❝ 𝐋'𝐞𝐧𝐟𝐞𝐫 𝐞𝐬𝐭 𝐯𝐢𝐝𝐞, 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐦𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 ❞
Dans les endroits les plus obscurs de Séoul, se trouve cacher, 𝐃𝐀𝐑𝐊𝐍𝐄𝐒𝐒 la mafia la plus dangereuse des contrées qui semble sortir tout droit des e...
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┏━━━━°⌜ 黑暗 ⌟°━━━━┓
❝ 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕 ❞
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Séoul, demeure Darkness. 12 décembre, 4:27Am.
Je marche.
On marche dans ces dédales, toujours sous l'emprise des sbires du noiraud. Ce dernier avançait pas après pas, d'une ferme assurance.
Cette aisance.
Elle défie les lois de pesanteur.
Il s'arrête promptement. Posté devant un grand et vaste ascenseur, mettant fin à notre cheminement.
Un coup dans le dos et je m'arrête à mon tour. Paralysée.
Le commanditaire pressa le bouton d'appel et aussitôt une cabine s'ouvre face à nous.
Je fu immédiatement éblouie par la lumière vive qui parvenait de l'intérieur de la cabine. il a fallu du temps pour que mes yeux s'habitue à l'éclairage.
L'intérieur était en total contraste avec les précédents dédales. C'était spacieux et soigné. On pouvait faire tenir trente personne là dedans. Les boutons des étages était dorés, en reliefs qui réfléchissaient l'illumination de la cabine. Il y en avait pour nombre de douze. C'est-à-dire douze étages.
Une grande bâtisse.
Un des hommes appuya sur un des boutons du mécanisme et les portes se refermèrent.
La cabine s'active dans son mouvement ascendant ainsi que ma peur qui continuait de grimper à son apogée.
Je ferme les yeux. Une onde nauséeuse s'empare de moi, menace de chambouler le maigre contenu de mon estomac.
Malgré ça, je demeure stoïque. J'essaye de garder une attitude naturelle en dépit de ce cri d'effroi qui ne demande qu'à sortir de ma gorge.
Ultérieurement, il me vint une sensation familière qui m'entasse, m'étouffe. Mon épiderme s'hérisse et un tressaillement me traverse l'épine dorsale. Et sans une seconde de plus, la réponse de ce tourment me vint d'emblée.
Son regard.
Il avait atterrit sur moi.
Le noiraud au apparence d'adonis, d'une beauté dangereuse avait posé ses prunelles d'un noir de jais sur ma personne.
Il me jauge du regard.
M'étudie.
Il ne me quitte pas des yeux.
Il m'examine. M'observe.
Il me lorgne avec sollicitude, insistance.
Et mon cœur se met à palpiter au delà des limites du raisonnable sous son regard intense. Il me pulvérise, me paralyse toute entière.
Son pouvoir est absolue.
Je pense que j'ai arrêté de respirer, frapper d'inertie sous son regard qui s'éternise.
Mais ce contact déconcertant s'achève au moment où le mécanisme s'immobilise. À la suite d'un bip annonciateur, les portes de l'ascenseur s'écartèrent.
Le noiraud se retire suivit pas les deux gardes qui s'activent et se dirige à la suite de leur chef.
Je n'ai pas le temps d'examiner les environs que nous sommes déjà dans la suite d'une nouvelle pièce. Elle était tapissait d'une somptueuse moquette ainsi de divers meubles tout aussi élégant. Des tableaux aux arts abstrait longeait les murs, donnant une touche gracieuse au environs. Au centre trônait une long table en cristal qui reflétait la lueur du lustre de la même matière. Tout était distinctement couteux.
Et à ce moment que la présence de deux individus me frappa aux yeux. Assis derrière la table de cristal.
Ils m'observaient.
La clarté de la lumière donnée à leurs visages un air menaçant, tandis que leurs croissants de chairs se retroussaient sous un rictus amusés.
L'un d'eux avait une tignasse blonde, brillante. Son visage avait des traits fin et léger. Un visage étrangement angélique. Tandis que l'autre, à la crinière brunâtre, était tout le contraire. Il avait des trait ferme et rude. Dangereux. Quelqu'un qui ne faut surement pas approcher.
─ Encore une gonzesse ? S'écria le blondinet, amusé.
─ Bien un nouveau corps à disséquer. Souffla l'autre, avec un empreint de lassitude. Il se balançait sur son dossier.
