Chapitre thirteen

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  Bismillah

« Du sérieux »

Ce matin je me lève, dans les alentours de 10h.. Je commence les cours à 12h30, mais je n'irais pas aujourd'hui. Une habitude du vendredi quoi, mais ce vendredi est spéciale. Je me lève doucement, histoire de pas tomber avec mon plâtre, parce que oui, j'ai déjà vécu sa, aha. La galère pour se relever hein.. Hessoul, je me lave comme je peut. (Le sac plastique sur la jambe vous connaissez, où sur le bras ahah). Je m'habille, appelle une amie de mon école de commerce, sort de chez moi, et je l'attend. Arriver, elle ouvre la porte de sa voiture, m'aide a rentrer dedans et m'emmène en direction du rendez-vous. Le rendez-vous que j'attends depuis longtemps.. un mois jours pour jours aha. Vous voulez savoir où je vais hein ? A l'hôpital. Je vais enfin être libre, et pouvoir marcher tranquillement ! Non mais franchement je pouvais rien faire, sa me démoraliser de ne pas pouvoir conduire où autre.. Arriver à l'hôpital, le docteur me prend en charge, m'emmène dans la salle, sort sont engin bizarre là pour couper le plâtre, après avoir terminer, enfin mon premier sans se plâtre de merde !

Hessoul, mon amie me dépose chez moi, je rentre faire une douche vite fais. Je prend un papier, écrit dessus un petit mot à ma mère, le dépose sur la table, de façon visible. Prend mes clefs de voiture, et sort, je me dépêche d'aller à ma voiture, envois un message a mon amoureux, en lui disant que j'arrive, et qu'il m'attende en dessous du bâtiment, comme ont se l'était dit. Il me répond positivement. Je roule, un peut vite a mon goût, mais il faut que je le vois. Il faut que je le prenne dans mes bras, que je lui fasse un bisous. Malgré cette absence que nous avons eu.

Arriver a destination, je me gare enfin dans ce parking, ce fameux parking. Ce parking où tout à commencer. Ce parking où nous nous sommes échanger nos premiers mots, pas aimable, certes, mais nos premiers mots, notre première conversation.

Je commence a marcher vers l'endroit attendu. Je le vois, toujours beau, comme avant, rien n'a changer. Aymene est en face de moi, et aujourd'hui je vais revoir Kassim. Aymene avait tout prévu. Il fallait que j'aide Kassim a allait mieux, et surtout, il fallait que je le vois. Alors bon.

Je tchèque les mecs du bâtiment, toujours la même place, toujours les même têtes. Je commence a monter les escaliers avec une boule au ventre, et si il ne voulait pas me voir, peut-être m'a t-il oublier ? Qui sais ? Aymene se stoppe devant la porte, me regarde, me fait un bisous sur le front, et ouvre la porte. Arriver a l'intérieure, je fait un gros câlins à Inaya, mon père et ma belle-mère. Hatem travaille, et n'est pas ici. Mehlish, je le verrais plus tard. Je les questionnent sur Kassim, ils me répondent qu'il dort, bon et bien, je vais aller le réveiller..

Je m'approche de sa chambre, toujours la boule au ventre.. J'ouvre sa porte et le regarde.. Effectivement il dort, il dort comme un bébé. Il est tellement mignon.

Je me décide de me coucher à côté de lui, et le réveille.

Moi – Kassim.. Kassim réveille toi omri.

Kassim – Laissez-moi wsh

Moi – Kassim ! Allez, tu va pas dire bonjour à ta Elya chérie ?

Kassim – Zeubi laissez-moi, quoi Elya, Elya elle est pas la mtn,

Moi – T'es chiant Kassim ! J'suis là !

Kassim – Jusqu'à je l'entend parler, sa lui suffisais pas d'venir juste dans mes rêves la conne

Moi – KASSIM PUTAIN REVEILLE TOI FRERE !

