Chapitre 8. Traître - Rengoku, Akaza

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(Bonjour j'ai oublié de poster ça fait une semaine, j'ai actuellement mes règles et mal partout ^^)

Tw // (le contenu du trigger warning juste en dessous) (Mais je préviens avant de le mettre pour que les plus sensibles évitent)

Tw// Torture (coucou Akaza), bisou fait sans le respect du consentement

- Attendeeeeez !

Doma entra en trombe après être parti seulement trente secondes.

- Je veux lui faire au moins un truc avant de partir !

- Fais donc. Dépêche-toi. Fit Muzan sèchement en enfilant des gants.

Doma souleva le menton du rose et le força à l'embrasser.

- PUTAIN D'ENFOIRÉ ! Hurla Akaza immédiatement après.

- Bah quoi ? Je te donne l'amour que celui que tu aimes ne t'offriras jamais. Tu sais, parce que tu es un démon, Akaza.

Le multicolore éclata de rire devant la mine dégoûtée de son ancien collègue, puis il lui donna un coup dans les côtes qui lui arracha un petit cri.

- J'aime bien tes cris de douleur, je reviendrai vite m'occuper de toi ne t'en fais pas.

Il passa une main dans ses cheveux en souriant innocemment puis parti en dansant. Le jeune homme était frustré au point que sa paupière tremblait, il mourrait d'envie de lui arracher les yeux.

La lune supérieure numéro deux passa la porte, plus que jamais motivé à se dépêcher. Or, il ne reviendra jamais, "tué" par deux adolescents qui se trouvaient au gymnase au même moment.

Kokushibo, quant à lui, se faisait faire une petite manucure par Daki. Gyutaro se fichait de la présence d'Akaza, plus occupé à aider sa petite sœur avec les différents vernis.

La quatrième et la cinquième manquaient à l'appel, peut-être étaient-ils en mission ou n'avait été simplement pas envoyés ici. Au fond, Akaza n'en avait rien à faire, il voulait juste partir retrouver Kyojuro probablement mort d'inquiétude à cause de son absence. De plus, il ne l'admetrait jamais mais était terrifié à l'idée de se faire torturer par Muzan lui-même.

- Tu sais bien qu'il ne t'aimera jamais.

- Ce n'est pas parce que vous n'avez pas de succès auprès des humains que moi je ne peux pas en avoir.

- Comme c'est mignon. Tu crois en un homme que tu as rencontré il y a moins de deux semaines plus qu'en ton propre maître.

- Tu as détruit ma vie.

- Je t'ai donné une seconde chance. Humain tu étais considéré comme un démon. Ne me dis pas que maintenant que tu es démon tu espères être considéré humain ? Tu es naïf mon petit Akaza.

- J'ai confiance en lui, il a quelque chose de spécial, je crois en lui et il croit en moi !

- Akaza.

- Il m'a dit que si plus personne ne croyait en moi, lui il continuerait de le faire !

- Akaza.

- Je ne t'appartiens plus !

Le démon originel positionna un couteau contre la gorge du jeune homme qui fut contraint de se taire.

- On va voir si tu préfères rester humain avec ce que je vais te faire. Je hais les traîtres.

Ses yeux rouges brillèrent dans le noir et l'humidité crasseuse de la pièce.

- Fais moi tout le mal que tu veux, il continuera de croire en moi. S'il continue d'y croire alors moi aussi. Alors je ne redeviendrai pas ton chien. Tu n'as plus aucun contrôle sur moi et ça te fout le seum.

Le démon s'agaça et ordonna en criant aux démons présents de sortir de la pièce. Ceux-ci ne purent qu'entendre les pathétiques gémissements de douleur que poussait celui qu'ils avaient enlevé.

Daki, à l'aube, chargée de surveiller leur détenu, fit tomber parterre son portable en constatant son état. Elle fit volte-face et parti à l'extérieur du fort dans lequel ils avaient élu domicile, pour vomir dans l'herbe.

- ONII-CHAN !! Hurla-t-elle en pleurant.

Depuis qu'il étaient ici, elle ressentait beaucoup trop fort ses émotions. Et voir le rose couvert de blessures avait provoqué chez elle de l'angoisse, du dégoût et même de l'inquiétude. En temps normal, elle aurait simplement été satisfaite, voire contente.

- Daki, entre tout de suite.

Son frère la tira à l'intérieur.

- Il va finir par savoir que tu résistes au soleil ici, tu dois faire attention.

- Il y a écrit "traitor" partout partout dans sa peau. Ça veut dire traître en anglais, tu m'as appris quand on l'a étudié avant hier.

Gyutaro ne répondit pas, mais il lui prit la main pour retourner dans l'ancienne prison du fort où était attaché le numéro trois. Face à la scène il ne ressenti rien de particulier, mais sa sœur restait cachée derrière lui. Et, étonnamment, ses yeux prenaient une teinte bleue.

Comme lorsqu'elle était humaine.

- Tu n'es pas obligée de le regarder pour le surveiller. Mais je t'interdis de le toucher, si Muzan l'apprend on est morts. Bon, je te laisse, j'ai autre chose à faire.

- D'accord... Ne lui dis rien, je vais de nouveau être comme avant, promis.

- Si tu le dis.

Transportés au XXIe siècle !! - Demon Slayer/KNY fanfictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant