Chapitre 4

17 0 0
                                    

- Bon alors cette fête, il y a deux jours... je demande à Gabriel. 

- Hummm.

- Aller tu nous as toujours rien dit ! je le supplie.

Gaby m'ignore complètement.

- D'accord. Si tu me dis, je te promets de porter le maillot de Jeremy pendant tout le match ! je promets. 

Gabriel semble tout d'un coup plus intéresser.

- Certaine ?demande-t-il.

- Certaine.

Pourquoi j'ai dis ça, moi déjà ?

- Heureux de te dire que tu porteras son maillot pendant tout le match parce que mercredi soir il ne s'est rien passé de dingue. dit-il. 

- Gabriel. je le sermonne. 

- Elena.

- Très bien, rien que pour t'énerver je vais non seulement porter le maillot de l'équipe adverse et m'asseoir dans leurs gradins !

- Ok, ok, ok ! Il y a peut-être cette fille... avoue-t-il. 

- Aller, dépêche toi d'accoucher ! On est presque arrivés !

Gabriel ouvre la bouche, pour plaisanter je le coupe:

- Aller pousse encore, on voit la tête !

- Je me demande comment on fait pour te supporter Lyly et moi depuis toutes ces années. Je plains encore plus Lyly qui te connais depuis plus longtemps.

- Parce que je suis tout simplement une fille géniale, adorable, gentille... je réponds. 

- Chiante, pas drôle... ajoute-t-il.

- Tu crois que je ne t'ai pas vue changer de sujet ?

- Au moins j'aurai essayé ! rigole-t-il.

- Allez ! j'insiste.

- Donc il y a peut-être cette fille...Grace je crois.

- Ba voilà ce n'était pas si compliqué, dis-je en insistant sur le mot compliqué.

- C'est vrai.

- J'ai toujours raison de toute façon ! On rentre dans le stade maintenant ?

- Il t'a dit s'il faut faire la queue ou...

- Il m'a dit qu'il donnerait nos noms au vigile donc je suppose qu'il faut aller le voir lui. je précise. 

- Pas de souci !

D'un pas décidé que nous doublons tout le monde et nous arrêtons devant le vigile.

- Vos noms ? lance sèchement le vigile.

- Elena Blanchard et Gabriel Lyon. On est invité par...

- C'est bon allez-y. Au fond du couloir à gauche, quelqu'un va vous prendre en charge. me coupe-t-il. 

- Merci.

Je tourne la tête vers Gabriel et lui fais un clin d'œil.

- Simple comme bonjour !

- Ahah ! T'aurais flippé si je n'étais pas là.

- 1 partout. j'avoue. 

On arrive au bout du couloir, comme le vigile nous l'a dit nous tournons à gauche.

- Bonjour, bienvenue. Puis-je avoir vos billets, s'il vous plaît ?, nous demande une dame devant l'entrée des gradins.

- Euh... j'hésite. 

A Basket in my HeartWhere stories live. Discover now