Kassim sursaute et me regarde dans les yeux. Oui, je suis là, connard !

Kassim – Elya ?! Dites moi que je rêve pas ? Zebi c'est bien toi ?

Moi – Bha oui, putain, quatre ans pour te réveiller !

Kassim – Waaaaaaaaaaaa !

Il me prend dans ses bras et me fait tomber sur lui, qu'est-ce qu'il m'avait manquer quand même ! C'est ouf. Je le serre aussi, et me couche a côté.

Kassim – Tu m'avais manquer connasse

Moi – Tu m'avais manquer aussi connard

Kassim – Mddddr, j'suis grave ferhana que tu sois là, tu rentre quand ?

Moi – J'viens d'arriver, il me parle de départ le gars ahah. Je rentre dimanche soir. Je suis pas partit en cours aujourd'hui, un week-end prolongé quoi.

Kassim – Hella ! On va bien s'amuser alors.

Moi – J'espère, parce que chez moi je m'ennuie grave sans vos conneries !

Kassim – Ouais je sais, tout le monde me le dit sa..

Moi – Pfff, pas drôle.

Kassim – mddddr, y'a qu'avec toi que je peut dire de la merde comme sa

Moi – Encore heureux, y'aurais eu trop de suicide sinon !

Kassim – FTG.

Moi – Allez, habille toi, on sort en ville

Kassim – J'aime pas sortir en ville

Moi – Alleeeeeez

Kassim – Sort et j'm'habille

Moi – A toute suite !

Kassim – Au fait, t'a plus ton plâtre ?

Moi – Je l'est enlever aujourd'hui, juste avant de venir.

Kassim – T'es venue comment ?!

Moi – En voiture, pourquoi ?

Kassim – Imagine t'aurais eu un bug de la jambe, t'aurais pas pus appuyer sur le frein, tu te serais pris le mur où une autre voiture ?!

Moi – Mddddr, tranquillou, en plus je me suis déjà pris un mur en voiture..

Kassim – Ouais mais moi c'était contrôler !

Moi – Allez, dépêche !

Kassim – Tchip, sort !

Je sort, en rigolant, et va rejoindre Aymene, il me sourie et se ré-concentre sur son téléphone. Hessoul, 20 minutes plus tard Kassim se décide enfin de venir, ont descend, on commence a aller vers le centre-ville. Arriver a un magasins de fringues, Kassim ne veut pas rentrer, mais je l'oblige, ont rentre, on s'amuse, on se fait virer. Ont rentre dans un autre magasin, ont choisis des habits, ont va dans les cabines d'essayages, ont fais les fous, comme toujours quoi. Après avoirs fait le pleins de vêtements, on se décide de manger kebab. Arrive sur place ont commandes, ont mange, on parle. Il me répète que je lui est manquer. Je lui répète que moi aussi. Franchement, je suis grave heureuse de l'avoir revu, même si ce n'est que pour un week-end. Je ne veut même pas penser a mon retour.. Après ont se décide de bouger, ont s'arrête dans un parc, et on commence a parler.

Moi – Pourquoi tu ne m'a pas envoyer de messages ?

Kassim – Je.. je sais pas.

Moi – Tu sais pas ? J'ai passer combien d'temps a pleurer pour ta gueule alors que tu sais pas pourquoi tu m'a pas envoyer un putain de message, tu te fou de ma gueule là Kassim ?

Il baisse la tête.

Moi – Je penser qu'on pouvait au moins se parler après mon départ, alors tout ce que tu m'avait dit était faux ?

Kassim – Non c'est vrai.. mais..

Moi – Mais quoi ?!

Kassim – Mais, je me suis ranger, je pense trouver un taff bientôt, et avec Esra c'est du sérieux.

Et, avec Esra c'est du sérieux, du sérieux, du sérieux.  

Salam Aleykoum

Pourquoi il a fallut que tu sois mon demi frère? [Réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant