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WA SALAM ALEYKUM.
BONNE LECTURE!

🥀.

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L A Y L A.

Kelyen : Alors Layla.. Tu as 2choix à ta disposition, sois tu tues Zakarya devant mes yeux, sois c'est sa famille ainsi que celle de ta mère qui est tuer. Choisit le bon, je pense que tu ne voudrais pas que ta mère meurt ainsi que ta famille et celle de Zakarya ?

Je le regarde le regard remplis de colère, tuez le s'il vous plaît.

— Mon choix est de te tuer toi.

Kelyen : Tu es drôle, mais moi je ne rigole pas avec toi, tu es la femme de mon ennemie tu penses qu'après l'avoir tuer tu vas avoir la vie libre ?

— Mmh.. alors, je tue Zakarya.

J'avais un bon plan en tête pour m'en finir de Kelyen.

Kelyen : Tu as fais un bon choix, pour l'instant. Tu n'as pas intérêt à me la mettre à l'envers sinon je peux te jurer que ta vie va prendre à tournant, tu en a pas l'idée.

Comme si elle n'avait pas pris assez de tournant, qu'est ce qu'il est con lui, déjà le supporter 15minute est une épreuve.

— Ne t'inquiète pas, sans te mentir je n'ai jamais aimer Zakarya, j'ai étais simplement la pour sa protection et car il me faisait tellement pitier !

Essayant de gagner sa confiance pour mon plan, je la gagna.

Kelyen : Ce n'est pas ce que l'on m'a dit, mais disons que je te crois.

Comment c'est possible d'être aussi con sérieusement ? Il me fait pitier.

Pitié, faites en sorte que je dois vite « tuer » Zakarya, car non je n'allais pas supporter ce bouffon encore longtemps, j'ai actuellement envie de le poignarder, plus il parle plus il me donne une envie de le gifler.

Kelyen : Le plan alors, tu met une robe qui le fasse tomber sous ton charme, n'oublie pas d'avoir une arme sur toi, bien sûr je serais là pour veillez à pas que tu fasses de la merde. Une robe assez courte blanche, tu le dragueras, puis des qu'il sera en confiance tu lui tire dessus.

Il pensait vraiment que j'allais faire sa? Dites lui qu'il s'endorme sûrement le manque de sommeil qui le rend comme sa.

J'allais y répondre mais il sourit, s'approche de moi et me met un violent coup en pleine bouche.

Je n'avais eue le temps de réagir qu'il enchaînait les coups, de plus en plus fort.

Kelyen : Maintenant j'ai un corps à ma disposition.

— Tu as un coup aussi.

Je lui met un violent coup, j'avais repris le dessus, j'enchaînais sur son visage.

Kelyen : PUTAIN ARRÊTEZ LA !

Je calculais personne n'y meme lui, j'avais réouverte presque toute ses cicatrices sur son visage, il avait clairement le visage en sang.

LAYLA.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant