À LA VITESSE DE L'AMOUR [ Is it love Daryl ]

Bonus

- Eh la miss. Debout. Essaie Sean en voulant la toucher mais il se fait arrêté rapidement par Kayl.

- Laisse la tu vois pas qu'elle dort tête de thon.

La porte s'ouvre légèrement pour laisser entrevoir Ambrose. Kayl lui demande de faire preuve de silence car Julia dort.

- Elle m'a tellement manqué. Murmure Ambrose.

- Molo tu veux, elle est à moi.

Je suis possessif et ? 

Qui va faire quoi même. 

Le concerné se tourne vers moi et me regarde de travers.

- C'est pas ta chose. Elle t'appartient pas.

- Oh parce que y'a écrit appartient à Ambrose peut-être ? Je crois pas non.

- Elle appartient à personne et arrête de me prendre de haut comme si j'étais un con, car ici le gros connard c'est toi.

- Pourtant c'est le prénom du connard qu'elle a gémit entre tes jambes. Susurre ai-je fière.

Son regard flanche à l'entente de mes mots. Il pensait surement qu'elle aurait pas évoqué cet épisode avec moi. 

- Eh ouais, elle m'a tout dit.

Il affiche un rictus et me regarde confiant.

- Et tu l'as croit sans poser de question. Amateur.

Je fronce les sourcils. Ce mec à toujours un coup d'avance sur moi, j'ai l'impression.

- T'insinues que je devrais pas lui faire confiance ? 

Ma voix est sèche.

- Ce n'est pas ce que j'ai dit Ortega. Quoi qu'il en soit, qu'elle est gémit mon nom ou le tien, elle s'est retrouvée dans mon lit, toute nue. 

Il marque un temps d'arrêt.

- Et je peux t'assurer que c'était pas la première fois.

Mon sang ne fait qu'un tour et je lui saute littéralement à la gorge.

PDV Julia

Je suis réveillée par de grands bruits et ouvre subitement les yeux. Je vois Daryl et Ambrose se battre et voit, derrière eux Kayl.

- Kayl ! Tu devrais pas intervenir ? Demande ai-je en voyant que les deux s'approche de l'armoire.

- Ils règlent leur différent.

Sérieusement ?

Ils ne peuvent pas être responsable et arrêter de se comporter comme des enfants.

Je me lève et il ne me remarque même pas. Je me demande même si ils se battent car ils ne font que de tourner en rond dans la pièce, esquivant ou encaissant le coup de chacun. Je sais très bien que leur crier dessus ne résoudra rien.

Je regarde la pièce à la recherche d'une idée et mes yeux se posent sur la lampe. Désolé la lampe mais c'est pour le bien de cette pièce et de ces deux enfants.

Je débranche la lampe et la prend dans mes mains pour ensuite la balancer par la fenêtre. La fenêtre se brise en fracas et nous entendons un grand boum quand la lampe touche la terrasse.