièce. Dès que je ressortie, il me remit la camisole et me ramena dans ma cellule.


   Des jours passèrent ainsi, le temps passait lentement,je n'en avait aucune notion, je ne savais pas quand il faisait nuit,quand il faisait jour, quel jour nous étions, quel mois. J'étais dans une toute autre dimension. Un jour, l'homme entra dans la cellule et me poussa dans le sens inverse du couloir, nous prîmes un ascenseur, bien sûr, l'homme ne me répondait pas quand je lui demandais ou est-ce que nous allions.

Une fois arrivé au douzième étage, on me fit attendre dans un bureau, l'homme me surveillant toujours. Un homme entra et s'exclama :

« Vous êtes sérieux ? Ce n'est qu'une enfant, des menottes auraient suffit.

- Je n'ai fais que suivre les ordres, se défendit mon gardien.

- Les ordres c'est moi qui les donnes, retirer lui tout ceci et menotter là. »

La fille du cannibale.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant