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Wa Salam Aleykum !

Je sens un pincement sur mon cœur, ma tête commence a tourner. Je vois cet ombre se rapprocher.

Un visage, ce visage de l'homme qui a fait de ma vie un enfer.

: Layla, ma soeur, sa fait longtemps, pas vrai ?

— Je ne suis pas ta soeur.

Je commence à tousser et à cracher du sang.

: T'es la même que nous, tu es comme nous tous Layla. Je vois que tu vie une bonne vie avec Zakarya, mon ennemie hein ?

Souvenir d'un douleur revenant.

Le passé nous rattraper toujours.

: tu nous croyais mort Layla ?

J'essayais de parler que je ne faisais que de cracher du sang.

Comment je pouvez être dans cet dans état ?

: Tu vas rejoindre ta fille.

— Connard, ne parle pas de ma fille !

Il s'approche, j'essayais de reculer, mais je n'y arrivais pas.

Je regarde autour de moi, tout était flou, personne apart cet homme qui se tenait devant moi en me pointant une arme.

: Un dernier truc a dire Layla ?

— Toi Ried, et Salid vous n'avez jamais était mes frères. Le jour où Zakarya l'apprendra que c'est toi je peux te jurer que ta vie va se dérouler très mauvaise.

Ried : Même à deux doigts de mourrir tu as la bouche, au moins tu es courageuse, mais on va pas aussi vite de débarrasser de toi, on a besoin de se vider avant de passer au vrai boulot.

Zakarya.. je ne pensais que à lui, ma fin approchait, mais je voulais le voir, je voulais les voir joyeux avant de mourrir pour être sur que ma mort ne causera pas des tristesses.

Ried : J'ai promit de revenir pour tuer ta vie, Layla. Mes promesses, je les tiens. Vue que tu vas mourrir, je vais te dire ce que je compte te faire, alors je ramène des mecs, ils font se qu'ils ont à faire, puis je te tabasse à mort, je t'emmène dans une cave et je te tue.

— Sauf que sa sera impossible pour toi.

Ried : Pourquoi dis tu sa Layla ? Je tire et c'est finit pour toi.

Je me lève, j'avais mal, super mal partout, mais j'allais vaincre cet peur.

Je me tenais début, la tête haute en face d'un fou  avec une arme à la mains pouvant me tuer a la seconde même.

Ried : Tu as du courage, dommage que tu vas mourrir.

J'avais très bien vue l'arme dans la poche derrière de son pantalon, il avait une arme pour tirer et un couteau pour poignarder.

— Ried.. tu sais que nous ne sommes pas frères et soeur, personne ne le saura.

Je caresse son torse, sa me dégoûte juste, mais j'étais obliger pour prendre l'arme et le poignarder.

Il approche son corps du mien, je voulais tellement vomir.

Il me fait des bisous sur le coup, un vrai fou.

Sa me dégoûtait, je voulais me frottais le coup jusqu'à ce qu'il saigne.

Je prend le couteau, il était tellement discret.

Ried : Layla.. tu me crois aussi con ?

Je n'ai pas pue répondre qu'il pointe son arme sur mon front.

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant