CHAPITRE TRENTE SIXIÈME.

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Maintenant, il hurle à la mort.

- As-tu oublie de quoi je suis capable ? Dis-je tandis qu'il me répond négativement. Je pense que tu as oublier. J'ajoute froidement alors que d'un coup sec je lui tranche le doigt.

- Écoute. Chouine t'il alors. Tu n'es pas obligé de faire tout ça... ce n'est pas moi, tu le sais. Reste à distance et ça évitera ce genre de mal entendu Thémis. Ose il ajouter.

Le seul mal entendu c'est le fait que j'ai pu laisser un attardé comme lui en vie.

On ne touche pas à ceux que j'aime.

Subitement son téléphone retentit, je fouille dans sa poche attrapant ce dernier quand j'aperçois le nom de son boss. Je lui colle le téléphone à l'oreille.

" PARLE" ordonnais- je

- Monsieur ?

- Il est mort ? C'est fait ?

- Euumh... comment dire. Il rit. J'ai un petit contre temps.

- Quel contre temps tu te fou de ma gueule ?

- Non, jamais je n'oserais.

- NON ? Alors qui est cette fille ? Hurle t'il. Pourquoi est ce que ce con me dit que tu as fais une connerie ?

Peut être parce que c'est le cas ?

- Je ... je suis désolé. Dit-il difficilement. Je n'ai fais que réaliser votre ordre. Vous ramenez la dernière femme dont il a été proche et qu'il a baisé pour l'appâter. Je ne connaissait en rien son identité.

Dernière fille avec qui j'ai baisé ?

Je ne l'ai à peine toucher.

En un clique, je lui transmet la photo de Gemma dans un piteux état.

- ESPÈCE DE SALIGO T'AS BAISÉ MA FILLE ? Me crache t'il à travers l'appareil.

- Non. Dis je en raccrochant.

Je me chargerais de son cas plus tard.

- Tu reste toujours autant inutile. Dis je d'un air empathique. Tellement inutile que, je vais te laisser pourrir ici.

J'aperçois une sorte de garde manger ouvert. Sans issus. Je l'y jette alors qu'il se vide de son sang. Verrouille la porte.

Je m'empresse d'aller chercher Gemma, sous les cris répétitif de ce bon à rien. « Sors moi de là !!».

Je l'installe dans la voiture avant d'accourir vers la pièce où je l'ai enfermé y déversant un litre d'huile.

J'en ressors, balançant mon briquet dans la maison qui rapidement s'enflamme.






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Traversant la ville à toute allure, je ne prête aucune attention ne serait ce qu'une seconde, aux stops ou aux feux.                                                                                                                      La vérité c'est qu'une douleur atroce envahit ma poitrine.

Toute les deux secondes, je lui jette des regards furtifs et je ne sais pas si ce n'est qu'une impression ou non mais j'ai l'impression que son état ne va qu'en s'empirant.          

Désormais son corps n'est que sujet d'apparition cutané étrange. Je m'aperçois que des plaques rouge criblent maintenant en premier lieu son jolie visage de poupée mais également son cou.

La manière dont elle sue est similaire à une personne qui sort d'un saunat. Elle a des hallucinations et parle même toute seule.

Je jongle entre la concentration sur ce qu'elle murmure du bout de ses lèvres et la route.

Nous arrivons à la maison, je descends de la voiture. Passant une main derrière son cou que je sens brûlant et l'autre en dessous de ses jambes. Les portes du manoirs s'ouvres à moi quand je tombe face à Becca vêtu d'une petite nuisette, je la balaie du regard.

Elle cherche à ce que j'en devienne mauvais avec elle.

À quoi est ce qu'elle joue bordel.

Je dévale les escaliers, accédant au sous sol, j'entre dans une salle dédié aux interventions médicale.

Quelque temps plutôt, j'avais pris l'initiative d'appeler mon médecin privé qui finalement arrivera d'une minute à l'autre.
J'ai pour habitude de l'appeler seulement lui pour me venir en aide quand les blessures sont graves. Pour ne pas que les hôpitaux, forces de l'ordres et toute les merdes qui s'en suivent ne rappliques.




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- Vous avez un bon œil Monsieur Falcon-

- Abrège Pasquez. Dis je froidement après m'être gratter le crâne.

- Écoutez, la dose de Fentanyl que votre...

- Madame Montserrat. Je l'aide.

- Oui euh... Que Madame Montserrat à du consommer est supérieur.. Est ce qu'elle se drogue ?

- Et depuis quand est ce que tu me pose des question toi hein ? Dis je, empoignant sa gorge.

- Non, non Monsieur, écoutez je lui ai administrer du Naloxone. Elle ne va pas tarder à se réveiller. Très prochainement les plaques s'apaiseront aussi et je vous conseillerais de la garder en observation près de vous. Dit il d'un ton aristocrate. Pour être plus vigilant face à sa respiration correctement.

Il se lève, attrape ses affaires:

- Je ne sais pas combien de temps elle s'est retrouvé dans cet état mais vous qui pensiez également au polonium, sachez qu'elle aurait d'autant plus pu mourir avec la dose de Fentanyl que contient son sang. Il n'aurait fallut que quelque heure, voire quelque minute de plus. Mais visiblement la chance était avec vous. Dit-il en me lâchant un sourire en coins et en sortant de la pièce.



Tôt dans la matinée ( 7h)


Installer dans le fauteuil près de son lit, j'ai passer une grande partie du restant de la nuit à regarder la constance de sa respiration.

À son réveil, elle n'a pas daigner placer un mot. Je lui ai apporter de quoi se nourrir, elle a manger mais très vite après, elle s'est enfoncé aussi silencieuse qu'une tombe dans ses draps. Se logeant dos à moi.
Ce matin, je suis surpris dans un moment de somnolence quand j'ai entendu l'eau de la douche flotter contre le sol.

Constatant qu'elle a visiblement récupérer assez de force pour se lever seule.
Je m'approche de la porte et cogne avec hésitation.

Elle ne dit rien, seulement elle coupe l'eau de la douche comme pour chercher à entendre ce que j'avais à lui dire.

- Tu vas mieux. Dis-je

Aucune réponse

- Écoute, nous parlerons plus tard si tu veux..
Seulement, repose toi aujourd'hui. J'ai organisée une réception... avec- Je m'arrête persuader de l'inutilité de la suite de ma phrase.

Ce que j'aurais du faire depuis bien longtemps.
J'entends qu'elle tousotte telle un étouffement.

- Puisque c'est ce qu'ils veulent. Donnons leur. J'ajoute avant de quitter la pièce.

In Between [ EN CORRECTION] Where stories live. Discover now