Chapitre 24

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Après cet échange étrange , Isabelle s'était rendue dans sa chambre , embarrassée par ses mots .Le mafieux et ses mots perturbants.ils étaient clairs et précis.
Il brûlait de regouter ses lèvres...Assise en tailleur sur le lit, elle dévisagea la chambre La chambre était somptueuse et élégante. Les murs ornés de riches tapisseries et   de peintures délicates. Le sol est recouvert d'un tapis doux et épais. Au centre de la pièce, se trouve un grand lit à baldaquin, drapé de rideaux en soie . Les meubles sont en bois précieux, avec des finitions détaillées et des sculptures artistiques.  Des lustres en cristal illuminent la pièce, ajoutant une touche de glamour. Des fauteuils confortables invitent à la détente, tandis qu'une grande cheminée en marbre crée une ambiance chaleureuse. Des tableaux encadrés et des bibelots ornent les étagères et les tables. Les rideaux lourds et luxueux habillent les fenêtres, filtrant doucement la lumière extérieure, inspire le  luxe et le raffinement.

Dire que c'est maintenant qu'elle  faisait vraiment attention à ces détails...

Tant ce présent qu'elle vivait l'obsedait.
Elle se lâcha sur le lit les bras écartés..

La porte fut toquée...
Isabelle  s'empressa d'aller ouvrir.

Elle aurait préférée ne pas le faire quand il réapparut face à elle.

-Je vous dérange demanda-t-il d'une douce et étrange voix.

-Pas du tout.. dit -elle simplement mal à l'aise.

-Tenez .. fit -il  en lui tendant un paquet, noué ave un joli ruban jaune  le visage fermé.

Elle le prit d'une main hésitante.

Il lui rendit son ordinateur portable.

-Vou aviez été sage pour l'instant ...

-Vous n'avez pas peur que je...

-Vous vous montrez audacieuse quand il le faut mademoiselle Moor mais parfois vous vous abstenir aux limites.  Aucun risque là- dessus.dit-il en la scrutant pensivement

-Vous êtes sûr de vous..

Il hocha la tête positivement. Très confiant de ses dires.

À bien y passer Isabelle n'aurait pas tenté ce risque par peur des représailles.

Elle roula des yeux pour fuir sa réponse.
Et expira profondément .

-Nous sortons ce soir, je vous attends dans le grand hall à 7 h 45 .Ne soyez pas en retard.

Il s'inclina et disparût dans son champs de vision.

Elle referma la porte doucement en tenant fermement le paquet en question et son ordinateur portable.

Là où le 1/3 de son travail reposait.

Des clients , des affaires , des articles , etc...

Isabelle les posa sur son lit .Les mains moites.Elle se frotta les mains avant de s'asseoir .

Puis d'une main fébrile denoua les nœuds de sa robe pour y découvrir une robe rouge , somptueuse...

Dire qu'elle s'efforçait de ne pas aller à ce fameux club avec lui.

Elle était bien obligée...

Pour faire passer le temps, elle consulta ses mails.

Quelques heures plus tard.Elle était la face au grand miroir.

Isabelle   avait opté pour un maquillage simple et naturel. Elle s'était appliquée  une légère couche de fond de teint pour unifier son teint, suivi d'un soupçon de blush pour donner une touche de couleur à ses joues. Ses yeux sont soulignés d'un léger trait d'eye-liner pour définir son regard, accompagné d'un peu de mascara pour allonger ses cils. Elle ajoute une touche de brillance à ses lèvres avec un baume à lèvres . Dans l'ensemble, son maquillage met en valeur sa beauté naturelle de manière subtile et délicate... Sa robe courte à bretelles est en satin vert  et elle est fendue sur le côté pour ajouter une touche de sensualité. Elle la porte avec des talons hauts assortis pour compléter son look.
Ses cheveux crée  un chignon élégant, mais elle laisse volontairement quelques mèches rebelles pour ajouter une touche de décontraction à son look. Cela lui donne un aspect à la fois soigné et naturellement chic.

Elle se detestait d'être magnifique dans cette robe.
Elle voulait le dégoûter au lieu de ça elle emplifiait les choses.

À présent ,prête elle quitta sa chambre d'un pas rapide.

Quand elle  se tint dans le Grand escalier en marbre menant au grand salon , elle l'aperçut au loin  dos tourné à elle , vêtu d'un costard sur mesure ,la veste déboutonnée rugissant aux oreilles de son interlocuteur.
En vue de l'accens qu'il y mettait elle comprit que c'était de l'Italien.
Il faisait des gestes  avec ses poingts comme si il voulait passer des ordres , prononcer des menaces.

Son accent viril la rendait toute chose.

Elle retint un sourire , légèrement embrasée.

Puis il raccrocha  brutalement.

Quand il se retourna les traits de son visage quittèrent leur sévérité., Ils paraissaient plus détendues..

Sans attendre , elle descendit les escaliers un par un en se tenant à la rampe à sa droite. Le menton levé , le regard plongé dans le  sien.

Il mit sa main fermée en poingt vers sa bouche comme s'il luttait pour quelque chose.

Elle le fixa interloquée.

Il retira sa main et le descendit le lo g de sa hanche.

-Je crois que j'ai fait une erreur Mia dolce , vous êtes infiniement désirable...

Sa voix était chaude , gutturale semblable à un murmure.

À ses mots , elle se stoppa , baissa les yeux , sous le choc et descendit les escaliers plus rapidement.

Il ne l'a quittait pas du regard...

Elle rougit de confusion.

- je vous remercie murmura -t-elle faiblement.

Au moins il était honnête ,il lui faisait part de ses pensées à son encontre. Il   s'était ouvert à elle. Aucun homme ne s'est montré d'une telle honnêteté face à elle.

Il lui indiqua son bras et elle l'accepta volontiers.

Ainsi ils quittèrent le  manoir...

Assise dans sa voiture luxueuse , Isabelle  fixait l'horizon en tâtonnant sa main droite sur l'une de ses cuisses.

-Et c'est ainsi qu'Isabelle Moor  se plongit dans le monde du mafieux murmura -t-elle d'une voix qu'elle pensait inaudible.

Vladimir Vatsouchi émit un rire guttural puis afficha ce sourire mystérieux qui le caractérisait tant.
Elle en fut troublée.

Puis déclara ses mots:

-Ce n'est que le début, croyez-moi...

Un dangereux client [l'avocate de Vladimir Vatsoushi]Donde viven las historias. Descúbrelo ahora