~Partie 57~

8.2K 596 49
                                    

~~~Partie 57~~~

***Dans la peau d'Inès***

Il est la en face de moi. Il avance doucement, mais a quoi il joue. S'il veut me faire peur, il a réussi. D'un coté depuis que je suis ici j'ai les chocoque, et meme avant. Mais là soit il avance doucementpour ne pas me faire peur, ou si justement il prend un malin plaisir a me voir effrayé, prete a me faire pipi dessus.

Moi : ARRETE TOI !!!

A ma plus grande supprise, il s'arrete. Il se fou de moi, c'est une blague. Imaginez sa possition. D'abord je ne le vois pas, je n'ai qu'une hombre devant moi, ensuite, comme il avancait doucement en mode « je suis une grue » ou «  je suis une jolie libélule », donc les bras écarté en équilibre sur une jambes. Tu vois le delire, comme toi petit lecteur quand tu descends la nuit pour aller manger, mais que le parquette (ou pour moi les escaliers) font du bruit.

Moi : Je vous préviens, je sais me battre.

Je me suis directement levé en mode attaque. En vrai je sais pas trop me battre, appart balancer mes poings je ne sais rien faire d'autre. Ah non, jai oublié, je sais aussi mettre des coups de pieds bien placé.
Je crois qu'il ne me croit pas, parce que juste après ca, je l'ai entendu rigoler, mais un rire étouffé. Oué vasy fait le malin tu vas moins rigoler quand tu pourras plus avoir d'enfant. Il se redresse, et reste debout comme un piqué. Cette enfoiré continue d'avancer. Il veut quoi lui ?? du pain c'est pas possible putain !!! plus il avance plus je m'éloigne. Je n'étais plus sous la lumiere aveuglante de cette salle immonde. Mais lui était a la limite... encore un pas et ... JE LUI FRACASSE LA GUEULE DIRECT ! RIEN A FOUTRE !!!

Moi : ENCORE UN PAS ET JE T'ECLATE ! NE ME SOUS ESTIME PAS !!

Je pouvais voir ces pieds, il avait de belle chaussures au passage. Mais ca ne pouvais pas etre Karim. Sofian ? non il met que des baskets ce traitre, et pourquoi est ce qu'il viendrait ici.et là je vois le gas au calme, il commence a avancer. Et moi quest ce que j'ai fait a votre avis ? thugconne que je suis, j'ai avancé vers lui. Non mais serieux au calme, je sais pas ce qui s'est passé dans ma tete a se moment, mais je pense que je ne tiens plus a la vie. En temps normal, une fille normal, je dis bien normal, sans probleme spycholigique comme moi. Qu'est ce qu'elle aurait fait ? elle aurait pris ces jambes a sont coup biensur, et elle se serait mise a crier « NON NE ME TUEZ PAS !! JE VEUX VIVRE !! J' AI UNE FAMILLE A NOURIRE !! ».

Ok je vais trop loin la, le suspense a assez duré. Revenons a nos brebis galeuses.

Le gas savance donc a la lumiere, et moi aussi par la mme occassion. Lui !!! c'est vraiment la derniere personne que je m'attends a voir ici.

Moi : Toi !! Qu'est-ce que tu fais là ?

... : Calme toi, arrete de crier déjà on va se faire grillé.

Moi : M'en balle les poingnets d'amour mais a un level inimaginable tu peux pas savoir. Je prefere limite voir Karim débarquer, que de voir ta sale gueule d'ange possédé par le shetan !!

... : Putain Inès arréte on a pas le temps a debattre la, il faut de barrer.

Moi : Mais tes qui au juste ?? j'ai pas confiance en toi. J'ai confiance en personne ici pourquoi j'aurais confiance en toi. On ne sait jamais vraiment qui est ce qu'on a en face de nous. Déjà la photo ensuite chez Elisabeth. Tu m'inspires vraiment pas confiance Djibril. Oh mais attend, j'suis meme pas sure que tu t'appelles vraiment comme sa, apres tout c'est peut-être pas ton vrai non. T'es peut etre même pas docteur.

Woaw, ca devais sortir. Je crois que jaurais plus exploser a tout moment. Mais c'est maintenant que ca sors. Et heureusement parce que j'aurais pas voulu que se soir Karim en face de moi.

Djibril : Tu ne sais pas tout, je t'expliquerais tout plus tard mais là on n'a pas le temps.

Moi : Peut-être que toi t'as pas le temps, mais moi je ne suis plus a une seconde prés. J'ai tout perdu, qu'est ce qu'il me reste maintenant ?

Après avoir dit sa, je me suis assis au sol en tailleur, les bras croisés devant moi.
Lui ? il souffe et s'assois a son tour en face de moi.

Djibril : Arrete de dire n'importe quoi. Qu'est ce que t'as perdu ? T'as une mère, qui t'attends quand tu rentres en fin de journée, t'as des frères qui se tues a te retrouver.

Moi : J'ai perdu Sofian pour de bon, jsuis trop mauvaise. Je lui ai dit que je l'attendrais, mais je ne savais pas que la dispute que j'ai eu avec lui avant son depart le ferait prendre la route de Karim jusqu'à s'associer avec lui.

Djibril : C'est bien ce que je dis tu dis vraiment n'importe quoi.

Moi : Mais qu'est-ce que tu racontes ? tu sais rien, tu viens a peine d'arriver et t'es là a te la ramener avec t'as science infuse ! tu veux que j'ai confiance en toi ? lol big lol meme. Je t'ai entendu avec son associer dans la chambre chez Elisa !!

Il me laisse même pas le temps de me defouler une fois encore qu'il me coupe.

Djibril : C'était Sofian.

Moi : ...

Sur le c*, oui j'étais littéralement sur l'arriere train.

Moi : Qu... quoi !!???

Djibril : C'était lui

Moi : Sa t'arrive souvent de prendre les gens pour des sacs de pomme de terres que tu vas vendre sur le marché. « j'vais venir la prendre » lol  L(°O°)L

Djibril : Ok, si je t'explique vite fait, tu me promets de te bouger pour que je te sorte d'ici ?

Moi : Je sais pas. On verra ce que tu vas me raconter comme histoire.

Djibril : C'est pas des histoires, c'est la vérité.

Moi : Vas-y vas-y commence.

Djibril : D'abord a la base je m'appelle bien Djibril, c'est juste que j'ai changé de prénom apres ma sorti de l'orphelinat.

Moi : Toi aussi tu...

Djibril : Attends, laisse moi finir. J'était dans un orphelinat, comme toi, mais je m'appellé gabriel. Mais biensur tu ne te souviens pas de moi. J'étais avec toi. Je savais tout sur toi, comme tout les enfant labas. T'étais le vilain petit canard. Le jour où tu t'es enfui personne ne savais que c'était toi, pas même moi, alors que javais entendu la directrices dire qu'elle voulait t'envoyer en maison de redressement. De la j'ai taffé comme un fou pour pouvoir sortir de cette prison et ... venir te chercher apres.

Apres ca il amarqué une pause. J'etais choqué parce qu'il était entrain de raconter, je ne savais pas quoi dire. Je savais qu'il n'avait pas fini de parler, mais j'étais tellement sous le choque que je ne savais pas quoi dire. Puis il a repris son recit.

Djibril : Mais quand je suis revenu, tu n'etais plus là. J'ai d'abord pensé que tu avais été adopté, mais je me suis souvenu de la discussion de la directrice. J'ai commencé a te cherher partout mais tu n'étais nulpart. Tu n'étais jamais passé par la casse de maison de redressement. Il n'y avait aucun dossier. Alors je suis repartie chercher dans les dossier d'adoption, mais toujours rien. Alors j'ai fini par abandonner, même si j'aimais pas cette idées. Puis j'ai commencé a travailler, j'étais tellement démotivé que je m'acharné au travaille, je ne pensé a rien a part a travailler. Et un jour je t'ai vue. T'étais dans le coma, mais bien entouré, surtout Sofian qui te lâchait pas, il venait tout le temps. Ensuite j'ai parlé avec Soufiane, je lui ai tout raconté. A ce moment je ne pensais qu'a moi, je voulais que tu vienne avec moi. Mais il m'a fait comprendre que t'avais une famille maintenant et que tavais pas besoin de moi. Mais j'ai rien voulu savoir, j'ai cherché où tu habitais, limite je te suivais a la trace. Quand j'ai su que ton appartement était en vente, j'ai sauté sur l'occassion, et j'ai ouvert un cabinet.
Et un jour, je recois un appel. C'était Sofian, on l'avais mis au courant que quelqu'un te tourné autour mdr. Même après avoir parlé a Soufiane, il avait pas confiance en moi, et il a toujours pas confiance en moi, mais je le comprend.

