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Wa Salam Aleykum !
Bonne Lecture.

— Je sais pas, je voulais te dire que j'ai appeler Azra récemment et qu'elle avait répondue.

Zakarya : Mh, continue.

— Je lui ai demandé de passer Yasmine et elle m'a demander pourquoi elle me passerais un cadavre.

Zakarya me regarde bizarrement avant de commencer à réfléchir.

Zakarya : Dommage je suis entre 4 mur.

— Mais tu prends en compte ce que je te dis ?

Zakarya : Mmh. Jarrive pas a me dire Que c'est vrai.

— Peut être qu'elle la dit juste pour que je la laisse tranquille, c'est aussi possible vue qu'elle ne veut pas que je lui parle.

Zakarya : Je sais pas Layla, tu trouves pas sa bizarre que je retrouvais plus Yasmine et Azra et la t'es entrain de me dire que Azra a dit que Yasmine était en quelque sorte morte.

Il avait l'air assez calme, mais sa se voyait qu'il était en colère simplement qu'il ne le montre pas.

Zkarya : Je vais m'occuper de tout sa, juste te mèle pas.

- Mmh, Zakarya c'est quand que tu arrètes tout sa ?

Zakarya : quand je sors d'ici.

- T'es sur ?

Zakarya : Ouais, je veux pas que notre fille grandisse au millieux des problèmes comme on l'a vécu.

Il avait l'air tellement sincère, alors j'ai décidée de le croire.

Zakarya : t'a de beau yeux, je ne veux pas que tu les abimes en pleurant.

- Si tu le veux ..

Zakarya : je te promet qu'en sortant d'ici, je ferais tout pour pas que tu es de problèmes.

- et toi ?

Zakarya : on parle de moi ? Aussi ma peine a était rallongé.

- pourquoi ??

Zakarya : j'me suis battue avec l'un de ces fils de pute.

- faut que t'arrete, j'ai envie que tu sortes vite si tu continues comme sa tu vas y rester a vie.

Il me regarde tout en souriant, j'avais des étincélles dans les yeux juste en voyant ce sourire.

Zakarya : elle s'inquiete la madame la ?

- waa arrete sa.

Il me regarde tout en souriant, ces yeux ne veulent pas quitter les miens.

Zakarya : t'es incroyable Layla, tu mérites pas ce malheur.

- tu m'aimes réellement ?

Zakarya : plus que tout.

Et me voici entrain de sourire.

- arrete de me regarder avec ces yeux la.

Zakarya : je pourrais te regarder comme sa pendant plusieurs heure.

Son regard me déstabilisais.

: Les visites sont terminée.

- je repasse demain.

Zakarya : Fais attention.


J'étais entrain de marcher, toujours dans mes pensées et traumatisé, passer du temps avec Zakarya me faisait oubkier, mais quand il est temps de partir tout me reviens en tete.

Tellement entrain de reflechir que je ne me suis pas rendue compte de ce qui se passait a l'exterieur de mes pensées.

: Ooh ! T'entends pas !

La souffrance de nos cœursWhere stories live. Discover now