Il est dans le déni total, il pense qu'il va s'en sortir d'ici.

D'un côté il n'a pas tort, il va s'en sortir, mais avec deux détails: le premier c'est qu'il va être mort. Le deuxième c'est qu'il ne va pas être entier, on va dire qu'il aura quelques endommagement.

Je continue d'analyser son langage corporel...il est épuisé...pourtant j'ai été docile.

Je jette le mégot par terre et l'écrase avec ma chaussure, ensuite je sors mon joint que j'ai préparé avant la séance de torture et le pose entre mes lèvres afin de l'allumer. Je tire une taffe en penchant légèrement ma tête en arrière pour cracher la fumée et également réfléchir pour la suite.

Putain Zack et Benito sont utiles juste pour me ramener les meilleurs joints.

- Parle - ordonne-je avec autorité.

- T-tu v-veux savoir q-quoi? - rétorque-t-il bégayant alors que son corps tremble de peur.

Heureusement que je ne lui ai pas coupé la deuxième oreille ou il serait devenu sourd, rien d'autre qu'un gros sac à merde.

- La famille DeAngelis - avoue-je sèchement.

À l'entente du nom de famille ses yeux s'écarquillent et il finit par dire:

- J-je sais pas de quoi tu parles - ment-t-il en détournant son regard alors que sa mâchoire tremble.

Menteur.

Je m'approche lentement de lui en continuant à fumer, me nourrissant de sa peur.

- Pour résumer, tu as cru que j'avais besoin d'argent...-je commence à faire les cent pas devant lui m'exprimant avec mes mains - ensuite tu me prends pour un putain de con - un rire malsain s'échappe de mes lèvres alors que j'hoche doucement la tête en posant mon regard noir sur lui.

- Dis moi...la prochaine chose que tu vas me dire c'est que je t'ai kidnappé parce que je suis obsédé par toi?- dis-je avec ironie m'arrêtant au milieu de la pièce toujours sans le quitter du regard. Ensuite je lui demande froidement - pied ou couilles - Il est perdu puisqu'il ne comprend pas mes intentions.

J'avance vers la table où sont posés les outils de torture où je finis par prendre un fil en fer et lui fait à nouveau face répondant à sa place:

- on va faire les couilles, je vais te faire un plaisir vu que tu ne les portes pas...après tout c'est normal vu les dimensions quasi inexistantes - déclare-je naturellement en jouant avec l'objet.

En me voyant approcher , il commence à crier à l'aide gardant l'espoir que quelqu'un l'entende et vienne à sa rescousse.

Sa voix commence à m'agacer.

Heureusement qu'il était nu, je ne l'aurais pas déshabillé, ça m'aurait donné la nausée.

Avec une main, je prends sa bite alors qu'avec l'autre j'enroule le fil de fer autour.

Il ressent le froid du fil en fer, ce qui le fait s'agiter.

Il ne sait pas que lorsque le fil est enroulé à un objet, cela commence à le couper au plus petit mouvement
Je le laisse s'agiter, puis je décide de serrer le fil d'un coup sec. Je me lève en admirant les premières gouttes de sang couler et quitter son corps.

Il crie.
Il crie de douleur.
Son côté survie a pris place.

Parfait. Je n'attendais que ça

Le côté survie ne laisse pas la place au cerveau le temps de réfléchir puisqu'il a comme seul objectif de survivre...sauf que quand il est activé on se met encore plus en danger ce qui met encore plus à risque notre vie.

BROKENWhere stories live. Discover now