Chapitre XIV

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Après cette scène qui m'avait bouleversée, j'étais rentrée chez moi le sourire jusqu'au oreille ! Fayyed m'avait vu ! Encore une fois, de ce regard qui faisait fondre mon cœur.
Bref les jours sont passés et nous sommes arrivé en vacances, j'écris aujourd'hui durant cette période et il s'est passé quelque chose d'incroyable.
C'était il y a quelque jours et ma mère et moi devions aller à Castorama, nous étions en voiture et là il fallait passer devant le groupe de mec qui était en bat de chez moi. Et là je vois que tous les mecs sont retournés ! Et nous regarde !!!!! Les filles moi j'ai même pas osé les regarder donc je sais pas si il y avait Fayyed.
De là le meilleure pote à Fayyed, Bacary dit un truc à ma mère en l'appelant madame !!!!!!!!!! WAllahi les filles !! J'avais pas entendu ce qu'il avait dit mais je suis que c'était pas méchant bref ! Mon cœur battait la chamade ! Depuis quand les mecs de mon quartier regardait les gens dans leur voitures ? Sa leur arrivait jamais, car je l'es vois h24 et il ne calcule personne ! A part quand c'est leur pote ! J'étais horrifiée. Et la sur le chemin du retour, vous vous imaginez même pas ce qui m'est arrivé.. il était toujours là, et on est passer devant eux et il y avait Fayyed.. mon Dieu mon cœur a faillit lâché ma mère avait bien remarqué que quelques choses n'allait pas.
Je ne l'es ai même pas regardé, c'est un reflex chez moi de baisser les yeux et lorsqu'on les a dépasser ma mère m'a dit en arabe (je traduis)

Mama : Il y en a un qui faisait que de te regarder
Moi: Mn? (Qui)
Mama: je ne sais pas il était tous entrain de te regarder mais y'en a un il a les cheveux noirs etc..

Al mohim ! Je pense que vous l'avez devinez elle parlait de Fayyed elle me l'avait décris physiquement ! Je suis est fais jurer que c'était vrai ! Elle m'a même fait la scène de comment il m'avait regardé ! J'arrivais pas à y croire apparement il se sera même retourné pour me regarder ! Je ne me suis jamais senti plus vivante que ce jour là.
J'ai senti mon cœur revivre, mon âme fleurir. Je hurlais de l'intérieur à en perdre l'haleine mais jai dû faire comme si de rien était, comme à chaque fois... Je le remercie de m'avoir fait découvrir le paradis avant d'y être.
Si il savais combien je désirais le revoir, combien j'aimerai l'avoir avec moi.
Jai perdu le goût pour la vie, pour les promenades, le soleil, les amitiés.
Je conserve juste le goût amer et terrible de l'amour. Je l'aime, il es le seule qui existe et cela pour l'éternité.
Je pouvais être n'importe quoi dans le monde mais j'ai voulu être à lui.

Chronique de Faïrouz : L'Amour au coeur du bitume.Where stories live. Discover now