Chapitre 4 : Emma - La rencontre.

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Donc pour commencer, on dit merci à Dreamingueuse, qui n'avait pas les yeux en face des trous comme on dit, et qui a publié le chapitre d'après sans avoir publié celui-ci !  
Bravo et merci à toi,
CORDIALEMENT.
PS : Du coup comme moi je suis bien réveillée, voici le bon chapitre, et toutes nos excuses à ceux et celles qui ont lu celui d'après. Bonne lecture !

Je m'excuse infiniment, mais à la base, si LIntemporelle avait publié le chapitre en temps et en heures il n'y aurait pas eu de problème... Et dire qu'on est censée être amies... Bimmmmmmmm!!!!! Non je déconne bref je m'excuse encore mais de toute façon pour celles et ceux qui ont lu l'autre partie elle ne devrait pas tarder à arriver, enfin si LIntemporelle y pense et ça c'est pas gagné....
On espère que ce chapitre vous plaiera.
DreamLIntemporelle

Tu laves ton linge sale en public, Dreamingueuse. C'est pas beau du tout du tout...
LIntemporelle.

Hum hum t'aurais pas confondu avec toi par hasard.
-Dreamingueuse

Je ne sais pas comment m'y prendre. Est ce que je joue la méchante ? La femme fatale ? La blondinette apeurée ? L'avocate sûre d'elle ?

J'ouvre le dossier et relis la première ligne que je connais par coeur.

Matthew Cassy, 26 ans, purge sa peine à Washington.

J'énonce :

- Matthew Cassy, 26 ans, purge sa peine à Washington.

Il hoche la tête, l'air pensif, et dit :

- Et vous, c'est quoi votre petit prénom ?

- Ne répondez pas ! Aboie le policier, sur le côté.

Cassy le toise du regard. Pour ma part, je lance un regard en coin à celui qui aboie comme un chien. Mais où a-t-il donc appris la politesse ? Mon attention se reporte sur Cassy, qui je crois déchiffre le dossier à l'envers. Je lui réponds tout de même :

- Je crois que je ne suis pas autorisée à vous le dire.

Ses yeux d'un bleu profond se relèvent vers mon visage et je crois apercevoir une lueur de tristesse, comme un enfant à qui on refuse tout, tout le temps, avant qu'il ne détourne le regard en s'appuyant sur le dossier de sa chaise, les bras croisés, la mâchoire serrée.

- Vous êtes accusé de meurtre, viol, et enfin une plainte a été déposée, selon laquelle vous porteriez coups et blessures sur votre ex-petite-amie.

Il décroise ses bras musculeux de sa poitrine tout aussi musclée, et se penche vers la table, en parlant bas :

- Je plaide coupable, Maître Riley.

Je m'avance moi aussi près de la table, et lui dit sur le même ton :

- Vous n'êtes pas coupable, Cassy.

Il scrute mon visage avec curiosité.

- Reculez ! Aboie encore un des policiers.

Je me lève brusquement de ma chaise, la fait par la même occasion tomber par terre. Je suis plutôt mal à l'aise d'avoir réagit comme ça. Ça ne me ressemble pas. Mais en même temps, l'officier de police me gêne dans mon travail. Je prends mon courage à deux mains et lance d'une voix posée en lissant doucement ma jupe :

L'avocate Et Le Badboy Où les histoires vivent. Découvrez maintenant