WANNA BE YOURS : [ Le Trésor de Vladimir Kovalevski ]

Chapitre 8

J'ai enfilé un jogging et t-shirt gris, j'avais pris mon PC pour lire les e-mails quand je remarquais celui d'Anton parmi les autres, j'ouvris l'e-mail et vis un nom qui me disait quelques choses. J'avais vite fait le lien entre les deux, l'ancien garde du corps de jasmine était un militaire qui s'occupait de sa fille , une fille qui n'avait pas existé avant la disparition de jasmine c'est un père célibataire . Le comble dans tout ça c'est que sa fille avait resurgit de nulle part après deux ans à la même année du réveil de jasmine, tout était clair comme de l'eau jasmine Sidiki et Athéna Adams sont une seule et même personne.

J'étais sortie de ma chambre de pas furieux je l'avais vu à deux reprises sans savoir que c'était elle, j'avais laissé quand l'humilie devant nos yeux, j'avais laissé Angelo toucher à ce qui m'appartient. Je descendais les escaliers prêt à en découdre avec cette histoire, j'avais franchi le seuil de la villa pour aller la retrouver .

J'étais dans la voiture en regardant le GPS pour m'indiquer la voix à suivre, j'avais demandé aux hommes en charge de la surveiller de m'envoyer l'adresse de son hôtel et le numéro de sa chambre. J'étais devant un hôtel simple, je stationné la voiture dans le parking et sort heureusement que j'avais un style simple, je pouvais me fondre dans la masse. J'avais demandé à la réceptionniste de me donner les clés de la chambre six protestant que ma femme m' y était et qu'elle m'attendais, celle -ci avait accepté avant de me souhaiter une bonne nuit je n'avais pas répondu et m'étais concentré sur les portes . Après quelques minutes j'allais vu la chambre six j'avais ouvert la porte légèrement, je n'avais pas envie qu'elle saute du balcon. En entrant dans la pièce j'avais d'abord observé les alentours la pièce était divisé en deux parties une chambre et mini salon , j'arpentais le salon il n'y avait personne je me dirigeais vers la chambre j'ouvris la porte et vis au loin une silhouette reposant sur un lit immaculé de blanc, les lumières était éteintes seule la lune éclairait la chambre je m'approchais ne faisant pas de bruit . J'étais au pied du lit à l'observais son teint avait l'air pâle, sa respiration était faible elle l'avait l'air si apaisé on aurait dit un mort . J'avais contourné le lit pour bien l'observer quand craquement au sol attira mon attention, je regardais celui -ci et vis un tas de médicament au sol je pris la boîte et remarquais qu'il s'agissait des calmants mais la boîte était à moitié vide je vis un tiquet de caisse sur la table et le lis , le tiquet m'avait indiqué qu'elle avait payé des calmants aujourd'hui dans la soirée.

- Mademoiselle Adams réveillez - vous. Mais rien elle n'avait pas ouvert les yeux j'avais allumée la lumière, son teint était encore plus pâle elle était marbre je la bousculé de tout les côtés mais rien j'avais pris, elle était extrêmement faible je l'avais soulevé dans mes bras car je ne savais pas si elle avait des vêtements convenable en dessous par chance elle portait un t-shirt qui faisait trois fois sa taille et avait un short en bas . Je sortis de la chambre les gens nous regardaient bizarrement mais je m'en foutais . Je sortis de l'hôtel avec se corps presque inerte dans mes bras j'ouvris la portière de la voiture et l'a mis sur la banquette arrière.

Je la conduisais dans l'hôpital où se trouvait son amie , arrivé là -bas je l'avais installé et avait pris le médecin qui se trouvait dans la cantine. Je l'avais menacé pour qu'il soit vraiment vigilant , on l'a emmené dans la salle d'opération pour nettoyer son estomac pour éviter qu'elle meurt de surdosage. Je ne savais pas quoi en pensait, avait -elle essayé de se suicider par remort ? Ou était -elle juste idiote pour consommer la moitié de cette boîte ?
Après quelques minutes le docteur avait dit qu'elle était hors d'état de nuire, elle avait juste besoin d'un peu de repos pour reprendre des forces. Je n'avais pas confiance en elle pour la laissé seule j'avais donc décidé de l'emmener avec moi de toute manière il me reste plus qu'un jour en Espagne après je dégage d'ici. Après m'être bien informer et rassurer je l'avais retirer de cette chambre je détestais les hôpitaux l'odeur de médicament et de javel accompagné par cette maudite couleur blanche que tout le monde portent ici m'insupporte. Le docteur m'avait dit qu'elle ne pouvait pas quitter l'hôpital avec cette blouse je devais l'habiller avant de sortir d'ici mais je ne pouvais pas le faire en regardant son corps sans rien faire d'autre , je ne pouvais pas demandé de l'aide car j'avais dit qu'elle est ma fiancée chose pas totalement fausse . J'avais éteint les lumières pour mieux me concentrer, enfilé le haut était facile mais le bas s'avérait être une tâche difficile sans toucher ses fesses j'avais laissé tomber le bas et l'avait recouverte d'un draps puis l'avait soulevé dans mes bras .