Chapitre 17.2. Doma - Giyu, Shinobu, Sanemi

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Hello,

Les gens lisent rarement le passage en gras mais je tiens à vous parler de quelque chose, j'ai de plus en plus de mal à écrire sur Wattpad et à supporter certains commentaires (pas sur cette fanfic, ne vous sentez pas visé), donc j'ai hâte de finir cette fanfic et prendre une pause (Ce qui devait être un peu triste sera un véritable soulagement finalement)

Oui de temps en temps j'ai sur certains de mes écrits les commentaires débiles pour me dire "oui mais c'est pas comme ça" alors que je précise au début les choses modifiées, ou "nan mais c'est bon j'arrête de lire 🙄" alors que la personne peut juste partir sans rien dire. C'est fatiguant d'expliquer vingt fois des choses dont je parle dans les "Annonce" au début. 

Je tiens aussi à revenir sur une ancienne fanfic que j'ai écrite "Le groupe des gens pas très hétéros" dans laquelle j'ai parlé d'une fanfic que j'allais écrire sur un ship polyamoureux.

J'ai reçu des commentaires pour critiquer le ship (j'en reçois encore parfois). Et pourtant, presque 10k de vues sur la fanfic en question sans un seul commentaire négatif (un véritable soulagement). Et beaucoup de gens derrière les commentaires avaient finalement lu et miraculeusement changé d'avis.

Conclusion : Allez lire avant de donner votre avis, renseignez vous, pensez avec vos têtes, et relisez-vous avant de commenter pour éviter des malentendus :) "Ma résignation égale mon profond respect" comme dit Beaumarchais dans l'épître dédicatoire du "Mariage de Figaro".

Je pense aussi que j'étais moins patiente ces derniers temps parce que Noël est une période difficile pour moi, donc j'espère que je n'en fais pas trop :)

Cœur sur vous et bonne lecture <3

INDICATION : Chapitre se passant en même temps que le précédent (Kanao réveillée) 

- Tu n'en as pas marre de nous faire passer notre vie en ville ?

- Non, Sanemi, mais je sais que toi si, donc cette fois nous prenons le bus pour une sortie en forêt. Ce qui explique pourquoi nous allons à l'opposé du centre-ville.

- Ok miss je-sais-tout.

La jeune femme s'installa sur les places du fond, suivie de ses deux acolytes.

- Tu sais que Tamara veut faire des expériences sur ta sœur aujourd'hui ? Est-ce vraiment une bonne idée de partir ? Demanda Giyu.

Shinobu dessinait un papillon sur la buée de la vitre.

- Muichiro est avec elle, répondit-elle simplement. 

- Pourquoi tu nous emmènes en forêt alors qu'il pleut ? 

Sanemi lui répliqua d'arrêter de poser des questions, il obtenu un "pat pat" (= caresse sur la tête) du pilier de l'eau qui avait pour but unique de l'agacer.

- Je n'avais pas prévu la pluie, mais c'est encore mieux, on va pouvoir s'allonger sur le bitume et attendre de se faire écraser.

- Shinobu on avait dit quoi sur les blagues concernant le suicide ? Répliqua sèchement le colérique (meilleur adjectif pour le décrire).

- Que Tomioka-san est un fragile ?

- NON.

- AH ! Que mourir bouh pas bien ! S'exclama-t-elle.

- Oui.

Elle capta les regards des autres personnes du bus et leur fit un pouce en l'air en ajoutant "Vivre c'est sympa ! Je ne vous connais pas mais je vous encourage vous êtes tous incroyables ! Sauf le monsieur là-bas qui mate l'adolescente en jupe depuis trois minutes !". 

Le monsieur en questions se fit enguirlander par un couple d'adultes, tandis que Giyu percuta qu'on l'avait traité de fragile.

- Je suis un fragile ?

- Ouais.

- Plutôt sensible mais ce n'est pas grave tu sais ! Homme ou femme ou aucun on s'en fiche tu as le droit d'être sensible, ce n'est pas ta faute on nait comme ça.

- C'est un fragile, répliqua-t-il en attrapant le menton de Giyu pour lui tourner le visage à trois centimètres de celui de Shinobu.

- Sensible, Sanemi, dit-elle joyeusement en touchant la joue du pilier du bout du doigt.

- Fragile, Shinobu.

- Au pire je suis juste moi et c'est suffisant, non ? Dit-il en les regardant un à un dans les yeux.

Après une seconde de silence, Sanemi lui ébouriffa les cheveux et Shinobu fit un sourire attendri.

- Tu es très bien comme ça.

- J'ai pas dit le contraire, renforça le pilier du vent.

D'un coup, Giyu sursauta en voyant la porte avant du bus s'ouvrir et attrapa la tête de Shinobu pour la faire descendre sur ses cuisses en chuchotant un mot à Sanemi qui ouvrit en grand le journal qu'il lisait pour les cacher.

- Doma est là, bouge pas.

- Tes cuisses sont pas confort ! S'exclama-t-elle en chuchotant.

Sanemi fit dépasser ses yeux du bord du journal et redescendit.

- Il n'y a que lui.

- Alors, c'est eux qui sont venus à nous ? Fit Shinobu. Ils sont un peu con de faire des allers-retours entre la capitale et ici ça doit être super cher.

- Visiblement. Par contre ouais 100 balles le train ça fait beaucoup.

- J'ai claqué 300 balles dans des cosplays.

- Tu paies pas de loyer et t'as un boulot, tu peux te le permettre.

- Vos gueules on va se faire repérer !

Shinobu souleva le journal pour voir.

- Mec le bus est bondé et il est à l'avant. Même, je le prends en 1v1 ce chacal ! 

- Chut !

- Donne moi un bonbon à la framboise et je me tais.

Sanemi lui offrit gracieusement un chewing-gum à la menthe, et Doma descendit du bus après cinq minutes de trajet arrachant un soupir de soulagement à Giyu qui craignait de se faire repérer.

Transportés au XXIe siècle !! - Demon Slayer/KNY fanfictionWhere stories live. Discover now