LAYLA.

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WA SALAM ALEYKUM

BONNE LECTURE !

🥀.

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L A Y L A

Le dégoût de vivre, la peau de vivre, la honte de vivre, l'envie de mourrir.

Était les seuls chose que je ressentais.

D'un coup, le lit commence a se remplir de sang, je lève la tête, il avait reçu un couteau en pleine tête.

Je tourne la tête sur Zakarya.

Dès que je l'ai vue je ne sais pas ce qui m'a pris mais je l'ai pris dans mes bras.

Il s'y attendais même pas, j'étais à deux doigts de pleurer dans ces bras.

Ces attouchements la m'ont fait tout rappeler, je luttais carrément pour pas pleurer dans ces bras.

[ ... ]

Zakarya : T'étais ou ?

— ...

Zakarya : Parle.

Il sort une arme, il essaye vraiment de me menacer avec une arme la ?

Il se lève, pointe l'arme sur ma tête.

Zakarya : Tétais ou ?

— ...

J'entends le bruit d'un tire, il avait tirer ?

Mais je ne me sentais pas morte, je le fixe, il souriait.

Zakarya : Je saurais très vite la vérité, ne t'inquiète pas.

Je n'osais pas le dire à Zakarya par peur qu'il tue quelqu'un ou qu'il fasse quelque chose

Je ne disais rien, je suis simplement parti.

Marchant dans les rues, oui je continuais à sortir, je cherche quand même un peu mais c'est pas des clochards qui vont me retirer l'envie de sortir.

Je me pose quelque part lorsque j'entends des « elle est là ! »

Je met la capuche et marche.

Quand d'un coup je sens un truc pointue autour de mon cou.

J'ai pris peu de temps à me rendre compte qu'on m'étrangler.

Je prend le couteau ce trouvant dans ma poche.

J'allais me défendre a l'aide de ce couteau quand je sens cet personne m'étranglant se faisait poignarder.

La personne n'avait même pas eue le temps qu'elle était morte en m'étranglant.

Je lève le regard sur Zakarya.

— Il est mort.

Zakarya : Pour toi.

Il s'approche de moi, passe sa mains sur ma chou et range l'une de mes mèches.