Moi : Attends, jsuis desolé mais la c'est trop je dois parler. C'est pour ca qu'il voulait venir me chercher, il t'aime pas. Mais t'es un vrai malade en vrai. Pourquoi tu me l'as jamais dit, t'aurais du venir me voir, me parler.

Djibril : Pourquoi faire. T'avais déjà tout ce qu'il te fallais, je voulais juste devenir une mayon de la chaine a laquelle tu pouvais t'attacher.

Moi : Pourquoi tu as voulu faire tout ca pour moi ? Je veux dire, on ne sait jamais parlé, tu ne me connaissais meme pas. Alors je t'avoues que je trouve sa tres bizarre que tu decides de tout faire pour mettre les chances de ton cotés pour me sortir de l'orphelinat. Je te faisais pitié a ce point ??

Djibril : Non, c'est juste... je sais pas. T'es devenu ma motivation, tu m'as donné un bute. Chose qu'on avait pas labas. T'es devenu ma raison de me battre.

Est-ce qu'il venait de me declarer sa flamme là ?? nnooonnnnn calme mon amie.

Moi : Tu... enfin... est ce que je t'interesses ?

Il rigole et baisse la tete.

Djibril : Oui, mais on m'a doublé.

Moi : Hein ?? Explique, pk tu vas pas jusqu'au bout.

Djibril : Laisse tombé c'est pas le plus important pour l'instant, sache juste que je vais pas te sauter dessus mdrrr. Aller maintenant debout.

Il se léve et vient vers moi en me tendnat la main, mais javais encore une question.

Moi : Juste une chose, pourquoi Sofian voulait venir me chercher chez Elisa ?

Djibril : Il voulait pas me laisser avec toi. Je te l'ai dit il a pas confiance en moii, même ci ton frere lui a parlé, il voulait rien entendre.

Moi : Alors qu'est ce qu'il fait avec Karim hein, il a tout manigancé pour me ramener a karim !!

Djibril : Mais non arrete !! il est venu te chercher avant tout le monde, meme si on lui as dit que c'était dangereux, il a foncé. Je l'ai entendu en venant ici. Karim la enfermé dans une salle. Il lui a fait du chantage c'est sure, jamais il t'aurais abandonné, il a toujours pris soins de toi, même quand il était pas là. Maintenant c'est bon on y va.

Il m'attrape par le bras et se dirige vers la porte. Il l'ouvre doucement, passe la tête et me tire. C'est partie. Enfaite on est dans une maison tout à fait normal. Mais est ce que c'est une vrai maison. Parce que les reproductions chelou c'est bon, j'ai assez donné. Mais apparement non, je peux voir l'extérieur par les fenêtres. Y'a pas un bruit. On traverse un couloir, avec des photos de famille accroché au murs. En bas des escaliers, nous tombons face à la porte d'entrée, c'est bon c'est fini. À notre droite il y avait un salon ouvert sur l'entrée. C'était beau normal, mais sa manqué de vivant.

Djibril : C'est normal que se soit mort. On est dans une ville fantôme ici, complètement abandonné. 

Moi : C'est facile de si cacher quand on a pas de voisin.

Il met sa main sur la poignet de porte et se retourne vers moi.

Moi : Quoi? Qu'est ce qu'il y a?

Et là il m'a sourit comme jamais. Un beau sourire de toutes ces dents blanches et alignés. Magnifique. Calme retour sur terre.

Il ouvre la porte et nous sortons en referment derrière nous. Il a commencé à courir en me tirant, jusqu'à une rue où se trouvait une voiture.

Une fois à l'intérieur. Je ne me sens pas bien. Normalement je devrait me sentir libre et heureusement. Mais la non, y'avait quelque chose qui n'allait pas.

Moi : SOFIAN!! Il faut aller le chercher!!! J'y retourne!

Djibril : Non arrête ton délire t'es pas bien où quoi!! On attends les autres ils iront le chercher.

Moi : Si Karim de rend compte que je ne suis plus là, il va s'en prendre à lui! Ne me retiens pas j'y vais c'est tout.

Djibril : C'EST BON! J'y vais putain!

Il est direct sorti de la voiture et a couru en direction de la maison. Au meme moment, une vague de voiture arrivent en face de moi. Et direct penser au complot la vie de moi pk il se passe tout le temps des trucs bizarre quand Jsuis là. Obligé c'est les amis de Karim. Ils descendent des voitures tous cagoulé et habillé en noir .......................................................................................................................................

Je ne me suis pas relus désolé
Dit moi si c'est nécessaire.

Ines, le fantôme noir de la citéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant