Un recoin de Teyvat (Xiaother Lemon🍋)

Chapitre 20: Nouveaux paysages

NdA: Salut tout le monde et merci à ceux qui suivent encore cette fanfic 6 mois après le dernier chapitre et à ceux qui sont encore là depuis un peu plus d'un an.
J'ai répris l'écriture de Un recoin de Teyvat hier (au moment où j'écrit cette note) et me suis rendue compte qu'il manquait un bout au chapitre 19 (pas grand chose, mais un bout quand même). Ce chapitre avait été écrit en grande partie en juillet dernier mais n'a jamais été informatisé ni publié; car petit fun fact: j'écrit sur papier avant que ça n'arrive ici.

Je ne vous retient pas plus et vous souhaite une bonne lecture.

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On n'avait pas discuté très longtemps avec Kazuha et il ne souhaitais pas étaler son passé; je ne voulais pas l'y forcer non plus.

Beidou: On arrive enfin à Ritou les jeunes. Je reste ammarée jusqu'à demain en fin de matinée donc tu peux dormir dans le bateau Aether, ça te fera faire des économie. Kazu, fais comme d'habitude.

Aether: Merci. Je vais en profiter pour visiter l'île avant qu'il ne fasse nuit.

Beidou: Pas de soucis.

Je partis donc en direction de la ville et fit le tour des petits quartiers. Il y avait pleins de petits commerces et de restaurateurs; j'en profitais pour acheter des brochettes de dangos. Je continu d'érré dans les rues, m'enfonçant un peu plus dans les hauteurs de l'île. J'arrivais tout en haut par un petit chemin qui menait à une statue des sept derrière un grand bâtiment.

Je m'en approchais et, comme à chaque nouvelle statue, j'y approchais ma main. Une énergie m'envahi au contact froid et dur de la pierre; allant du bout de mes doigts et traversant tout mon corps tel une décharge électrique. Mais c'est une décharge agréable.

J'était ensuite rentré sur le bateau. On m'avait assigné une cabine pour la nuit.

Celle-ci avait été longue mais aussi courte. A mon réveil, j'avais un étrange sentiment; comme si j'avais fait une erreur irréparable, ou que quelque chose de mauvais allais se passer.

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Kazuha: Ecoute moi bien. On doit passer discrétement sans se faire repérer; si c'est le cas, cours le plus vite possible et cache toi.

Aether: Pourquoi doit-on se cacher ?

Kazuha: Avec le décret de confinement, cela est devenu compliquer dernièrement pour les étrangers d'aller plus loin que Ritou. Depuis que la Shogun a mis ce décret en place, plus personne ne rentre ou ne sort librement d'Inazuma et, quiconque ose s'y opposer va en payer les conséquences.

Aether: ok, je vois le genre. Mais pourquoi tu te cache aussi ?

Kazuha: Je n'ai pas vraiment envie d'en parler maintenant, mais je te l'ai dit que je suis un vaggabon. Aller, viens par là.

Il prit la direction de l'est de l'île et nous nous sommes cachés derrière une petite cabane. Nous nous sommes accroupis et Kazuha se tourna vers moi avant de chuchotter.

Kazuha: D'ici pas longtemps, il y aura un changement de garde, ce qui nous laissera le temps de passer discrétement.

il y avait effectivement un soldat surveillant le passage. notre seule échappatoire était donc un banc de sable menant à une immense île; ma prochaine destination.
nous attendions alors en silence jusqu'à ce que le soldat parte. Kazuha me fit un petit signe de main avant de s'élancer à toute vitesse. Je m'enpressa de le suivre.

Nous avons pû arriver de l'autre côté sans se faire repérrer, ce qui nous permis d'aller tranquillement dans un petit village.

Kazuha: A parir d'ici, comporte toi normalement et tout devrait bien se passer.

Aether: Ok.

Kazuha: Bon sur ce, mettons nous en route vers le domaine des Kamisato. On profitera du trajet pour discuter et je pourrais te parler un peu du coin si ça t'intéresse.

Aether: Je ne suis pas contre le fait d'avoir un guide et, ça nous fera passer le temps.

De fil en aiguille, il commença à me parler du village dans lequel on se trouvait: le village de Konda. Il était géré depuis des années par la famille des Konda. Malgré sa petite taille et le peu d'habitants, son histoire était plus longue que celle de Ritou. Leur spécialité sont les melons-lavande, très prisés dans tout Inazuma; le problème désormais était le fait que le décret de confinement à grandement fait chuter le commerce et donc leur chiffres d'affaires.

Nous étions désormais en route vers ma destination, pendant que Kazuha continuait de me parler avec joie de sa terre natale. On combatit quelques blobs cryo sur le chemin.

Il était presque midi quand nous sommes arrivés à la forêt de Chinju. On ne pouvait pas en manquer l'accès avec ses immenses Torii et ses statues de tanukis. L'ambiance qui s'en dégagait était incroyable. il y avait ici et là de magnifiques fleurs bleues, semblables à celles que j'aimais offrir à ma sœur.

On suivit le chemin quand j'aperçus une étrange petite créature (non, pas Paimon) qui jouait de la musique. Je la suivi par curiosité et une fois proche d'elle, elle disparut avant de réapparaître un peu plus loin.

Kazuha se mit à rire en me voyant ainsi.

Kazuha: Suit-le, c'est un tanuki.

Je me mis donc à le suivre et il disparaissait à chaque fois. Il disparut une dernière fois avant que je ne voit un flambeau apparaitre.

Aether: Mais... Quoi !?

Kazuha: Pour être plus précis, c'est un bake-danuki. Ils se jouent des gens en créant des illusions.

Il sortit de quoi faire du feu et enflama le flambeau. Celui-ci disparut et laissa quelques moras à la place.

Kazuha: J'ai passé un très bon moment en ta compagnie, mais je ne pourrais pas t'accompagner plus loin. Tu n'as plus qu'à suivre le chemin pour arriver à destination.

Aether: Merci beaucoup pour ton aide Kazuha. J'espère que l'on se reverra.

Kazuha: Ne t'en fais pas pour ça, je t'attendrai. De toute façon, j'ai quelque chose à faire dans le coin.

Aether: Tu es sûr que ça ne te dérange pas ? Je vais pouvoir me débrouiller seul maintenant.

Kazuha: Pas de problème, je vais juste voir un ami qui habite pas loin.

Il eut un léger grain de tristesse dans le regard quand il dit ça.

Aether: D'accord, merci encore et à plus tard.